• Les lois universelle

     

     

     

    Question :

     

    On nous demande de suivre les lois universelles, pourriez-vous nous énumérer les principales, les plus importantes à suivre pour le règne humain ?


    Les lois universelles changent d’aspect avec chaque civilisation. Quand je dis qu’elles changent d’aspect, cela ne veut pas dire que leur nature change, mais c’est la façon dont elles sont acceptées, énumérées et dites par les hommes.

    C’est ainsi que Moïse a donné des lois qui déterminaient quel devait être le comportement conjugal. Lorsqu’il disait : « Tu ne regarderas pas et ne convoiteras pas la femme de ton voisin », ce n’était pas faire référence à une loi universelle. Parce que Dieu ne s’est pas occupé des affaires matrimoniales des hommes, et comment aurait-il pu l’imaginer, lui qui de toute manière n’a même pas de compagne vu qu’il est un.

     

     


    Simplement les lois sont telles, et à la manière des rayons, elles ont des degrés et chaque fois que la pénétration de ces degrés s’effectue dans la matière et prend contact avec le degré de conscience des hommes, elles prennent un aspect et se subdivisent pour créer d’autres lois subsidiaires et inférieures, mais qui sont quand même rattachées à la loi primordiale.

    Cette loi primordiale se met donc à la portée du plan de conscience, du plan de civilisation des êtres concernés. C’est ainsi que tel ou tel prophète, tel ou tel guide peut édicter un certain nombre de lois qui, en fait, n’ont rien d’universelles, mais qui sont quand même des lois rattachées à l’universel.

    Sans cette base, l’homme n’arriverait pas à comprendre la loi.
    Donc, en fait, la loi passe d’abord par un aspect social. La première manifestation de la loi cosmique c’est une loi sociale quoique l’on en pense. C’est pourquoi l’effort est toujours porté pour construire des civilisations, pour construire des sociétés.

    Vous êtes vous demandés pourquoi l’homme, presque instinctivement, construit-il toujours des sociétés ?
    Que vous remontiez très loin dans le temps, il y a toujours eu des villages, des tribus, des peuples. Si le regroupement a toujours été à la base en fait de la construction de la civilisation du monde, c’est parce qu’avant tout, la loi cosmique devient loi sociale.

    Donc pour être un disciple qui respecte les lois cosmiques, il faut avant tout respecter les lois sociales, ces lois toutes bêtes du genre : tu ne voleras point, tu ne tueras point. Je ne vais pas vous les citer, vous les connaissez.

    Il faut être donc un bon citoyen en fait. Je ne veux pas éveiller en vous ce sentiment de patriotisme ou autre, c’est d’une clarté tellement évidente que je ne devrais pas avoir à le dire.
    Lorsque l’on veut être un disciple intègre, la première chose que l’on respecte c’est l’environnement, que ce soit l’environnement de la nature ou de la société.
    Respectez les lois, même si la loi est absurde pour les hommes.

    C’est pourquoi Jésus a dit lorsque l’on lui demandait : « Pourquoi dois-je payer l’impôt, cet impôt trop lourd qui nous appauvrit ? Qu’est ce que tu as à dire là-dessus toi le fils de Dieu ? » Et il a dit :
    « Rends à César ce qui est à César »

    Or il n’y a aucun Maître (si un jour vous montez nous voir on en discutera), qui ne soit pour l’impôt. Cette notion même n’existe pas dans l’esprit d’un Maître. C’est une affaire de financier, ce n’est pas une affaire de Maître.
    Mais il faut respecter la loi sociale car c’est ce qui maintient le système d’évolution, ce qui maintient le système d’avancement, c’est ce qui permet à certains individus de se développer. Donc, rend à César ce qui est à César.

    Ne grimacez plus lorsque vous payez vos impôts, et je ne dis pas cela pour que vous aimiez le fisc soudainement. 
    Je dis seulement cela, pour que se développe en vous un certain état de disciple, une conscience de votre devoir.

    Ceux qui commencent à marcher sur le chemin, sont souvent en rupture avec le monde traditionnel, le monde social. Ils voudraient un monde particulier, un monde fantastique. Alors certains créent des mondes artificiels, ils vivent en autarcie, ils se créent leurs lois, leurs systèmes, et le monde traditionnel est dehors.

    Erreur ! S’ils ont cette rupture, c’est justement parce qu’ils n’arrivent pas encore à faire la synthèse, donc il faut les aider. Il faut les aider à intégrer ce monde spirituel dans le monde traditionnel.
    Un disciple, un initié, je ne dis pas qu’il est heureux, qu’il saute de joie en payant ses impôts, et qu’il pense avoir fait un acte de charité vis-à-vis de la société.
    Il doit avoir la conscience que c’est son devoir de participation à la vie de la citée.

    Le disciple ne fait que passer dans le monde. Il vit quelques soixante ou soixante dix ans mais après lui le monde doit durer. Il doit léguer un monde intact pour qu’il puisse servir à d’autres, comme il s’en est servi.

    Donc, respectez les règles. Tout naturellement, à l’intérieur du monde, vous avez le devoir de transformer les règles pour les anoblir, mais vous n’avez pas le droit de les détruire, vous devez avant tout les respecter. J’espère que c’est admis.

    Les rayons 4 à 7

     

    Les rayons quatre à sept.

     

     

     


    Question :

    Dans l’énoncé de notre première question, nous avons demandé des informations relatives aux trois rayons majeurs, maintenant, on vous demande si nous pouvons aussi recevoir des commentaires sur les rayons quatre à sept.


    Je le répète, ce sont, les rayons qui constituent toute la matière. À chaque rayon sont attachées des hiérarchies, et chaque rayon passe par les différentes planètes de votre système solaire.

    Naturellement la terre n’est pas le centre de l’univers, mais comme chaque système est une reproduction du grand système, tout est copié à la façon du grand système. C’est ainsi que, lorsqu’il y a création d’une vie physique dans un système solaire, il y a immédiatement copie du grand système, du macrocosme.

    C’est pourquoi la terre semble être le centre de toutes nos préoccupations et de nos discours, alors qu’en fait elle n’est qu’un petit point dans l’infini. Ces sept rayons passent à travers les sept planètes maîtresses de votre système solaire. C’est ce que l’on connaît en astrologie.


    En étudiant l’astrologie, on n’étudie en fait que l’aspect exotérique de ces forces, l’aspect manifesté, l’aspect qui va justement concrétiser, formuler la matière, la personnalité, le psychisme et la forme de l’homme.
    Ce qui manque à la connaissance astrologique, c’est l’aspect ésotérique de ces forces et lorsque l’on veut découvrir cet aspect, il faut tout simplement étudier les rayons eux-mêmes.

    Au-delà de la planète, il n’y a rien d’autre que le rayon en tant qu’essence, et ces sept rayons viennent du soleil et constituent tout ce qui est en l’homme, la moindre racine de ses cheveux, la moindre de ses pensées.
    Vous êtes constitués totalement par les sept rayons en tant qu’homme physique et spirituel, mais en tant qu’entité spirituelle vous n’êtes que les trois rayons majeurs.

    Les quatre autres étant, en fait, des jeux de manifestation et moyens d’action.
    C’est pourquoi ils sont exotériques, car ils ne sont que des instruments, alors que les trois autres sont ésotériques, car ils sont la substance et l’essence.

    Il en est de même pour les Bouddhas concernés, à la tête de ces différents rayons. Les planètes ne sont pas les lieux où ces Bouddhas existent, car les planètes sont encore une forme trop dense pour eux. Mais par contre, y résident leurs hiérarchies, du point le plus grand jusqu’au point le plus infime, le plus bas, comme les esprits qu’utilisent les mages et les magiciens.

    Ces hiérarchies issues d’un Bouddha X par exemple ont constitué une planète, imaginons Jupiter, et travaillent, par le rayon qui passe par la densité et le type de matière de Jupiter, à maintenir et à diriger toutes les formes sur la terre.

    C’est ainsi que la terre, recevant depuis l’origine l’influence de ces rayons, continue sa formation, car la terre est encore en formation, elle est encore en travail jusqu’à ce que les sept races soient effectivement nées et pleinement vécues par les âmes.

    Vous êtes toujours, en fait, dans la partie de la genèse, vous n’êtes pas encore nés, la terre n’est pas encore véritablement née. Lorsqu’elle le sera véritablement, elle n’existera plus en tant que planète physique. Toutes les civilisations seront transportées sur un plan plus subtil et il y aura le pont avec Shamballa. Chacun pourra entrer dans la cité céleste.

    En attendant la venue de toutes les races, et qu’elles soient pleinement maîtrisées dans leur action, leur mode de pensées, de vie etc., il faut que toutes les planètes soient passées en action et qu’elles aient pu déverser leurs rayons, et toute la conscience, tout le travail initiatique de leurs rayons. La dernière qui effectuera la chose, qui bouclera le cycle en quelque sorte, sera Neptune, et comme il est dit dans le livre : des ténèbres est sortie la lumière. C’est l’acte de Neptune.

    Dans son premier aspect, Neptune est chaotique, mais en même temps il est celui qui représente le plus la divinité, qui détient la plus grande clé initiatique, la plus grande inspiration divine.

    Neptune est là à l’origine du monde qu’il crée dans l’amalgame chaotique de tous ces rayons mélangés et condensés. Puis à chaque jour, c’est-à-dire à chaque ère, à chaque cycle, (parce qu’en fait les jours de la bible sont des ères), il passe le sceptre à l’initiateur suivant, donc à la hiérarchie suivante pour concrétiser tout le travail qui est à faire, toutes les humanités qui sont à créer.

    Ensuite, lorsqu’il s’agit de consacrer l’humanité finale, l’humanité de synthèse, l’homme, il reprend le sceptre, absorbe son humanité et la renvoie au cahot dans une autre dimension. Pour l’humanité c’est l’occasion de la naissance, où le peuple devient solaire. Il quitte sa situation d’être terrestre pour devenir un être solaire, car toutes les civilisations pour retrouver leur trinité, ces trois rayons dont nous parlions initialement, toutes les civilisations sont obligées de prendre la porte du soleil.

    C’est pourquoi dans les traditions anciennes, chaque fois que l’on parlait d’un messager de Dieu, on le disait venir du soleil, ou on le dessinait passant par la porte du soleil. Toute cette imagerie concerne cette réalité initiatique.

    Quand l’humanité, dans son ensemble, arrive à son apogée spirituel, lorsqu’elle n’est plus qu’une synthèse des sept rayons qui l’ont successivement constituée, elle devient solaire, elle rejoint le logos solaire qui devient l’initiateur. Et à l’intérieur de ce logos solaire, il se passe la même chose qui se passait à l’intérieur du logos planétaire, ce que vous vivez maintenant, mais à un degré supérieur.

    Ensuite ayant acquis toutes les initiations sur un plan solaire, cet être est transporté dans une autre dimension, dimension qui constitue à nouveau le corps d’une autre entité, le logos universel. C’est à ce moment-là que l’on ne peut plus rien dire. Parce que déjà, si je pouvais vous expliquer ce qui se passe dans la vie solaire, vous n’en comprendriez que très peu, alors épargnez-moi le logos universel.

    Lorsque l’on s’intéresse à la constitution des rayons, on aborde un sujet qui est tellement immense et nécessite une habilité de l’esprit tellement développée, qu’il devient très difficile de mettre à la portée de tous toute cette science.

    Non pas parce que l’homme terrestre n’est pas assez préparé pour recevoir cette chose. Ce n’est pas une question d’intelligence,
    c’est une question de compréhension grâce au plan de conscience.

    Lorsque j’explique, par exemple, ce qu’est le rayon deux, j’ai beau expliquer qu’en fait i
    l est tout simplement l’épanchement du rayon d’amour, qu’il est l’amour cosmique, la flamme, celui qui me comprend vraiment, est celui qui, en fait, est déjà éveillé à ce plan de conscience.

