• 27 09 86 Matériaux de synthèse - Alimentation et maladie

    Question

    Il nous a été dit que, dans les constructions nouvelles, des matériaux de synthèse peuvent être créés avec les mêmes propriétés bénéfiques que les matériaux naturels. Dans quel sens faut-il orienter nos recherches et nos créations pour utiliser ces matériaux de synthèse ?
     


    Les matériaux de synthèse doivent être neutres et c’est à ce propos qu’ils peuvent être aussi bénéfiques que des matériaux naturels, qui eux ne sont pas forcément neutres.
     

    Les matériaux de synthèse doivent être fabriqués pour être neutres, comme le sont déjà le plastique et le verre par exemple et toutes sortes de roches forcément. Ce qui compte, c
     ’est d’extraire, des matériaux utilisés pour la construction, tout ce qui peut fixer des vibrations. Il faut que les vibrations circulent et passent. Il ne faut pas qu’il y ait quoi que ce soit pour fixer la vibration, comme justement, tout ce qui est fer à l’origine. S’il y a quelque part du fer dans la construction, il y a une antenne qui n’est pas bénéfique.

     

    Parce qu’une antenne ne doit pas être utilisée de cette manière, il faut qu’elle soit ensuite canalisée pour envoyer l’énergie sur quelque chose. De la manière dont sont utilisés les fers et les différents autres matériaux qui fixent les vibrations, cela devient parasitaire. Parce que toutes les vibrations environnantes se centralisent, s’agrippent sur ces structures, aussi bien les vibrations venant de l’extérieur, que celles résidant à l’intérieur. Il n’y a pas d’aération, il n’y a pas de respiration du point de vue vibratoire.

    C’est pour cela que les bâtiments bâtis de cette façon sont étouffants, dans un sens vibratoire uniquement, parce que rien ne filtre, rien ne peut sortir, rien ne peut entrer, tout est coagulé.L’homme étant, avant tout, un réseau énergétique, un réseau de vibrations, de pulsations qui résonnent avec le cosmos et avec la nature, si on le met quelque part où il ne peut pas recevoir les ondes venant des étoiles, du cosmos, de la nature, il s’appauvrit.

    Ces glandes commencent à s’appauvrir, son système nerveux commence à être exacerbé dans un sens négatif, et ce stress va dépolariser son être. Étant dépolarisé, il va rencontrer la maladie, et la maladie sur tous les plans, selon la faiblesse de l’individu.

    Bien que nous ne soyons pas réellement pour, dès que l’on dit à l’homme retour aux sources, il s’empresse de remettre les vieux sabots de grand-papa et de n’avoir pas plus d’intelligence qu’il n’en avait. Mais il faudrait un certain retour aux sources, avec l’association du positif du moderne.

    Pour faire les matériaux de synthèse, il faut simplement enlever ce qui est parasitaire, et vous avez déjà la capacité de créer des bâtiments de la sorte. Cela existe et a déjà été fait autrefois, et cela n’est pas compliqué. Mais plus tard viendront, plutôt que de nouveaux matériaux, d’autres formes, d’autres équilibres entre les volumes.
    Parce que l’homme s’aperçoit, en fait, que pour faire tenir une construction il faut avant tout juger de l’équilibre de la construction, et d’après l’équilibre à obtenir, les matériaux sont choisis. Ce sont en fait les matériaux qui créent l’équilibre. Jusqu’à présent, c’est ce que l’homme croit, que ce sont les matériaux qui créent la solidité, la cohésion de tous les volumes intérieurs, de toutes les pièces en quelque sorte. Mais c’est une erreur, et tant que l’homme croira cela, il aura recours à des matériaux comme il a recours en ce moment, à des matériaux très lourds, très denses, très fermes, très ferreux, très parasitaires.

    En fait, l’homme ne sait pas encore construire. Il faut qu’il redécouvre ce que déjà dans votre ère d’autres frères savaient, le secret dans la construction des cathédrales. Ils avaient, et ceci non pas par magie, la connaissance de l’équilibre des volumes.

    En sachant jouer avec l’équilibre des volumes, vous allez pouvoir changer les structures et avoir, par là même, des structures plus légères, plus transparentes, plus souples, plus fines, en même temps vous aurez une construction qui respire.