    C’est pourquoi je préfère vous dire comment vivre, comment penser, comment agir, comment empoigner ces énergies qui vous constituent pour que vous, vous découvriez la vérité sur ces choses.
    Je ne prononce pas des paroles en l’air pour le plaisir de philosopher. Par contre, je veux descendre là où vous souffrez, là où vous vous énervez, là où vous vous débattez avec votre problème et parlons-en, pour que vous puissiez le dominer, et lorsque vous l’aurez dominé, alors je n’aurai plus rien à dire, vous découvrirez votre réalité.

    Apprenez à vivre et en même temps vous comprendrez les lois de la vie. Mais, naturellement, dans un premier temps, comme je le conseille souvent, il faut s’instruire, mais n’imaginez pas que l’instruction sera l’effort principal sur votre chemin initiatique. L’instruction vous permettra de développer le discernement. Instruisez-vous, mais expérimentez, maîtrisez et vous comprendrez la science occulte.

    Qu’est ce que la science occulte ?

    La science occulte, ce n’est pas mettre à la portée de tous la conscience cosmique et ses lois.
     On ne devrait pas appeler toutes ces choses science, connaissance, une tradition parlée et écrite, c’est là le problème. Autrefois il n’y avait qu’une transmission de conscience à conscience, du maître à l’élève. C’est cette époque-là qui est représentée par la flamme vivante où le maître est pratiquement invisible, où Isis est toujours voilée, parce qu’en fait, elle n’est là qu’en tant que substance pour se déverser lorsque le disciple est prêt.

    Instruisez-vous, c’est très bien et je vous le conseille, mais attention ce n’est pas tout, il y a l’expérience, le plan de conscience à acquérir. C’est ce qui vous permettra de rester humbles, si vous gardez à l’esprit que vous avez toujours à travailler sur le plan de conscience plutôt que sur l’effort.

    Ainsi vous avez conscience que vous n’êtes jamais allés assez loin, assez profond et qu’il faudra toujours expérimenter, toujours vous métamorphoser, toujours vous transformer, toujours apprendre, mais vous serez en sécurité par rapport à l’orgueil. Quelqu’un qui croit qu’il suffit de savoir, risque fort et très vite d’être orgueilleux.

    Tandis que si vous axez votre développement sur le plan de conscience, que vous gardez à l’esprit que toute la métamorphose s’opère là, et que c’est sans fin, alors vous gardez votre humilité, vous savez garder votre place, et vous faites l’effort juste, vous économisez en fait du karma.

    Vous n’avez pas à revenir pour expérimenter une illusion que vous avez créée. Vous restez clairs et purs. Le plan de conscience, n’oubliez pas cette chose.

    Qu’est-ce qu’un plan de conscience ?


    Essayez d’imaginer le plan de conscience que vous aviez lorsque vous étiez âgés de dix ans, la façon dont vous ressentiez les choses, la façon dont vous réagissiez par rapport aux choses, et le plan de conscience qui vous constitue maintenant.

    C’est cela le plan de conscience, ce que vous étiez quand vous étiez petits et ce que vous êtes maintenant.
    Un plan de conscience c’est tout simplement une autre façon d’entrevoir, d’appréhender, de se comporter, non pas en se forçant, mais en étant soi-même autre chose. C’est une question d’être, ce n’est plus une question de contrôle. Axez vos efforts là-dessus.

    La vérité, La justice


    Question :
    Voici une triple question. Qu’est ce que la vérité ? Qu’est ce que la justice ? Et à la lumière de la vérité et de la justice, l’usage de la force et de la violence est-il justifié ?


    Qu’est ce que la vérité ?

    La vérité c’est la réalité.

    Qu’est ce que la réalité ?

    C’est ce que vous ignorez, car pour admettre la réalité, pour connaître la réalité, il faut atteindre un certain plan de conscience. La vérité est toujours la quête de tous les gens qui ont une certaine envergure, un certain déploiement des concepts intellectuels.
    C’est ainsi qu’en philosophie, sans admettre une part ésotérique, la quête de la vérité, la quête primordiale est : quel est le sens du monde, quel est le sens de la vie. Pour eux, s’interroger à propos du sens du monde, du sens de la vie, c’est rechercher la vérité.
    Or, s’interroger à propos du sens du monde et de la vie, c’est s’interroger à propos de la réalité, mais on ne peut arriver, aboutir à la connaissance du sens du monde que si l’on se développe suffisamment pour pouvoir admettre la réalité du monde.
    Qu’est ce que la réalité du monde ?

    Pour chacun, la réalité du monde change selon son degré initiatique. Pour untel la réalité du monde est que le monde est violent, que le monde ne vaut rien, qu’il est désespérant, que les hommes ne valent rien, qu’ils sont méchants, très violents.
    Pour un autre, d’un autre tempérament, d’un autre rayon, le monde va être une béatitude où tout le monde est gentil, où de temps en temps on nous tape un peu sur les doigts, mais finalement on est optimiste.
    Pour un autre individu, la réalité du monde va être l’argent, la conquête du pouvoir, l’exercice de l’ambition. Cela passe toujours par la capacité d’entendement, par la capacité de vision de l’individu.

    Mais en tant qu’essence, la vérité c’est simplement la réalité. On ne peut pas discourir sur la vérité. Il y a simplement à l’intégrer, à se révéler à la réalité, et ainsi la vérité entre en nous. Vérité, réalité c’est comme amour sagesse, on peut tourner autour du pot en découvrant mille et un mots pour exprimer une seule et même substance.

    L’homme ne peut découvrir de lui-même le sens de quelque chose, parce que le fait même de sa quête indique qu’il est encore dans sa limite.
    Donc ne cherchez pas la vérité, instruisez-vous à propos de la réalité, et essayez chaque jour davantage, de vivre en rapport, de plus en plus serré, avec la réalité.

    Qu’est ce que la réalité ? C’est ce que vous a dit Jésus.
    Le royaume, c’est la réalité. Vous êtes éternels, c’est la réalité. Aimez-vous les uns les autres, c’est la réalité. Ce que tu fais au plus petit d’entre mes enfants c’est à moi que tu le fais, c’est la réalité. Toutes ces lois-là, sont les représentations de la réalité.

    Qu’est ce que la justice ?


    Sur le plan terrestre, la justice est un système qui permet, par actions égales, de pouvoir châtier ou de pouvoir récompenser une action.
    La justice en terme cosmique c’est la pureté, c’est la clarté, c’est encore la réalité.

    La justice n’est pas exercée par Dieu, par le Maître ou une hiérarchie. La justice en tant que telle n’existe pas, il y a tout simplement une pureté.

    Lorsque l’homme au cours de son évolution rencontre la pureté, comme elle est un miroir, l’homme prend conscience de toutes ses limites, de toutes ses infortunes, tous ses malheurs, tous ses vices. Ça, c’est la justice, mais ce n’est qu’un miroir, et le miroir ne peut être justice que s’il est pureté. Il ne donne aucun verdict, il est là et quand l’homme regarde, il sait et se châtie lui-même.

    Aucune loi ne châtie l’homme. C’est le miroir, qui, en envoyant la perfection, envoie ce que vous vous appelez la justice, et qui n’est qu’une force de rédemption pour pouvoir anoblir et développer l’homme.
    Lorsque cette force de rédemption arrive sur la terre, l’homme croit que c’est le temps du châtiment, parce que, selon le nombre de ses vices, de ses limites il va rencontrer les épreuves correspondantes, et, selon l’entêtement, cela peut avoir l’apparence du malheur, alors que ce n’est qu’un moment d’initiation.


    Tous ces concepts-là sont des concepts qui ont une résonance intellectuelle, qui s’applique dans un domaine social. Comme je l’ai dit tout à l’heure, toutes les lois cosmiques ont une manifestation en tant que loi sociale. Donc, quelque part, ces lois-là sont quand même une réalité. Mais lorsque l’on veut aller au fond de cette réalité, il faut se détacher de son sens terrestre pour n’aborder que le sens cosmique.

    La justice c’est un bien grand mot, une bien belle énergie, elle s’établit maintenant, vous êtes en train de la vivre. Vous me demandez ce qu’elle est ? 
    Regardez le monde et regardez la justice s’établir.

    Vous pouvez me dire : « Comment peut-on constater la justice, alors qu’il y a tant d’horreurs, et justement tant d’injustices apparentes ? »

    Alors, n’oubliez pas que
    la justice est un miroir. À l’heure actuelle, l’homme se regarde en train d’agir, il prend conscience de ses vices, de ses limites. La société se révèle en tant que telle, l’homme se révèle en tant que tel. Celui qui avait un fond d’assassin, assassine, parce que c’est l’heure de la révélation, et quand c’est l’heure de la révélation, comme le dit l’apocalypse, ce n’est pas seulement l’heure où Dieu vient donner son enseignement, c’est aussi l’heure, pour l’homme, de prendre conscience de ce qu’il est, et selon ce qu’il saura de lui, il pourra comprendre l’enseignement.

    En ce moment de grand bilan, toutes les noirceurs remontent des enfers de l’homme pour qu’il en prenne conscience. S’il y avait une énergie qui dissimule les problèmes, qui dissimule les vices, il n’y aurait pas d’évolution.

    Il se trouve que, pendant un certain temps, l’énergie travaille à édifier un certain système, une certaine philosophie, une certaine civilisation, puis un jour, l’initiateur arrive avec son miroir de justice. Il met au grand jour tous les problèmes, tous les vices de la machine, et tous ces vices explosent.

    Celui qui fait partie de la machine croit au grand cahot. En fait, c’est la clarification de la situation. Lorsque l’on est à l’intérieur de cette clarification, il ne semble pas que cela soit pour un grand bien. Attendez de voir les choses, il ne faut jamais juger quand on est au milieu de l’action.
    De plus, l’homme a toujours l’habitude de croire que le pire va être pour demain. De génération en génération les hommes se passent la manie comme si c’était une hérédité : demain ce sera pire, cela va de plus en plus mal, grand papa avait une vie meilleure.
    N’oublions pas que grand papa a vécu la guerre de 14-18, et lui-même disait : « Au temps de grand père c’était mieux. » N’oublions pas non plus que ce fameux grand père a vécu certaines révolutions, certaines autres guerres, qu’il y avait la peste, qu’il y avait la syphilis, qu’il y avait la famine, que l’on détroussait les femmes pour un rien, que l’on égorgeait les gens pour quatre sous.

    À l’heure actuelle, la vie va au contraire vers un meilleur, mais avant que ce meilleur n’arrive véritablement, il faut, de fond en comble, analyser la machine, qu’elle révèle chacun de ses vices pour pouvoir les enlever. Donc n’ayez pas peur, et au lieu d’avoir l’idée de la survie, préparez-vous à la perfection. Ne travaillez pas pour la survie, travaillez pour la perfection, et quoiqu’il se passe, n’ayez pas peur.

    Partager via GmailGoogle Bookmarks

    votre commentaire
  • Question :                                                            
    Au dernier paragraphe de la grande invocation nous disons : que Lumière, Amour et Puissance, restaurent le plan sur la terre. Dans notre compréhension les trois colonnes de Shamballa s’assimilent en tant que principe, à la force pour le premier rayon, à l’amour sagesse pour le deuxième rayon, et intelligence active pour le troisième rayon. Comment les appréhender dans une vie de recherches initiatiques ?


    Les trois premiers rayons cités dans cette expression, sont la constitution de base de l’homme.
    Dans cette partie que l’on appelle La Trinité en l’homme, résident justement ces trois forces.

    Dans le premier aspect issu de la science et de la conscience parfaite, l’homme est tout d’abord cette trinité, ces trois repaires. Ensuite ces trois aspects de l’homme prennent des diversifications qui sont de l’ordre de l’intellect, du cérébral, de l’émotionnel etc., tout ce dont l’homme est constitué normalement et quotidiennement.

    À la base, en fait, les sept rayons existent déjà dans la nature. L’animal fait partie d’un rayon, qu’il intègre et vit, mais à son niveau animal, c’est le rayon trois. Toute la nature déploie les sept rayons, parce que toute la nature est elle-même un jeu alchimique des forces de l’univers dans la manifestation physique.

    L’homme appartient plus spécifiquement au rayon deux, car il est le fils, il est le "créé". Étant donné qu’il est créé, dans l’essence, il ne peut représenter et avoir en constitution que les mêmes aspects de la création, soit du créateur lui-même, ce que vous appelez le microcosme du macrocosme. Il contient donc principalement cette trinité, ces trois rayons.

    Au fur et à mesure de son développement, il prend conscience des sept rayons avant de prendre conscience de cette trinité, de ces trois rayons, qui, lorsque l’on en prend conscience ne deviennent plus que le rayon unique, ce qui permet de dire que l’on a retrouvé le Père, comme il est dit dans le livre sacré.

    Mais parlons des sept avant de parler des trois. Ces sept rayons sont la constitution de base de toute la matière elle-même. Ces sept rayons, ces sept aspects, ces sept jeux de la force créatrice, les sept températures, les sept degrés de densité de la forme, c’est ce qui constitue l’atome, la forme elle-même.

    Un chimiste ou un physicien lorsqu’il ira plus profondément dans les études de ce type, arrivera à jouer avec ces sept sortes de loi. C’est ainsi que de chimiste il deviendra alchimiste. Pour l’instant toutes les sections de ce genre d’études se dispersent à cause de leur spécialisation. À force de vouloir tout comprendre, on ne fait appel qu’au cérébral et à l’intellect, alors qu’avec un zeste de connaissance et de conscience ésotérique il y a réduction des hypothèses, formation de synthèses et on retrouve les sept rayons.

    Avant que physiciens et chimistes trouvent la nature de ces sept rayons, il faut qu’ils aillent beaucoup plus loin dans la recherche nucléaire, car c’est de là que viendra cette science.

    Ils verront comment les atomes se créent, s’assemblent, se désassemblent, en fait que toute cette action n’est délimitée que par sept forces, ils auront le loisir de jouer avec les mutations de ces forces. C’est pourquoi, avant d’en arriver à cette compréhension, il faut absolument que le monde se spiritualise, car l’homme pourrait opérer toutes les mutations possibles.
    Il pourrait créer un nouvel homme, il pourrait créer une nouvelle race d’animaux, une nouvelle espèce d’arbres, il pourrait aussi créer de nouvelles énergies. Or, créer une nouvelle énergie, équivaudrait à créer ce que d’autres en d’autres temps ont su créer, et qui est devenu le rayon de la mort.

    En fait, on ne peut pas créer un autre rayon énergétique. Il faut simplement jouer, travailler avec les sept rayons existants. Créer sur un plan terrestre cette huitième force énergétique serait l’équivalent d’une pyramide renversée, d’une hiérarchie inversée, et ne pourrait donc créer que l’inverse de la puissance des sept qui construisent.

    Admettons que vous connaissiez les aspects de ces sept rayons et que nous puissions parler des trois.

    L’homme au cours de sa vie doit faire l’apprentissage et l’exercice de ces trois rayons. C’est ce qu’il fait au cours de sa vie affective, soit sur le chemin de l’amour, dans sa vie intellectuelle et cérébrale quand il doit apprendre, étudier, discerner, et lors de sa vie personnelle, dans l’exercice de sa personnalité, lorsqu’il a les rapports de force, les relations avec autrui.
    Ce qui fait, que tout ce que propose la vie, condense en expériences quotidiennes ces trois aspects de l’homme et du cosmos et, du cosmos en l’homme.


    Lorsque vous êtes face à quelqu’un, que vous devez expérimenter la relation, vous expérimentez le premier rayon, celui du rapport de force, de la force concrète, puisque tout se passe sur un plan physique, alors que le rayon cosmique est dans un aspect abstrait. En arrivant à tirer l’essence de cette force concrète, vous arrivez à saisir le sens abstrait.

    Quel est le côté concret et le côté abstrait d’un rayon ?

    Le côté concret d’un rayon est tout simplement sa manifestation sur le plan de la personnalité et sur un plan physique. La nature est le meilleur aspect concret de la manifestation des rayons. Parce que dans la nature, tout est concrétisation, tout est force primaire, même si la grande intelligence régit le tout, la force est avant tout primaire.
    La force d’un germe, la force d’un animal, tout cela est primaire, son extériorisation est donc le côté et l’aspect concret du rayon, tandis que dans sa vie intérieure, son côté abstrait, ce rayon envoie depuis la substance mentale cosmique, l’esprit du bien, l’esprit du plan.

    Si l’on voulait donner une image au rayon un, il faudrait tout simplement imaginer le plan, sans qu’il n’y ait ni Dieu, ni les Maîtres, ni les anges, mais simplement une substance mentale qui déclenche le plan, qui maintienne en vie, qui maintienne en cycles toutes les créatures, toutes les créations, les planètes, les systèmes. Cet ordre de vie perpétuel, qui régit la vie, régit les cycles et les fait advenir, c’est le rayon un.

    En l’homme, cela représente la puissance de la personnalité. Si l’homme vit ce rayon de manière primaire, ce sera quelqu’un qui voudra toujours commander, qui terrorisera ou qui sera dictateur. Vous en connaissez tous les aspects. Quelqu’un d’un peu plus évolué emploiera ce rayon non pas pour dominer les autres, mais pour sortir les autres de leur petite condition, c’est-à-dire qu’il se transforme en chef de file pour pouvoir justement diriger.

    Chez un individu complètement réalisé, totalement purifié, ce rayon n’est plus que le pouvoir, le pouvoir en tant qu’énergie. Au moindre de ces mots l’action s’effectue, le miracle a lieu. C’est le pouvoir, le pouvoir miraculeux, le pouvoir de grâce, de rédemption etc.

    Le rayon deux, celui qui représente plus spécialement l’homme, est un rayon de sagesse. On a associé à ce mot-là, l’amour, parce que l’amour et la sagesse sont deux synonymes et sont une seule et même chose. C’est lorsque l’on connaît que l’on peut aimer. L’affectivité existe dans tous les degrés, c’est un fait, mais l’amour, celui dont je parle, n’existe dans le cœur de l’homme que lorsqu’il connaît.

    Que veut dire connaître ?

    Connaître, ce n’est pas avoir une connaissance cérébrale de l’autre, de l’ésotérisme ou des lois occultes. Connaître, c’est qu’une certaine connaissance devienne un état de conscience.

    Les expériences déclenchent un jour une maturité, et cette maturité provoque l’état de conscience. Et dans cet état de conscience, il y a, la sagesse et l’amour fusionnant, parce que de la même essence. Pour pardonner, si vous vous prenez pour un grand, bien pensant, bien arrivé, si votre cœur ne connaît pas certaines lois, une certaine maturité, vous ne pourrez pas regarder l’autre comme un enfant qui a une conscience au stade de l’infantilisme. Si vous n’avez pas ce cœur-là, vous êtes obligés de vous violenter pour pardonner, et faire des efforts pour essayer de comprendre que l’autre ait pu vous traiter de telle manière.

    Quand vous avez cette connaissance déclenchant cet amour en vous, vous n’avez plus besoin de vous forcer à quoi que ce soit, ni de vous violenter, de vous contrôler pour exercer le pardon. Avec lucidité vous vous rendez compte des limites de l’autre, et comme pour tout enfant vous souriez et vous essayez de l’enseigner.

    C’est cela le pardon. Ce n’est pas faire acte de grâce. Rien n’est pire du : « je te pardonne ». Il faut plus tôt dire : « je te comprends ». L’acte est beaucoup plus humble et prouve qu’en vous il y a cette connaissance, cette science.
    « Je te pardonne », c’est joli à dire, et beaucoup de gens prétendent savoir pardonner, mais en fait, tant qu’ils ne comprennent pas, ils ne peuvent et ne savent pas pardonner.

     

    Le troisième rayon, l’intelligence active, est celui que vous expérimentez un peu plus à l’heure actuelle dans cette civilisation-ci, car toute l’humanité est poussée maintenant à obtenir une clarté plus lucide du plan mental qui vous constitue occultement.

    En prenant de plus en plus conscience de ce plan mental et en vous poussant à le maîtriser, ce qui ne se fera qu’au fur et à mesure des générations, vous allez et vous êtes en train d’obtenir le troisième rayon.

    Il existe en vous, en tant qu’essence, mais vous ne l’utilisez pas maintenant, vous n’utilisez qu’un certain aspect de ce rayon trois par l’intermédiaire de votre cérébral. Mais tout ce qui est de l’ordre du rayon trois vous est en partie inaccessible, sauf aux initiés qui peuvent exercer toutes les forces et tous les aspects du plan mental.
    .
    Donc, pour aller plus loin dans cette conscience des trois rayons, il faut tout simplement travailler à la purification et devenir chaque jour un plus grand disciple. Il n’est pas besoin de chercher une voie, un exercice, pour développer la conscience de tel ou tel rayon. Cela ne marche pas. Ce qu’il faut, c’est développer les trois, même si un rayon détermine plus principalement votre type d’évolution.

    Pour prendre conscience du premier rayon, sublimez votre personnalité dans les relations individuelles et de groupes, essayez d’agir avec perfection ainsi que ce rayon agit dans le cosmos. Agir avec perfection par le rayon un, c’est aider, soutenir, éduquer les autres, diriger sans dominer, diriger en orientant.

    Voilà, ce qu’est le plan, le serviteur, le rayon un. C’est aussi le Maître, car tous les Maîtres appartiennent au rayon un, en tant que puissance, en tant qu’esprit, ensuite chacun a le rayon deux ou trois. Mais ce qui permet au Maître d’agir c’est le rayon un.
    Si vous voulez pleinement entrer dans le rayon deux, instruisez-vous tout en expérimentant l’instruction. C’est l’expérimentation qui permet de déclencher le plan de conscience. Il y a création de la substance de l’enseignement, et à ce moment-là, transfert à un plan de conscience. Si vous voulez expérimenter le rayon trois, développez tout ce qui est dans le plan mental.

    Comment développer le plan mental ?

    Le plan mental ne peut se développer que si le rayon deux est suffisamment vivant dans l’individu, et, le bas aspect du rayon deux c’est le plan astral. C’est pourquoi le plan mental ne vous sera accessible que dans la mesure où vous aurez développé, je dis bien, développé, et non pas maîtrisé, le plan astral.

    Toute l’affectivité est liée au rayon deux. Il faut que l’homme sublime l’affectivité pour découvrir l’amour, mais il ne peut sublimer cette affectivité que par l’expérimentation, déclenchant ainsi des expériences qui résonnent dans le rayon trois, c’est-à-dire dans sa partie mentale, déclenchant ainsi l’intelligence qui va pouvoir régir les énergies du plan deux et du plan un.

    Le plan trois, c’est donc l’accès au contrôle et à la maîtrise des deux autres plans de l’homme. En faisant de plus en plus appel à votre troisième rayon ou à votre troisième plan de conscience, vous saurez mieux diriger les deux autres aspects de votre être : votre personnalité dans ses relations avec le rayon un, vos relations affectives dans ses désirs et ses ambitions avec le rayon deux. Donc, lorsque l’homme veut travailler sur les rayons, il travaille sur la totalité de son être, et à sa manière, il reconstitue le chemin initiatique. Car le chemin initiatique n’a pas d’autre but que de développer en vous, la maîtrise totale de ces trois forces primordiales qui sont votre être.