    Toute construction doit avoir la capacité de se dilater, de se contracter, de respirer en fait, de battre au rythme du cosmos et des énergies de la nature, car toute construction doit être un élément qui s’intègre à la nature.

    Si l’élément ne s’intègre pas à la nature, et je ne parle pas du style, je parle tout simplement de la vie même de la construction, la vie des parois, des fondations en quelque sorte, si cette construction ne s’intègre pas à la vie de la nature elle présente un blocage au courant de la nature.
    C’est ainsi qu’il y a dislocation des courants telluriques, dislocation des rayons cosmiques qui pénètrent dans ces maisons, dans ces bâtiments. Ainsi ils sont distordus, et en pénétrant dans la maison ils dérangent les habitants plus qu’ils ne les régénèrent.

    Lorsque vous faites quelque chose de dysharmonieux, comme par exemple une plaque de verre où il reste à l’intérieur de gros grains de sable, où il y a de grosses traces, essayez d’y faire passer le soleil ? Automatiquement le soleil va passer cassé, brisé. Il en est de même avec vos constructions, par rapport aux énergies des étoiles et de la nature.

    Vos constructions ne respirent pas assez . Il faut qu’elles soient comme un poumon transparent, léger. Vous avez déjà les matériaux, mais vous n’avez pas la façon de penser à propos des volumes et de l’équilibre. Il faut repenser la combinaison des volumes, et cela ne vous empêchera pas de bâtir, au contraire, regardez les cathédrales.

    Il faut bâtir avec des formes différentes. Naturellement c’est tout de suite moins commercial, parce qu’une forme ne va pas forcément s’adapter à un besoin. La forme est telle et il faut s’adapter à elle. Or l’homme décide d’avoir tant d’étages, tant de mètres carrés, mettre l’ascenseur ici, la cage d’escalier là, le groupe d’incendie ici. Il faut quelque chose de très précis. Il commande, il crée.
    Il a une attitude inverse à ce qu’il faudrait. L’homme doit regarder dans la nature et faire avec les harmonies et les lois de la nature, alors qu’aujourd’hui, les exigences sont opposées. L’homme contraint la nature pour faire ce qu’il veut. Or l’homme ne fera ce qu’il veut que lorsqu’il sera en harmonie avec la nature.

    Question

    Quelle est la part de responsabilité de l’alimentation dans les maladies dites de civilisation, tels que les divers cancers et de quelle manière faut-il changer l’alimentation ?


    L’alimentation, comme tous les autres sujets, est en correspondance avec le développement humain. Selon ce que vous croyez, selon ce qu’est votre plan de conscience, votre développement, votre religion, vous mangerez en conséquence. Comme l’homme ne sait pas être libre, les dogmes édifient une tradition et l’homme l’entretient.

    L’alimentation devrait être vécue comme un problème d’évolution et de développement cosmique, et non pas comme un problème de diététique.

     

    Lorsque l’on prend l’homme à ses balbutiements, pour régir sa vie, l’homme n’était qu’instincts. Il existe encore certaines tribus qui témoignent de ce que je vais dire. La plupart des hommes étaient des cannibales, ils n’avaient pas la notion de ce qu’était l’aspect du corps, la vie du corps. Comme des animaux, ils mangeaient le corps qui était à disposition, que ce soit celui du voisin ou celui d’un buffle qu’il venait de chasser. Ils ne voyaient que l’aspect viande.

    Petit à petit, l’homme évoluant, avec l’apparition du mental, donc par là même du langage, il est arrivé à juger ce qui était bien, ce qui était mal, à juger ce qui était quelque part acceptable et ce qui était quelque part trop animal, alors il a cessé de manger le corps de ses congénères. Pour les tribus qui n’ont pas évolué, cela peut se remarquer encore dans ce siècle, la tradition est perpétuée.

    À la suite de ce premier changement alimentaire, il s’est intéressé à tout ce que la nature offrait de plus goûteux, parce qu’en même temps que l’on change d’alimentation, on change les réflexes alimentaires. Il faut parfois des générations pour impliquer l’humanité dans un changement de réflexe alimentaire, parce qu’à force de programmer un corps à manger ceci, à manger cela, le corps le réclame comme un fondement même de sa santé.