    Lorsque vous naissez pour la première fois, vous êtes dépositaire de ces trois courants de force. En vérité, vous n’êtes qu’énergies, et n’avez aucune image. Pour pouvoir agir, rayonner, pour pouvoir pleinement être et expérimenter leurs taux vibratoires, ces énergies doivent passer par l’intelligence qui peut s’acquérir par l’individualisation.

    Tout le chemin initiatique vise à réveiller votre conscience objective à cette réalité de l’existence de vos trois forces, puis à les contrôler.

    Vous n’apprenez pas à devenir beaux, bons, parfaits parce qu’un jour, vous êtes nés imparfaits. Vous êtes plongés dans la forme pour prendre d’abord conscience de votre individualité, puis instruits pour pouvoir jouer et maîtriser vos énergies.

    On vous instruit, comme un Maître apprendrait à un artiste de grand talent à maîtriser seulement sa main. Il ne lui apprend pas à être talentueux car le talent est en lui, la force est en lui. Il lui apprend à diriger le poignet, il lui apprend, en fait, la technique à mieux faire la synthèse entre sa vision et son exécution.
    C’est ce que vous enseignent les guides et les Maîtres. C’est pour cela que j’essaie de vous détacher de l’image du Maître ou de l’image d’un Dieu paternaliste. Car la chose est fausse cela vous engage dans une compréhension erronée. Vous n’avez rien d’autre à conquérir que vous, mais pour cela il vous faut un exemple, un indicateur, un témoin.

    Le Maître vous dit : « Vois ce que je suis, tu es la même chose, alors travaille. J’ai fait tel et tel exercice, j’ai emprunté telle et telle voie, j’ai eu telle et telle épreuve, voilà tout ce que tu auras. Garde courage, je suis derrière toi ».

    Si vous aviez accès immédiatement à tous vos réseaux d’énergie, vous seriez tellement perturbés par votre propre taux vibratoire, que votre enveloppe physique ne résisterait pas à votre propre rencontre. Votre personnalité serait détruite instantanément, car vous avez la même puissance que la force atomique que vous connaissez.
    Je ne dis pas de rencontrer le Christ ou un logos, mais suffisamment proche pour sentir, pour goûter la vibration de votre propre âme. Imaginez une force atomique qui ne serait ni contrôlée, ni dominée. C’est pourquoi il faut apprendre les lois. Vous êtes à tel point énergétique que, si vous ne savez pas comment maîtriser vos propres énergies, vous courrez à la destruction.

    C’est pourquoi, petit à petit par l’intermédiaire des plans de conscience et des subdivisions, des sécurités ont été posées pour que l’homme puisse, de manière tranquille, prendre conscience de ses énergies et travailler avec elles.

    Regardez ce qui se passe lorsqu’un individu travaille seulement à réveiller la kundalini, qui pourtant n’est qu’un des aspects de votre véritable force. La kundalini n’est pas la force principale qui vous constitue, c’est tout simplement un des aspects de cette force, de ce rayon synthèse qui, en fait, est en vous lorsque vous prenez conscience de vos trois rayons, vos trois aspects. C’est tout simplement une des subdivisions, plongée dans le physique de ce rayon unique, que vous représentez et que vous êtes.

    Alors, regardez ce qui se passe lorsqu’un individu s’amuse à réveiller kundalini, à jouer avec kundalini, s’il ne développe pas en même temps la sagesse et la conscience. Il se détruit, il devient malade, il fissure son corps astral, son corps éthérique, il peut devenir fou, de toute façon il court à la mort. Et cela, simplement en s’amusant avec l’aspect le plus solide, le plus matériel de cette énergie que vous êtes en réalité. C’est pourquoi il faut davantage apprendre la loi, apprendre la sagesse, la maîtrise, connaître et intégrer, plutôt que de vouloir développer quelque chose.

    C’est en maîtrisant, c’est en connaissant, que vous développez la chose. Sitôt que vous développez un plan de conscience, vous en devenez dépositaire et vous pouvez utiliser l’énergie qui lui correspond.
    Plus vous vous développez en plan de conscience, et plus votre énergie grandit, s’amplifie, rayonne, et plus vous pourrez par exemple guérir, projeter, concrétiser, et avant tout, arriver à conquérir des degrés initiatiques.

    Donc, ne développez pas, par des voies qui seraient trop techniques, les chakras ou la puissance. Avant tout attachez-vous à développer le plan de conscience. Si vous voulez travailler avec l’énergie, travaillez toujours dans le but de développer le plan de conscience et pas autre chose. Les autres choses viennent de surcroît, naturellement, parce qu’elles font partie du plan de conscience.

    Si j’insiste tant sur la façon de comprendre, de connaître les choses, c’est parce que là est la clé. Selon votre compréhension, selon vos idées sur tel ou tel sujet qui vous implique dans tel ou tel comportement, révélant telle ou telle grandeur ou telle ou telle limite, selon votre comportement existe en vous un plan de conscience.
    Ce plan de conscience envoie à la personnalité un certain degré vibratoire qui correspond à l’opacité, à la limite, à la grossièreté, à l’épaisseur de cette personnalité.

    Mais plus vous travaillez à vous anoblir, à devenir digne, grand, à acquérir le discernement, en passant par l’étude ésotérique, automatiquement vous éclaircissez ce champ de conscience et vous le grandissez. Il y a alors une alchimie qui s’opère en vous et vous obtenez un degré vibratoire supérieur. C’est ainsi que vous passez de la masse à l’individualité.

    Donc, si quelqu’un veut, avec des techniques, développer simplement son taux vibratoire, je lui dis : « Développe ton plan de conscience, il n’y a pas d’autre moyen. »

     

     

    Question :
    Concernant les exercices de méditations, pouvez-vous nous donner les exercices ou rituels à pratiquer aux équinoxes et aux solstices ?


    Il est très difficile de vous donner un rituel qui soit universel pour entrer en contact à ces époques-là. Traditionnellement, il y a toutes les méditations qui peuvent fonctionner. Par contre, si vous voulez véritablement opérer, c’est une tout autre chose.

    Lorsqu’il y a la pleine lune, il y a ceux qui la supportent très mal, qui deviennent de plus en plus malades, il y a ceux qui se mettent en méditation pour capter davantage l’énergie solaire, ceux qui font des opérations magiques et ceux qui font des rituels. Chacun utilise l’énergie selon ses moyens et à sa façon.

    Pour les équinoxes et les solstices, c’est exactement pareil. La méthode d’approche dépend de ce que vous voulez faire avec cette énergie. C’est pourquoi les ordres religieux jusqu’aux ordres exotériques, initiatiques, cabalistiques, sont si différents les uns des autres.

    Si vous voulez absorber le prana très intense, régénérateur et initiatique qui vient directement du cœur de Shamballa à ces moments-là, vous pouvez simplement faire un jeûne comme je l’ai indiqué, des ablutions profondes, préparer une pensée neutre, un mental tranquille, et passer à la communion. Vous pouvez célébrer cette communion par une méditation profonde selon la méthode que vous pratiquez déjà pour certains, ou en allant à une messe dite spécialement à ce moment-là.

    Pour faire un véritable travail plus occulte, il faut passer aux opérations que vous nommez équinoxiales ou solsticiales. Pour ces opérations, vous ne pouvez pas vous y prendre n’importe comment.

    Lorsque l’on fait une opération, il y a convocation. Il faut donc préparer un lieu et si possible choisir un lieu qui soit déjà en tant que forces telluriques,  neutres, ou positives. Il faut s’assurer que tous les membres soient bien orientés, dans le même sens et qu’ils aient une certaine carrure spirituelle, car il n’y a rien de plus pitoyable que de voir des rituels s’effectuer avec une jambe plus courte que l’autre.

    C’est ce qui se passe, quand vous ne pouvez pas vous assurer de la carrure spirituelle de tous les opérateurs. Lorsque vous faites un rituel, vous développez, vous créez une véritable entité, entité qui est la synthèse de tous les gens en présence.
    Si les individus sont plus ou moins en adéquation avec le plan, avec l’énergie, s’ils ont plus ou moins de limite, d’ignorance, l’entité créée va être boiteuse, la note sera la moyenne de tous les gens en exercice. Plus vous pouvez vous assurer que la stature spirituelle des individus en présence est d’un certain degré initiatique, moins vous avez à faire d’effort pour convoquer, pour faire un travail initiatique, ou une opération équinoxiale.

    Donc vous voyez qu’universellement on ne peut pas donner une technique. Il faudrait au contraire sectionner d’après les niveaux et les degrés vibratoires. Si pendant longtemps, tout ce qui est initiatique s’est déterminé par deux aspects, l’intérieur et l’extérieur, ordre initiatique et religion, (la religion n’étant que le cercle extérieur du temple initiatique), c’est bien parce que le fonctionnement de tous les travaux initiatiques dépend du degré de développement des assistants. On ne peut pas faire autrement.

    Un véritable rituel équinoxial effectué par des gens qui n’auraient pas encore le développement nécessaire, ne serait pas forcément dangereux, mais il pourrait déranger vibratoirement des individus. Si le Maître de cérémonie n’est pas assez fort pour faire un peu la balance, l’énergie reçue à ce moment-là, pourrait propulser un individu dans des expériences pour lesquelles il n’est pas prêt, ou vers des épreuves qui ne lui apporteraient que des problèmes, parce qu’il ne pourrait admettre l’initiation cachée derrière celles-ci.

    Il faut toujours être prudent lorsque l’on veut donner des méthodes, c’est pourquoi publiquement je dirais simplement : méditer, ou faites un rituel qui ressemble à une messe. Lorsqu’il y aura un groupe suffisamment développé pour constituer une véritable “aura” de protection sur les assistants futurs, nous pourrons passer à l’élaboration d’une technique qui, en fait, est très ancienne, et a toujours existé, mais il faut pour cela, que se crée un véritable groupe, qui soit le premier pare-chocs.

    Car le peuple, quel qu’il soit, la masse, quelle qu’elle soit, peut assister à un rituel, même de grande envergure, dans la mesure où il y a un groupe suffisamment armé, suffisamment conscient, ou clairvoyant, qui va recevoir pleinement l’onde, et qui va savoir comment la transmettre, pour que l’assistance ne soit pas heurtée ou abîmée par l’onde.

    Il représente à ce moment-là un relais. En Égypte, la chose était grandement pratiquée, le peuple entier pouvait entrer dans les temples, mais toujours avec un décalage par rapport au véritable rituel.

    Je ne voudrais pas que vous vous sentiez rejetés lorsque je dis ces choses, et que vous pensiez finalement que les Maîtres et les Dieux font de la sélection. Il ne s’agit que de la sécurité de l’être humain.

    Lorsque vous entrez dans un territoire où l’on pratique la science nucléaire, vous êtes obligés de vous munir d’une combinaison spéciale, vous devez suivre le règlement. Il en est de même lorsque vous êtes face à face avec cette énergie primordiale. Si votre corps éthérique, votre corps astral, votre aura n’est pas assez puissante, comme Icare, vous êtes brûlés, vous êtes détruits à l’approche du rayonnement.

    En spiritualité il ne faut pas être ambitieux, il faut travailler, il ne faut pas désirer, il faut connaître sa place, l’admettre, et pour être plus, passer à l’action, au service, au dépouillement, au détachement.

    Mais pour revenir à la question, il y a des lieux qui existent encore à l’heure actuelle, et que vous pouvez utiliser pour faire ces fêtes et ces opérations. Il est important de revenir sur les lieux utilisés autrefois, parce qu’ils ont une mémoire vibratoire, ce sont des lieux qui ont déjà un cordon vibratoire, un cordon ombilical avec l’égrégore, ce sont des lieux où les énergies, certains esprits, certaines des hiérarchies appelées à ce moment-là, y travaillent et y résident, et protègent donc le lieu.
    Car autrefois les initiés faisaient pour l’éternité. C’est ainsi que ces lieux passeront toujours à travers les catastrophes, à travers les cataclysmes, ou à travers les guerres, parce que des hiérarchies sont là et veillent. Elles ne veillent pas spécialement sur le lieu, mais leurs présences créent une aura de protection pour le lieu, et pour tous les habitants qui sont autour. Donc, utilisez ces lieux qui existent, vous en avez partout dans le monde, mais, selon l’époque, le rituel était différent.