    Donc, avant toute intervention sur le système d’alimentation, il faut créer des compensations, surtout au niveau du goût. Le goût est le premier réflexe. C’est par le goût que l’homme arrive à guider ses besoins.
    Par exemple, s’il a besoin pour une raison quelconque de santé, de faire entrer un peu d’acide dans son corps, c’est l’acidité qui va être évoquée dans sa bouche. C’est en étant guidé par ce goût qu’il va pouvoir choisir l’aliment juste. Mais avant de pouvoir retrouver tous ces réflexes, il faut qu’il quitte les anciens et là est le problème.

    Donc, l’humanité passe à travers des déprogrammations. Il a fallu l’empêcher de manger le corps de son voisin, maintenant il s’agit de l’empêcher de manger le corps des animaux. Depuis de longs siècles des individus arrivent à équilibrer leurs sources de nourriture, animale et végétale.
    Maintenant pour son développement futur, et pour tout simplement être en résonance exacte, pour être cohérent vis-à-vis des développements spirituels et futurs, il faut que l’homme cesse de manger de la chair animale. Je l’ai déjà expliqué quelque part, mais je vais le répéter pour vous.

    Lorsque l’homme était primitif comme je vous l’ai dit, il était cannibale, et cela n’était pas un péché. Tout simplement le principe était tel que l’on ne pouvait pas demander à un homme animal d’avoir un développement d’esprit suffisamment grand pour comprendre qu’il ne devait pas manger le corps de son congénère.
    Un développement lui a été possible avec l’apparition du mental, donc le jugement possible. Puis une certaine forme de morale, une certaine forme aussi des premières religions a été instituée. Il y a eu respect des corps, et l’homme un petit peu plus humain ne s’est plus occupé que de chasser.

    Cet instinct de la chasse, de manger l’animal est resté dans l’humanité jusqu’à nos jours. La plupart des gens, en fait, mangent la chair animale par tradition. Parce qu’ils ont été programmés étant enfant à manger telle ou telle chose. Leur goût a été éduqué, habitué, à avoir besoin de telle nourriture.

    En fait l’homme n’a pas besoin de viande. C’est tout simplement l’éducation de son goût qui a été construit pour avoir besoin de viande. Quand je dis cette chose, je ne veux pas dire qu’il y a péché à manger de la viande.

    Prenez un homme tout à fait normal, du quotidien, profane, qui vit encore sur un plan astral, il ne commet aucun péché à manger de la viande. Parce que son plan de conscience est tel, qu’il continue à faire partie de la masse des hommes qui, quelque part, est à moitié animale. Donc il continue à faire partie du cycle de la nature pour survivre. Cet équilibre alimentaire est d’ailleurs créé par la nature elle-même.

    C’est pour cela que certaines personnes qui commencent à s’éveiller à la spiritualité se disent: Mais puisque c’est dans la nature, pourquoi l’homme ne le ferait-il pas ?
    Puisque l’animal mange l’animal pourquoi l’homme ne peut-il pas en manger ?

    À ceux-ci je réponds : Fais-tu encore partie du plan animal ?
    Si tu es encore sur ce plan, mange de l’animal, il n’y a aucun problème. 
    Tu fais tout simplement partie de cette grande chaîne alimentaire conçue par l’intelligence pour que la terre soit harmonieuse et que tout son jardin ait un développement harmonieux, sans qu’aucune espèce ne vienne en détruire l’équilibre.

    Chacun dépendant pour sa survie, de l’autre, afin d’entretenir le grand jardin de la terre. Si l’homme fait partie de cette grande chaîne alimentaire, si quelque part il est seulement un élément de la nature, je dis bien un élément de la nature, alors il n’y a aucun problème, car la vie étant un sacrifice, elle accepte volontiers de donner un animal à manger.

    Mais à partir du moment où l’homme veut se développer, où l’homme se dit spirituel, où il commence à connaître certaines grandes harmonies cosmiques, où il n’est donc plus un élément de la nature, mais un fils de Dieu qui doit dominer la nature, alors vous ne pouvez plus vivre avec les principes même de ces éléments. 
    À chaque règne, sa vie. À chaque règne, son plan de conscience.


    Si vous voulez être un fils de Dieu, non pas qu’il y ait péché à manger de la viande, je ne parle pas en ces termes, je dis tout simplement, pour un fils de Dieu, il lui est impossible de sacrifier la vie d’un animal pour renouveler et renforcer la sienne. Parce qu’il est dans son principe de se sacrifier lui-même pour renouveler la vie chez les autres.

    Le Christ n’est pas venu pour vous dévorer tous en disant : j’ai besoin d’énergie pour l’ère qui vient. Parce que vous, vis-à-vis de lui, vous n’êtes rien d’autre que des petites grenouilles et des petits moutons, et les petites grenouilles et les petits moutons vous les mangez bien, vous dites : ce ne sont que des animaux.

    Alors si le Christ n’était qu’un quelconque Gargantua il dirait : « Deux milles cinq cents ans ont sonné, c’est l’heure de mon repas. On va voir un peu sur la terre s’il y a de bonnes cuisses à faire rôtir. » Ce n’est pas ce qui se passe. Au contraire, il vient donner sa vie pour la vôtre. La vie est sacrée et ne pas manger de l’animal, cela ne veut pas dire ne pas commettre un péché, mais tout simplement respecter la vie.

    Il y avait un disciple marchant sur un chemin bordé d’arbres et une colombe affolée vint se poser à ses pieds. Ce disciple avait le don de parler avec le règne animal.
    Il lui dit : « Mais qu’as-tu pour être autant affolée, qu’est-ce qui te fait si peur ? »
    La colombe lui dit : « Il y a là-bas dans la forêt un chasseur qui veut me tuer parce que lui et ses enfants ont faim. Il m’a vue voler, il m’a visée. Alors je viens me réfugier auprès de toi. Sauve-moi. »
    Le disciple prend la colombe, il s’assoit sur le chemin et se met à réfléchir.
    C’était un disciple qui pensait beaucoup. Il se disait : « Voyons, si je sauve la vie de la colombe je vais priver de nourriture toute cette famille. Mais en même temps, si je veux nourrir cette famille je sacrifie la vie de la colombe. »
    Alors il attendit le chasseur en gardant la colombe.
    Il dit au chasseur : « Voilà, la colombe m’a raconté cette histoire, il paraît que ta famille et toi avez faim. »
    Alors en compensation, il projeta son esprit et lui dit d’aller dans tel champ pour avoir de la nourriture et à tel arbre pour avoir du fruit.
    La colombe le regarde et lui dit : « Es-tu sûr qu’il en aura assez pour toute sa famille. ? »
    Ce disciple leva les yeux au ciel, regarda Dieu en face et lui dit :
    « Voilà, Seigneur, pour sauver la vie de la colombe, j’ai envoyé le chasseur prendre de la culture et du fruit dans le champ d’un voisin. »
    Alors Dieu lui répondit :
    « C’est bien mon fils car le fruit de la terre se partage, mais tu n’as pas compris une loi. Tu as bien agi, mais il y a une loi que tu n’as pas comprise » et Dieu essaya de l’initier à ce propos.
    — Es-tu prêt à sauver la colombe ?
    — Oui je veux la sauver. Tiens je te donne mon pied.
    — Ce n’est pas assez.
    — Tiens, je te donne toute ma jambe.
    — Ce n’est pas assez.
    — Regarde, je te donne mes bras, Je coupe chacun de mes membres pour sauver la vie de la colombe.
    — Ce n’est pas assez.
    — Alors veux-tu que je m’arrache le cœur.
    — Ce n’est pas assez.
    Alors, Dieu manifesta une grande balance et dit à son disciple :
    — Viens et instruis-toi. 

    Il prit la colombe et la mit sur un plateau, il prit le disciple et le mit sur l’autre plateau et aucun des plateaux ne bougea, il y avait égalité.
    — Regarde, la vie est partout la même.


    C’est en ce sens qu’il ne faut pas manger de l’animal, parce qu’il y a en lui, de la vie consciente autant que chez l’être humain, à un degré différent, mais autant.
    Autrement dit, il ne faut manger de rien, d’aucune chair qui soit alimentée par du sang. Chaque fois qu’il y a sang, il y a conscience sur un certain plan. Donc, éloignez-vous de toute forme de nourriture érigée par le sang et ainsi vous ne commettrez aucun « péché » vis-à-vis des harmonies, de la balance de la vie.