    Si vous êtes chez vous, pratiquez une méditation et surtout une communion. Prenez un morceau de pain qui ressemble à une hostie, un verre de vin ou d’eau, consacrez-les à la manière d’un religieux en faisant le signe de croix : au nom du Père, du Fils et du Saint-esprit, (utilisez les énergies qui sont actives et en présence actuellement dans le monde), récitez la grande invocation ou autre clé vibratoire, peu importe, et mettez-vous en méditation.

    À la fin de cette méditation, prenez ce qui représente l’hostie, en temps qu’image, présentez-la dans l’axe du soleil, (n’oublions pas que c’est une fête solaire), laissez l’énergie descendre, et ensuite absorbez la chose, recueillez-vous quelques instants et tout est fini.

    Vous pouvez aussi présenter tous les enfants qui sont nés avant ce moment-là, c’est le meilleur baptême en fait. Lorsque vient le solstice, présentez tous les nouveaux nés à leur véritable Père, le Dieu solaire, trempez-les dans sa lumière, et ce sera un vrai baptême.

    Quoi dire encore sur le solstice, si ce n’est qu’il exerce en l’homme une véritable mutation alchimique. C’est pourquoi, à ces époques-là, il est préférable de jeûner quel que soit le travail que l’on veut faire. Il faut permettre au corps de se nettoyer complètement pour pouvoir se régénérer.

    Si l’on n'est pas vide de toutes pensées morbides, négatives, et de toute nourriture encombrante qui alourdissent les vibrations, l’opération ne sera pas très bonne. Il faut que l’individu soit nu comme au jour de sa naissance, et qu’il n’y ait en lui que le souffle, rien d’autre, et qu’il passe à l’action.

    C’est pourquoi, tout ce qui est célébration de l’équinoxe et du solstice, reste le travail des initiés, et ceci, non que le peuple n’en vaille pas la peine, mais parce qu’il ne saurait pas travailler avec cette énergie.

    Partager via GmailGoogle Bookmarks

    votre commentaire
  •                       Intervention de la conscience cosmique

     

    Question :

    Comment se fait-il que la conscience cosmique n’intervienne pas, avant qu’une personne, des personnes ou des groupes, commettent trop de dégâts sur la terre ? 


    Ce n’est pas que la conscience cosmique n’intervienne pas, c’est que les habitants de la terre n’ont pas la conscience véritable, ne connaissent pas la réalité primordiale des choses. Il faut dissocier l’intervention de Dieu par rapport aux calamités, et ce que l’homme aurait aimé que Dieu fasse pour sauver les corps, car en fait, il s’agit de cela.
    Souvent les gens pensent que si Dieu est tout puissant, s’il a tant d’amour, il devrait intervenir plus souvent sur la terre. Ce genre d’esprit ne comprend pas qu’elles sont les lois de la vie et surtout, ils n’ont pas la connaissance ésotérique pour comprendre ce qu’est le plan terrestre, ce qu’est le plan physique, ce qu’est Dieu véritablement. Il faut faire davantage références aux mots initiatiques, qu’aux mots comme : religion, fatalité, destinée etc. À l’heure actuelle, il y a tellement d’enseignements donnés, parfois même faux, ou en tout cas dénaturés, que l’individu croit que Dieu est un Père tout puissant.

    Certains groupes ont tellement emprunté la voie cardiaque, qu’ils ont même dénaturé l’identité de Dieu et falsifié la réalité de la voie initiatique. En disant que tout est perfection, que Dieu est Amour, en disant que Dieu peut intervenir, que les Maîtres ont tout prévu pour l’amélioration, pour le bien, ils impriment dans l’esprit des gens, que l’intervention divine, que l’intervention des Maîtres, est forcément une intervention bénéfique et qu’ils interviennent puisque tout est parfait. Ces voies, qui ne sont pas forcément de mauvaises voies, ont trop schématisé la réalité initiatique.

    En fait, qu’est ce que la terre ?

    La terre est un caillou initiatique où l’on prend ses responsabilités, où l’on agit sous l’effet de la loi de cause à effet, et face à cette loi, le reste est vécu enduré, ou mérité.
    Les voies cardiaques sont de très belles voies, mais dès que l’on va dans ces voies, dans des enseignements du type cardiaque, s’il n’y a pas assez de connaissances ésotériques, des images se créent dans l’esprit des dévots et des suiveurs, qui falsifient complètement la réalité de la terre.
    Ainsi, il y a création d’un double monde où l’individu n’arrive plus à juger de l’utilité du Maître et de la nature de Dieu par rapport au monde, ce qu’est le monde divin par rapport au monde terrestre. Il y a scission, friction, il y a même antagonisme, et le divin est perdu dans ces deux notions de perfection et d’imperfection de la terre, de l’amour de Dieu dans la violence sur la terre.

    L’individu ne sait plus où il est, il n’arrive plus à juger, il se perd en conjectures et finalement en arrive à douter de Dieu, douter de la perfection, douter du bien.

    Rassure-toi enfant, c’est parce que l’on t’a mal enseigné. Les choses ne sont pas ainsi, ou du moins la nuance est différente.
    Il est vrai qu’il existe une énergie de perfection, qu’il existe une énergie d’amour, un état d’éternité, un état de paix. Mais il existe aussi un chemin initiatique, et ce chemin initiatique le Maître n’a pas le droit d’y toucher, car sinon, il ne permet plus aux âmes d’avancer.

    Si par amour un Maître décidait d’être le véritable sauveur des hommes, en leur retirant les maladies, en construisant un système social fantastique, en leur apprenant comment être non violents, il n’aurait que cinquante pour cent de chances d’arriver, car les individus ne seraient pas forcément capables d’exercer tout ce qui leur serait demandé, mais en plus, les forces mêmes de l’évolution ne pouvant plus s’exercer, cette humanité serait en régression, et elle deviendrait encore plus inconsciente que vous ne l’êtes collectivement.

    Si bien que, d’un univers que l’on voulait parfait, on en arriverait, en fait, à un univers mécanisé. À trop vouloir faire bien, en dirigeant le bien, on ne permet plus à l’individu de conquérir son propre bien. Vous devez conquérir votre propre bien, parce que c’est ainsi qu’il devient la vie. Chaque fois que l’on crée un système, c’est avant tout en pensant à la protection.

    L’homme doit conquérir son bien, doit conquérir sa liberté, son bonheur, il doit conquérir son état d’initié. Ce qui fait que la terre n’est plus un objet à protéger, bien qu’elle le soit par les Maîtres, mais l’humanité n’est plus à protéger de façon paternaliste, comme les hommes voudraient qu’elle le soit, parce qu’ils sont très enfantins.

    Ils ont peur du tonnerre, ils ont peur de changer de millénaire, ils se demandent : qu’y aura-t-il ? Comme autrefois lorsqu’on se demandait ce qu’il y avait au bout de l’océan. Les mêmes frayeurs se retrouvent au fur et à mesure des civilisations quel que soit l’avancement technologique. Alors on se calme, on va se laver les mains, on réfléchit et on s’instruit.

    Première question qu’est ce que la terre ?

    La terre est une sphère initiatique, comme l’est votre école. Quand vous alliez à l’école, vous compreniez très bien que votre camarade puisse être méchant, un autre brillant, un autre très bête, un professeur sévère, un autre fantastique, parce que vous aviez conscience que l’école est un terrain d’apprentissage où le meilleur gagne.

    Sur la terre c’est pareil. La terre est une école initiatique. C’est l’endroit où, l’occasion de l’éclosion du corps physique vous permet d’avoir les expériences dont vous avez besoin pour votre avancement. Donc il n’est pas question d’un système parfait pour vous protéger, il est au contraire question de vous envoyer dans un endroit le plus neutre possible, afin que vous y construisiez ce que vous avez envie d’y construire, pour être face à face avec vous-même.

    La terre n’est ni bonne, ni mauvaise, elle est neutre. Elle vous donne un corps, elle vous donne une nature, et vous en faites ce que vous voulez, mais suivant ce que vous en faites, la loi vous sanctifiera ou vous détruira. 

    Votre interrogation ne doit pas être tournée vers la protection de Dieu ou des Maîtres, mais vers votre propre responsabilité, vers ce que vous êtes. Si vous vous dites : « Oui, je veux bien devenir un être de lumière, mais nous sommes des millions, et cela ne suffira pas à changer le monde. » Eh bien non. Changez-vous, et ensuite, efforcez-vous de faire changer les autres.N’oubliez pas que vous avez la possibilité d’agir sur ce plan physique, donc soyez une puissance en action.

    Une fois que vous avez acquis un état d’âme, un état de lumière, une connaissance et un enseignement en vous, n’hésitez pas, passez à l’action tout de suite, et c’est ainsi que vous ferez mûrir d’autres fruits, que vous pourrez changer le monde. Il ne faut pas regarder le monde comme une masse et se dire qu’il y en a trop ou que puis-je faire ?
    Non. Il faut, à l’endroit où vous êtes, vous changer, puis commencer à changer ceux qui vous entourent.

    Aujourd’hui, vous êtes seul, demain vous serez des dizaines à faire cette chose puis des milliers, et vous pouvez être aussi des millions. Le monde peut changer, mais vous commettez un crime si vous vous dites : « laissons le monde aux hommes ». Vous commettez le crime de savoir et de ne pas oser dire, de connaître et de ne pas enseigner, de pouvoir et de ne rien faire. Ne vous asseyez pas sur votre mollesse, au contraire, inventez des moyens pour vous stimuler. Réunissez-vous entre vous, ne restez pas seul.

    Réunissez-vous et découvrez la force du groupe, la force de la coalition et ainsi vous pourrez générer une action. À l’heure actuelle, les moyens de diffusion sont tellement grands et accessibles, que même si vous êtes d’un petit village, de petite instruction mais avec un cœur immense, croyez que vous êtes en train de parler au monde. C’est la première force nécessaire : l’espoir.                     

    Que viennent faire les Maîtres là-dedans, puisque nous parlions d’eux au début ?

    Les Maîtres exercent sans cesse leur protection sur l’humanité, sans cesse ils travaillent mentalement, spirituellement, envoyant des énergies bien cadrées dans certains centres de la terre, sur certains mouvements qui se soulèvent. Ils envoient une énergie apaisante. Mais l’énergie des Maîtres est tellement haute en fréquence, que le moyen de réception des hommes n’est pas assez subtil pour la capter. C’est pourquoi, tout doit passer par les hommes. C’est un premier aspect. 

    Le second, c’est que les Maîtres n’ont pas le droit d’intervenir dans le chemin d’évolution des hommes, pour les raisons que nous avons soulevées tout à l’heure.

    L’homme doit se construire, l’homme se fait, l’homme se bâtit, et il doit devenir individuel, auto conscient. C’est en marchant seul dans la nuit, mais protégé invisiblement, que l’homme doit se construire et chaque fois qu’il fait un pas, tous les anges qui l’entourent, regardent si le pas est bon, mais ils ne vont pas lui dire : « Fais tel pas. »
    L’homme se dit : « Que la vie est dure, mais j’ai quand même de la chance, un ami m’a prêté telle chose, j’en avais tant besoin. » Quelle chance ! Le mot revient toujours, et l’homme n’a pas vu la main de l’ange qui l’emmenait dans l’esprit de son ami.

    Croyez-moi, il y a une multitude d’individus invisibles qui travaillent pour vous, autour de vous, mais vous ne le savez pas, parce que vous ne captez pas leurs vibrations, vous ne captez pas leur langage. Si vous pouviez capter leur langage, vous seriez déjà débordés d’intuition, vous pourriez mener votre vie de façon impeccable.

    Donc, travaillez sur vous et vous pourrez être guidés consciemment.

    Les Maîtres exercent leur protection aussi dans les cas extrêmes, quoi que l’on en pense. Si par exemple, il devait arriver une grande catastrophe et que cela mette à mal le plan d’humanité des archanges et des Maîtres, soyez certains que tout serait stoppé.

    Si l’action générée par les hommes, même si elle est de moindre envergure, même si cela fait extrêmement souffrir et provoque beaucoup de morts, mais si cela peut-être oublié, effacé avec le temps, alors les Maîtres n’interviennent pas.

    Par contre ils vont préparer, investir, inspirer le maximum d’individus, pour raccourcir l’événement ou pour empêcher l’événement. Les hommes sont responsables, ils ont le choix. Mais à moins que la chose générée ne devienne une véritable destruction de l’humanité, le Maître n’intervient pas.

    Quand ils interviennent à ce stade, l’homme a plus peur qu’il n’est content de l’intervention.Lorsque vous obligez les Maîtres à intervenir de cette façon, immanquablement vous appelez le jugement sur vous, et automatiquement ceux qui ont généré la chose se trouvent jugés.

    C’est ce qui s’est passé en un temps reculé, et depuis ce pays est sous les eaux, on n’en n’entend plus parler. Tous les survivants sont allés dans d’autres pays, créer de nouveaux ordres initiatiques, apporter l’alphabétisation pour certains, ou plus profondément les sciences sacrées qu’ils commençaient à découvrir, apporter l’astrologie, apporter toutes les connaissances de l’alchimie, certaines habilités industrielles. Ceux-là ont survécu mais les autres sont morts. Alors surtout ne réclamez pas la protection des Maîtres.

    Sitôt que vous appelez un Maître pour vous protéger, sachez qu’en même temps vous appelez un juge ?
    Lorsque l’homme est dans certaines situations, c’est qu’il a fait certaines choses. Le Maître que vous appelez arrive et vous dit : « Je veux bien t’aider, mais n’oublie pas avant tout que je suis l’instructeur, alors regardons ensemble ce qui t’a mis dans cette situation. »
    Et mettant l’homme face à l’écran de toutes ses actions et de toutes ses pensées, l’homme préférerait mourir mille fois, plutôt que de revivre à nouveau ce genre de situation et de rencontrer le Maître. 

    Plutôt que de vous protéger, les Maîtres déversent sur l’humanité l’inspiration, l’intuition des écoles initiatiques, des écoles ésotériques. C’est cela qu’ils protègent. Si donc vous voulez être protégés, et bien faites partie de ce mouvement qui inspire le monde, ce mouvement qui nourrit le monde et ainsi, automatiquement, vous serez protégés.

    Mais avant tout, vous devez faire ce dont nous avons parlé au début, nettoyage, anoblissement, initiation. Faites ces choses et vous ne risquerez plus rien, vous aurez foi dans les Maîtres, et vous connaîtrez leurs véritables réalités ésotériques, initiatiques.

    Le Maître ne vous semblera plus un personnage très lointain, inactif. Vous le verrez au contraire en action dans les moindres choses, dans des mouvements qui pourtant ne portent pas son nom.

    On pleure souvent sur l’état du monde. Mais regardez combien les frères inspirent des actions qui visent à sauver le monde. Des mouvements qui paraissent si humains, auxquels presque personne ne prête attention, comme par exemple l’écologie. Dans son fondement et son action, l’écologie vise à sauver la nature, à réinstaurer dans l’esprit et le cœur de l’homme le respect de la vie.

    Mais puisqu’il n’y a pas Koutoumi à la tête, on n’imagine pas que cela puisse venir du plan des Maîtres, et pourtant c’est un fait. Tout le bien qui vient du Maître, passe par l’homme et sa bonne volonté de vouloir suivre le bien que le Maître lui montre du doigt.

    Si l’homme ne veut pas suivre, celui qui aurait pu être inspiré pour être un bon écologiste, devient quelqu’un qui fait la guerre, qui crée des marchandages d’armes, qui vend de la drogue. Le Maître ne reprend pas pour autant ses dossiers et rentre à Shamballa. Il continue à crier à travers le monde pour réveiller les gens de bonne volonté, pour les investir, pour qu’ils travaillent.

    Le travail n’appartient pas aux Maîtres, l’organisation oui, mais le travail appartient à l’élève. Comme dans tout programme scolaire, le maître organise les cours, donne le cours, mais c’est l’élève qui travaille, qui s’instruit et à l’examen il n’y a que l’élève face à sa feuille de papier. Il en est de même avec la vie. Alors je ne veux plus des idées d’Épinal, des images bouleversantes et bouleversées à propos de l’action des Maîtres. Soyez logiques et ayez de la connaissance.

    Vous voulez connaître la vie des Maîtres ? Et bien lisez l’ouvrage qui porte ce nom. Vous voulez savoir comment fonctionne un Maître, instruisez-vous. Ayez le souci de trouver la réalité, ne soyez plus des ignorants. Avoir un cœur simple, un esprit simple, est une bonne chose, mais avoir un esprit vide ne l’est pas, car si l’esprit est simple et s’il est vide, il peut être entraîné dans la tempête et croire n’importe quoi, donc, instruisez-vous.

    Si à l’heure actuelle tant d’efforts sont portés sur l’instruction du monde, si l’extériorisation de l’instruction est si forte, c’est bien parce que c’est capital pour l’homme. Il ne s’agit plus, maintenant, de vous donner une petite religion tous les deux mille ans. Il faut une bonne fois pour toutes que vous ayez une connaissance véritable qui vous permette d’entrevoir la réalité et de l’intégrer.

    La réalité est pure, transparente, belle comme une épée. L’épée du ciel, en fait, n’est pas une arme, elle est toute de cristal, elle est toute flamme et elle est le prolongement de l’âme, elle est le bras de l’âme et c’est pourquoi l’initiateur a besoin de l’épée. C’est pourquoi Moïse avait besoin de son bâton, c’est pourquoi tout magicien a un bâton, parce que le symbole est vivant. L’âme est une sphère et l’épée est son bras.

    Dans un domaine concret, l’instruction est votre épée. Et comme le personnage, tuez le dragon, tuez l’illusion avec votre épée du discernement, puis remettez l’épée au fourreau, sentez-la s’échauffer, s’enflammer, devenir Kundalini, et avec Kundalini vous avez toute l’action possible, vous obtenez le pouvoir de l’âme.

    Les Maîtres vous protègent, mais en même temps, ils vous instruisent. Soyez sûrs de cela. Pour être dans la protection de Dieu, vous devez être dans la réalité, il n’y a pas de protection hors de la réalité du monde. Et si vous allez dans cette réalité par crainte de ne pas être protégés, vous n’y entrerez jamais, parce que le simple fait d’avoir peur vous ferme la porte de la réalité, parce qu’avoir peur, ce n’est pas connaître la loi du monde.

    La loi du monde est abondance. Ce sont les hommes qui créent les mesures ne l’oublions pas. Mais si vous vous placez dans la loi d’abondance rien ne vous manquera, vous ne pourrez avoir peur d’aucune mort parce que la mort n’existe pas. Vous pouvez certes être amenés à quitter votre corps physique, mais votre mort devient tellement consciente que vous ne mourez pas, vous changez simplement de dimension.
    Une mort consciente n’est pas un trépas, c’est tout simplement une sortie. C’est cette mort que vous devez obtenir, et ainsi votre corps lui-même ne se dégrade pas, ainsi vous pouvez le laisser à d’autres pour être à nouveau utilisé, ainsi l’énergie de chaque molécule peut être relâchée pour la rendre à l’énergie universelle et ne plus laisser de cadavre derrière vous, comme a su le faire Jésus.

    Toutes ces choses-là sont réelles, je ne parle pas d’hypothèse, de rêves. Non, la réalité c’est cela.    

    Instruisez-vous, ne restez pas ignorants je vous en prie, sinon tous les efforts que vous pourriez faire resteraient vains. Si vous n’êtes pleins que de bonne volonté et que vous vous dites : « En sortant d’ici, je vais me prendre en mains, je vais devenir meilleur, j’arrête de manger ceci, j’arrête de boire, de fumer cela, j’arrête de parler mal, je vais essayer de sourire, de comprendre, d’écouter les autres », que se passe-t-il ?

    Comme beaucoup de gens, il se trouve qu’au fur et à mesure des jours, la bonne intention disparaît, pas par manque de courage mais parce que l’ignorance étant trop grande, il se trouve qu’un jour vous êtes trompés, leurrés, abusés et dans ces forces contraires finalement votre bonne volonté et vos efforts sont réduits à néant.

    Ne gaspillez pas cette force précieuse que vous avez envie d’éveiller. Pour la conserver, pour la grandir, instruisez-vous, étayez votre discernement. Votre bonne volonté va mourir si vous ne pouvez pas discerner ou investir vos efforts. Qui croire ou ne pas croire ? Que faire et ne pas faire ? Quelles sont les lois du monde ? Pourquoi ceci arrive ? Pourquoi ceci est retardé ?

    La connaissance c’est le moteur de la volonté. Si vous ne savez pas, vous ne pourrez pas tenir longtemps et c’est normal. Personne ne vous en voudra, aucun Maître ne vous blâmera. C’est un phénomène normal. Quand votre bonne volonté se réveille, instruisez-vous pour développer, en même temps, le discernement.
    La bonne volonté est quelque chose de précieux, je le répète. Ne l’investissez pas n’importe comment. Donnez-lui deux rênes et guidez ce cheval. Discernement. Travaillez peut-être encore un peu plus sur le discernement que sur l’amour. Parce que tant que l’amour n’est pas guidé par le discernement, il n’est pas un amour vrai.

    Conclusion :

    Ralliez-vous tous sous la croix de lumière, qu’en son centre soit écrit le nom du Christ ou de Bouddha, le nom d’un temple ou quoi que ce soit d’autre, peu importe le nom, portez tous la même croix, unissez-vous.

    Faites toutes ces choses car les exigences sont les mêmes sur n’importe quel chemin, tous les chemins demandent exactement les mêmes conditions, donc autant devenir universel tout de suite. Faites ces choses, j’ai foi en vous. Si je n’avais pas foi dans le changement possible des hommes, est-ce que je perdrais mon temps à venir parler ?
    Tout est possible à l’homme de bonne volonté. Parfois, pour éveiller la bonne volonté il suffit d’un mot, j’espère avoir eu celui-là. Travaillez sur vous. Vous pouvez devenir grand et n’oubliez pas la dignité.


    Je vous salue. 

    Partager via GmailGoogle Bookmarks

    votre commentaire
  • Conseils pour méditer

     

    Question :

    Pour méditer il faut être capable de bien se concentrer. Pouvez-vous nous donner des conseils, voire des techniques de concentrations, afin de pouvoir atteindre cet état de calme parfait, qui nous permet d’entrer en contact soit avec notre soi supérieur, soit avec la hiérarchie ?


    C’est un fait, que pour méditer, il faut pouvoir se concentrer, et cette concentration dépend de l’état de paix intérieure acquis, donc d’une certaine forme de relaxation.

    Si la méditation n’est pas accessible à la majorité des humains, c’est parce que la majorité des hommes luttent avec leurs problèmes, avec leurs fantasmes, avec leurs traumatismes, et sitôt les yeux fermés, toutes ces choses ressortent et ne permettent pas une relaxation totale, puis une concentration absolue.

     

    Donner une technique de méditation, c’est s’adresser uniquement à ceux qui peuvent méditer. Ce qui ne veut pas dire que je vais écarter la chose, mais je spécifie simplement, qu’avant d’entamer une technique de méditation, visez d’abord à faire ce travail intérieur, ce travail sur votre personne. Que cela vous prenne un jour ou dix ans, faites-le. C’est la solution véritable.