    Maintenant, par rapport à l’alimentation diététique, beaucoup de découvertes doivent être faites à ce sujet. Il faudra aussi beaucoup de temps. Il y a beaucoup de sursis de vie, de longévités qui ont été acquises grâce à l’hygiène. 

    À l’heure actuelle si on laissait l’homme continuer à se nourrir comme il se nourrit il perdrait cette longévité acquise par l’hygiène. Autrefois l’homme étant plus rustre, plus épais dans les vibrations, et faisant partie de ce plan dont je vous ai parlé, il n’y avait pas trop de problèmes à ce qu’il se nourrisse exclusivement de viande, car l’homme vibratoirement est en correspondance avec la vibration même de la nourriture.

    Mais au fur et à mesure, il s’est développé et des exigences sont venues, par exemple l’hygiène. Aujourd’hui l’hygiène existe, mais il reste, entre autres, le problème alimentaire. Ce n’est pas le seul problème qui engendre des maladies et des perturbations, mais ce problème alimentaire dénature la vibration incorporée qui doit régénérer le corps physique.
    Ce qui est ingéré sur un plan physique se transforme en vibrations et va nourrir le plan éthérique, influence donc d’une certaine manière la vitalité éthérique, la capacité de capter le prana et le développement des chakras.

    C’est pour cela que dans certaines religions, certains temples, le Maître demande à son disciple, selon le degré atteint, de faire telle ou telle ascèse, de ne boire que de l’eau pendant tant de jours, de ne manger que tel pain ou tel fruit pendant tant de jours. Parce que la chose ingérée correspond vibratoirement à un changement vibratoire, à une transformation des feux.

    L’alimentation est la bûche qui permet à l’éthérique de se transformer depuis le physique, parce que l’éthérique n’est pas transformé depuis le haut, mais depuis le bas. N’oubliez pas que vous devez remonter. Donc tout est transformé à partir du bas, des efforts du bas. Ce ne sont pas les choses venant d’en haut qui transforment le bas.
    Par rapport à l’évolution typiquement intérieure de l’individu, c’est le contraire.
    C’est par rapport à ce qu’il fait, ce qu’il acquiert, ce qu’il mange, ce qu’il boit en bas, qu’il va pouvoir remonter en haut.

    Sur un plan alimentaire, il faut donc éviter toutes les sources de nourriture animale, comme la viande. Il faut aussi éviter toutes les boissons fortes, donnant des désordres dans le mental, ou échauffant les différents viscères, ce qui perturbe par le système nerveux et les glandes.

    Alors je ne veux pas dire qu’il ne faut pas savoir s’amuser. Je ne veux pas dire que ceux qui pratiquent ces choses ne sont pas des disciples. Mais à un moment donné, si vous le faites trop, sachez, premièrement, que vous portez préjudice à votre développement spirituel, et ensuite, que si vous voulez développer une prise de conscience et une volonté personnelle, il faut tout stopper. Rien ne sert d’acquérir un développement si vous le parasitez par-derrière.

    Il y a encore beaucoup à découvrir à propos de l’alimentation, à propos de ses effets sur le plan éthérique et sur le comportement psychologique, parce que selon ce que vous mangez, vous arrivez à conditionner un comportement psychologique.
    C’est pour cela que certains proverbes existent, tel que : mangez de ceci et vous serez aimable, mangez de cela vous aurez l’air gai. Les anciens ayant été dépositaires de cette connaissance qui appartenait aux initiés en fait, pouvaient dire : selon ce que vous mangez, vous appartenez à tel type psychologique, à tel type vibratoire.

    Les hommes s’embourbant dans une tradition fausse, mensongère, dénaturent leur être intérieur, leur psychologie. De la même manière que l’homéopathie arrive à changer une psychologie, l’alimentation arrive aussi à renverser un vice, à renverser une dépendance que ce soit vis-à-vis du tabac, vis-à-vis de l’alcool, vis-à-vis du sexe, vis-à-vis d’un besoin psychologique.
    Il y a toute une méthode de guérison à adapter par rapport à l’alimentation. Ce qui ne veut pas dire que c’est le remède. C’est tout simplement une complémentarité à d’autres interventions de guérison.

     
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