    L’homme a un grand problème de manque d’énergie, à cause de sa vie trop matérielle, à cause aussi d’une civilisation trop avancée en technologie. Tout cela finit par dévitaliser son être. Une fois que vous serez arrivés à cette référence de respect, capter de l’énergie, dans un premier stade, cela peut constituer une véritable méditation, en tout cas un exercice.

    Capter de l’énergie, c’est très facile. C’est avant tout un travail de visualisation quel que soit l’égrégore auquel appartient votre mantra et sur lequel vous vous branchez. Si vous faites partie d’une école ésotérique utilisez l’invocation de cette école, ou utilisez le mot ou le son. Si vous faites partie d’un mouvement oriental utilisez le mantra et si vous ne faites partie de rien et bien justement, c’est le moment de choisir.

    Ce qui ne veut pas dire que vous deviez appartenir à la chose, car il existe maintenant des écoles, suffisamment universelles, pour qu’elles vous prêtent leurs enseignements, leur clé, leur porte, sans vous obliger à être tatoué par le sceau du temple terrestre.

    Donc choisissez une clé vibratoire, autrement dit une formule. Si vous voulez n’appartenir à rien et avoir une clé qui soit universelle et passe-partout, vous pouvez très bien utiliser le Notre Père. Mais il vous faut absolument une clé ou encore un son. 

    Les sons n’agissent que dans la mesure où vous appartenez à un temple ésotérique, car il n’y a que dans le temple où l’on vous donne la connaissance de ces sons. Donc, prononcez cette clé, et visualisez que vous entrez dans l’égrégore de feu du mouvement auquel vous appartenez, ou si vous n’appartenez à rien, que vous entrez dans la danse du feu du soleil.

    Vous vous y placez quelques instants, vous vous centrez bien au cœur du soleil que vous imaginez flamboyant, donnez-lui la teinte dorée et rayonnante de la puissance, et faites pénétrer toute la substance solaire dans chacune de vos molécules comme si vous étiez sous une cascade.

    Ensuite, replacez-vous dans votre position assise et faites un travail depuis votre plexus solaire, car il faut bien commencer par lui. Vous imaginez, de la même manière qu’existe la corde d’argent, qu’un énorme cordon ombilical commence à monter et se brancher dans le soleil. Vous y prenez de l’énergie afin qu’il nettoie votre plexus solaire, puis vous déplacez le cordon, vous le mettez dans chacun de vos chakras pour que chaque chakra soit régénéré.

    Vous pouvez utiliser toutes les visualisations que vous voulez, mais centrez-vous dans le soleil, rien ne sert de faire des visualisations qui captent l’énergie s’il n’y a pas une référence mentale au soleil, car c’est le soleil qui envoie les énergies.

    Vous pouvez aussi construire une pyramide éthérique à un endroit de votre maison, où vous méditerez quotidiennement. Vous le choisissez et vous n’en changez plus.
    Vous vous mettez assis en tailleur, car pour utiliser la pyramide, il vaut mieux être assis en tailleur, mais vous pouvez vous asseoir sur une chaise, et, avec de la concentration, vous imaginez que vous êtes dans une petite pyramide à votre taille. Au fur et à mesure de votre travail, vous allez d’une façon éthérique en construire une, ce qui fait qu’au moment où vous allez vous replacer au même endroit pour méditer, vous allez automatiquement déclencher le processus de régénération et vous n’aurez plus besoin de créer la pyramide.

    Vous pouvez aussi vous régénérer tout simplement en ayant une vie meilleure, en faisant attention à ce que vous respirez, à ce que vous pensez, comment vous vous comportez, quelle est votre façon de vous tenir, si vous n’êtes pas trop voûtés, si vous n’êtes pas trop déhanchés.

    Pourquoi est-ce capital ?

    Tout simplement pour le transfert des énergies, pour le circuit lui-même. Quelqu’un qui se tient mal, qui se tient d’une manière déformée, crée à un moment donné des résistances dans l’éthérique, puisque l’énergie court depuis le corps physique jusque dans l’éthérique et vice versa.

    En même temps que vous développez le respect, développez en vous une bonne tenue, pour que toutes les énergies et le souffle se fassent d’une manière naturelle et profonde. Si vous vous tenez mal, vous respirez mal. Si vous avez des tensions énergétiques sur votre poitrine, elles altèrent votre rythme cardiaque et de toute manière elles altèrent vos humeurs. Donc redresse-toi Fils, tiens-toi debout, respecte-toi, place-toi dans le soleil, et ensuite, laisse l’intuition faire les choses.

    Il y a aussi une chose capitale qui régénère, mais qui ne peut se faire qu’à certains moments de l’année, car en fait, se régénérer, n’est pas un problème quotidien comme l’humain le croit actuellement. L’humain croit qu’il a besoin de l’énergie de Dieu aussi souvent qu’il a besoin de manger. C’est faux. Une bonne nourriture dure longtemps, mais vous ne savez même plus manger, il vous faut trois repas par jour. Alors, de la même manière, il vous faut beaucoup de méditations pour être sûr que vous ayez beaucoup d’énergie.

    En fait, un seul repas vous suffirait, si vous mangiez de façon naturelle. De la même manière, l’homme en communion avec le soleil, pour entretenir en lui la jeunesse, la santé, la régénération, il n’aurait besoin que de deux communions par an, aux solstices et c’est tout.

    Si l’on veut aller au fond des choses, il faudrait complètement changer la façon de vivre. Or, ce n’est pas possible, mais il faut dire les choses, telles qu’elles sont. Il faudrait que l’humanité se remette à fêter les solstices pour espérer ne pas être malade le reste de l’année, avoir de la chance le reste de l’année.
    Il faut recréer ces fêtes solaires pour renouer avec le prana solaire, se remettre dans le mouvement solaire, ce que ne fait plus l’homme. Il met sa vie dans le mouvement de la lune et de la terre et il ne vit que par rapport à ces deux plans, sa mémoire et sa personnalité.
    Si tu vis par rapport à ton âme, je te le dis, tu vis par rapport au soleil, et tu prends tes deux grandes respirations au moment des solstices.

    Il ne sert à rien d’inventer des pyramides, des exercices respiratoires ou tout autre chose. Tout cela, en fait, n’est que du menu travail, n’est que de petite efficacité à côté de la régénération que vous pouvez obtenir à ces moments-là, qui doivent être précédés d’un jeûne total où vous n’aurez fait que boire pour vous purifier, vous laver, et vous préparer à une renaissance de l’esprit, une renaissance moléculaire, car le zodiaque arrive à ce moment-là dans une certaine position qui permet la chose.

    Mais revenons à vos jours quotidiens, à votre vie si parasitée d’ignorance, à tout ce que vous avez oublié pour faire quand même quelque chose.

    Comment donc méditer ?

    Si on veut parler réellement de la méditation, vous ne pourrez y arriver que si vous faites ce travail de nettoyage dont nous avons parlé, et avant d’arriver à ce stade, prenez le temps de vous relaxer et de capter de l’énergie.


    En vous relaxant, presque automatiquement vous capter de l’énergie. Chaque fois que vous éloignez les ténèbres, la lumière entre. Il existe déjà des méthodes de relaxation que vous pouvez utiliser, ou inventer votre méthode, mais pour que la relaxation soit efficace, elle doit toujours être guidée, parce que le mental a besoin du soutien de l’ordre, cela n’a rien à voir avec l’hypnose, mais la démarche est à peu près pareille.

    Lorsque vous vous apercevez que vous avez plus de stabilité, que vous ne vous énervez plus pour telle ou telle chose, que vous agissez de façon détachée face à tel événement, ou que vous avez une forme de connaissance spontanée des choses, alors c’est le déclic, pour vous, de passer à la véritable méditation.

    Il y a autant de façons de méditer qu’il existe de chemins, mais il n’y a pas autant de façon de méditer qu’il existe de groupes et de temples. Simplement chaque voie à sa façon de méditer, l’une sera plus dévotionnelle, l’autre plus mentale et une autre plus rituelle.

    En vous connaissant, en ayant effectué tout le travail dont nous avons parlé tout à l’heure, vous serez capables de choisir votre voie, d’y être orienté, invisiblement. Si je vous donne une technique aujourd’hui, c’est très bien, vous serez contents. Mais peut-être que, dans un an ou deux, vous allez vous révéler en tant que quelqu’un concerné par la voie occulte, concerné par la voie dévotionnelle ou la voie religieuse, et alors, ce type de méditation ne vous concernera plus.

    En attendant d’avoir trouvé votre voie, il faut effectuer une méditation qui soit le plus neutre possible, qui soit tout simplement l’abandon de soi.

    Il ne faut pas vous dire, Frère Pastor a donné une méditation, donc c’est la méditation de ma voie. Non, attention. Les voies existent, les méditations existent déjà, mais c’est à vous de trouver votre chemin. En attendant de trouver ce chemin, je peux vous donner quelques indications, mais ce n’est qu’un travail de préparation qui ne va pas forcément convenir à tout le monde, parce que certaines personnes sont déjà très typées dans des clichés qui déterminent leurs énergies et leurs états d’âme.

    Je ne peux que vous conseiller de commencer par la grande invocation que vous connaissez. Je vous conseille de prendre quatre bougies, trois que vous disposez en triangle la pointe orientée vers l’Est et mettez la quatrième au centre.
    En citant le premier paragraphe de la grande invocation, vous allumez la première bougie pointe à l’est.
    En citant le second paragraphe vous allumez la deuxième bougie.
    Au troisième paragraphe la troisième bougie.
    Au dernier la bougie qui est au centre, qui est en même temps le rayonnement le plus important.

    Ceci est la base pouvant vous permettre d’entrer en contact avec l’égrégore qui est actuellement le plus universel et qui est tout simplement l’égrégore de la loge blanche, toute distinction abattue.

    Car, en fait, tant que vous ferez référence à des égrégores spécifiques, vous choisirez des temples spécifiques. À l’heure actuelle, le mouvement d’universalité a déjà commencé, et c’est tout simplement l’extériorisation de la hiérarchie, soit de la loge blanche, qui provoque le phénomène.

    Donc, tout ce que vous utiliserez, venant de l’enseignement capté de cette source-là, sera forcément quelque chose d’universel. À l’intérieur de cette universalité, vous pouvez trouver votre voie spécifique, qui pourra aller de la voie dévotionnelle à la voie la plus occulte, toutes les voies résident dans cette universalité, dans ce temple-là.

    Le message donné en fait est neutre, et c’est vous, d’après votre tempérament initiatique, qui allez donner un aspect à la chose, donc qui allez construire une voie à partir d’un chemin. C’est compris ?

    Alors, récitez cette grande invocation, mettez-vous dans la posture de méditation qui vous convient et si possible revêtu d’un vêtement qui vous différencie du monde profane.

    Naturellement il n’est pas indispensable, nécessaire, que vous soyez vêtus de façon différente, mais il est bon de changer de peau, de fixer dans l’esprit, dans l’attitude du corps un changement radical. Mettez sur vos épaules une couverture blanche, ou une cape blanche qui vous recouvre au moins jusqu’à la taille. Ne parlons pas de revêtir une robe blanche, cela, vous le ferez si vous voulez, mais ayez l’instinct de différencier votre côté conscient de votre côté inconscient, votre état de personnalité de votre état de disciple.

    Lorsque vous entrez dans un Temple, vous portez une robe. Pourquoi ce symbole de la robe ?
    Ce n’est pas par hasard, ce n’est pas pour rien, le symbole de la robe c’est tout simplement le symbole de l’uniformisation de l’universalité de l’âme. Vous n’êtes plus celui qui vient du dehors, vous n’êtes plus le profane, l’hérétique, vous devenez cette graine spirituelle qui, sous le feu de la flamme invoquée, doit germer.

    La robe est aussi un anonymat, le masque qui tombe donc. L’âme est anonyme puisqu’elle est universelle, alors que la personnalité porte un nom. Dans le Temple, personne ne devrait porter de nom, un seul nom devrait résonner : frère et sœur, un point c’est tout. La distinction appartient au monde. Dans le Temple il n’y a qu’universalité, fusion, communion, union.

    Dans votre méditation vous devez retrouver exactement la même ambiance, recréer exactement les mêmes exigences parce qu’il s’y exerce les mêmes lois que dans un Temple.
    Et avant d’aller à votre méditation, préparez-vous cinq ou dix minutes à l’avance, mentalement dites-vous : « je vais aller en méditation, je vais faire ma méditation ou mon travail de relaxation. Seigneur envoie-moi tes guides, envoie-moi tes anges, aide-moi, viens travailler sur moi, viens me transformer, viens me faire comprendre telle ou telle chose. » Prévenez tous les guides qui sont autour de vous et qui n’attendent que cela en fait. Mais il leur faut un ordre.

    Couvrez-vous de votre cape blanche, signez-vous de la croix pour ceux qui aime ce signe ou de tout autre pentacle, et allumez les bougies en récitant la grande invocation qui est universelle.
    Je ne veux pas entrer dans un schéma trop rituel, car certains pourraient me dire : une méditation n’a pas besoin de tout cela. Je dis oui et non. Je dis non, quand vous êtes capables d’atteindre instantanément l’état de méditation. Je dis oui, si c’est un travail alchimique qui doit vous transformer au fur et à mesure. 

    Pourquoi le geste ?


    C’est important, car il faut aller dans tous les aspects complémentaires. Il faut le son et c’est ce que vous faites en disant la grande invocation, ou autre chose que vous avez choisie. Il faut le geste, car dans tous les actes alchimiques, magiques, dans tous les actes de la vie, il y a ces deux aspects, le son et le mouvement, la parole et le geste. Et il y a un troisième aspect qui est le silence, la synthèse des deux premiers.

    Lorsque vous faites un geste vous véhiculez autant d’énergie que lorsque vous prononcez quelque chose.


    Lorsque vous faites un symbole, lorsque vous le dessinez sur vous, vous générez exactement cette même énergie mais en tant que mouvement. Un bras lorsqu’il agit, ne fait pas seulement des mouvements visuels, en même tant que la main tourne, il y a un cercle d’énergie qui est généré, parce que depuis les doigts, depuis la paume de la main, depuis chaque extrémité de votre corps sont émises des énergies, qui partent dans le cosmos, qui se déchargent lorsque vous donnez une poignée de mains à quelqu’un, et si elle est négative vous l’empoisonnez.

    Tout circule de cette manière. Donc, lorsque vous faites un signe, sur vous, que ce soit celui de la croix, ou du sceau sacré du logos planétaire, autrement appelé le sceau-de-salomon, ou toute autre croix, ou tout autre signe que vous savez approprié à ce genre de chose, vous l’incluez dans votre corps éthérique. Faisant le geste, étant donné que l’énergie sort de votre paume et de vos doigts, vous incluez cette énergie à votre corps éthérique, ce qui fait que vous imprimez un sceau sur vous.

    Ensuite, asseyez-vous en lotus ou au moins en tailleur. Être assis, est la meilleure façon de concentrer l’énergie, parce qu’à ce moment-là, l’homme coupe l’énergie qui s’en va par les extrémités et force les énergies à travailler de manière ascensionnelle, donc il fait travailler sa kundalini.

    Si vous voulez véritablement travailler sur la kundalini, c’est la position que vous donnera et vous ordonnera n’importe quel Maître. C’est pourquoi à un certain moment de l’évolution, les hommes se retrouvent Tibétains dans le Temple. Ils ont tous une incarnation dans un corps de tibétain, dans un Temple tibétain, dans un lieu qui permet ces exercices.

    Si vous ne pouvez vous asseoir en lotus essayez au moins le tailleur. Si pour des raisons de santé vous ne pouvez pas le faire, asseyez-vous sur une chaise, la position du pharaon en fait, les pieds nus par terre et si vous avez froid, avec de grosses chaussettes de laine, et votre kundalini peut tout autant être réveillée par l’énergie, et peut tout autant s’élever. Ce sera de manière dérivée, mais pas plus lente, du fait que vous êtes reliés à la terre. Vous pouvez compléter la position du pharaon, en mettant la main sur le cœur pour une autre phase de la régénération.

    Dès que vous mettez la main sur le cœur vous fermez le cercle, et un cercle fermé devient le signe de l’infini, et la sublimation peut avoir lieu.

    C’est une position que vous pouvez adopter, mais il y en a bien d’autres, qui correspondent, encore une fois, à d’autres voies. Mais il ne faut pas rester longtemps dans cette position, d’une part, parce que ce n’est pas nécessaire, et d’autre part, parce qu’une méditation qui va vous emmener en voyage dans la conscience, ne peut pas tolérer qu’une tension se fasse dans votre bras.

    Donc, vous tenez la position aussi longtemps que cela ne vous gêne pas, puis reposez vos mains, et au lieu de les mettre sur vos cuisses, retournez-les pour être dans le phénomène de la fusion. Vous ne captez plus, vous fusionnez. Ensuite, laissez aller votre méditation comme elle vient, laissez-la vous pénétrer.

    La méditation est un phénomène énergétique conscient. Pour arriver à ce phénomène conscient, utilisez la visualisation, utilisez l’ordre, l’ordre mental. Donc, vous la dirigez. Et lorsque vous développez la méditation, tout le phénomène alchimique est de vous donner l’intuition de ce que vous devez faire, et d’exécuter, en vous, ce qui doit être exécuté.

    Donner des techniques de méditation reviendrait à en donner une pour chaque individu, car pour qu’une méditation soit utile de manière universelle, il faudrait qu’elle soit avant tout thérapeutique.

    C’est pour cela qu’à l’heure actuelle les individus sont mécontents de la méditation des initiés, des disciples, parce qu’elle n’apporte pas ses fruits aux personnes qui ont des problèmes, qui ont encore trop d’ignorance et qui doivent s’instruire, qui doivent se détacher, qui ont à travailler sur eux-mêmes.

    La méditation est avant tout un acte de communion. Cette communion ne peut avoir lieu qui si vous êtes prêts. Donc, faites tout ce qu’il faut pour vous préparer à la communion, et ne vous inquiétez pas si telle méditation fonctionne mieux que telle autre.

    À l’heure actuelle il y a des quantités de gens qui vont de gourous en gourous, de techniques en techniques, en espérant trouver la méditation qui leur convienne, et même si ce n’est que pour quinze jours, ils disent : « Ça, c’est de la méditation fantastique. J’ai enfin trouvé l’être inspiré, mon Maître, parce qu’il m’a donné la méditation qu’il me fallait. »

    Toutes les méditations conviennent si c’est une méditation qui s’approche de votre type de problème. Ce qui fait, qu’à l’heure actuelle, très peu de gens peuvent méditer. Il faut, avant tout, vous préparer à la communion.

    Travaillez sur vous, relaxez-vous, et lorsque vous ressentirez en vous une amélioration, alors oui, commencez la méditation. Et quand vous en serez à ce point, vous n’aurez plus besoin de me demander quoi que ce soit. Le guide qui est le vôtre, qui vous suit depuis toujours, va vous orienter dans votre voie, vers votre groupe, vers votre rituel si typique. Moi je ne fais que rassembler. Je vous donne des éléments de préparation. Le cercle intérieur c’est pour plus tard.
    Partager via GmailGoogle Bookmarks

    votre commentaire
  • Question :

    Lorsque nous choisissons la voie spirituelle, comment travailler sur nous-mêmes pour surmonter nos aspects négatifs qui font barrage à cette évolution et comment prendre conscience de notre mission dans la présente incarnation ?

    Avant tout, il me tarde que vienne le jour où je n’aurai plus à vous parler, où simplement les flux de l’esprit suffiront à réveiller, en vous, les idées que nous aurons exprimées. À ce moment-là, le véritable enseignement pourra venir.
    Chaque fois qu’un mot est dit, il perd de sa valeur initiale. Le mot passe par les sonorités de la terre, par les capacités vocales, donc par le corps, alors que l’idée peut venir directement d’un plan, d’une sphère, sans s’occuper du réceptacle terrestre, et vous, en tant qu’esprit, en tant qu’âme, pouvez appartenir à cette sphère.
    Il s’agirait donc, de voyager entre sphères et non plus de faire descendre une sphère sur la terre. C’est une parenthèse, mais cette osmose peut venir, je vous l’assure, lorsque vous êtes dans votre chambre en train de prier, dans vos travaux occultes, auprès de votre culte, d’une église ou quoique ce soit d’autre, ce qui fait que vous n’aurez plus besoin de rechercher véritablement un contact, une manifestation.

    Je veux absolument préciser ce point, surtout en public, parce que beaucoup trop de gens cherchent, par des moyens paranormaux, à contacter une source divine, leur âme, un guide ou un maître. Ces idées sont fausses dans la réalité profonde, dans l’usage et dans la priorité que l’humain leur donne.

    La source divine est la source divine. La source du guide est la source du guide. Il y a plus de choses qui passent par intuition que par les voies paranormales. Le paranormal et certains aspects de la médiumnité ne sont qu’accessoires, et ne permettent d’aller que jusqu’à un certain point. Ces voies ne permettent pas d’aller dans tous les coins de l’univers, de rejoindre tous les êtres de l’univers, toutes les sources de l’universalité. C’est une erreur.

    C’est pourquoi il ne faut pas les développer dans l’espoir que ces voies mènent à Dieu ou à un Maître. Soyez donc contents d’être ce que vous êtes, sinon, ce serait être comme une fleur, qui dans l’espoir de mieux pousser, s’occuperait davantage du tuteur qui la soutient, que de sa racine.

    Les voies du paranormal sont uniquement des accessoires, des tuteurs en bois, mais ils ne sont pas la voie, pas plus que la sève de la vie, de la divinité ou du contact avec Dieu.

    Le contact avec votre divinité intérieure ne passe pas par un phénomène paranormal. Rien n’a lieu qui soit paranormal dans la voie divine. L’accessoire est utilisé, mais il ne faut pas confondre l’accessoire et ce qui est pris par l’accessoire, transmis par l’accessoire, sinon c’est un maquillage qui ne tient pas et qui, en fait, ne fait qu’enlaidir la personne.

    Je sais bien que le phénomène réveille dans beaucoup de gens l’envie, ou même la décision de développer quelque chose pour contacter, à sa manière, une source divine. C’est le grand problème à l’heure actuelle. Chacun veut, à sa façon, capter un guide, une source.
    Il ne faut surtout pas s’aventurer dans cette zone, ni dans ces idées. La meilleure façon qui soit pour contacter votre divinité intérieure, c’est faire tout ce qui va être expliqué maintenant, et qui sera la réponse à la question.

    Développez-vous en tant qu’âme, en tant qu’esprit, et non pas en tant que chakra.La voie paranormale ne dépend que de l’activité ou de l’ouverture de certains chakras, cela ne dépend pas, en fait, de la beauté de l’âme.

    Quelqu’un qui n’exerce aucune activité dans les voies paranormales, peut être bien plus initié que celui qui en exerce plusieurs. Le chakra éthérique n’a rien à voir avec l’ampleur de l’âme, il est le chakra le plus proche du plan terrestre, sa zone vibratoire, sa zone de substance se trouve plus proche du plan physique.

    Donc, développer un chakra afin qu’il donne une certaine activité paranormale, équivaut à développer l’éthérique. Qui a dit que développer l’éthérique éveillait l’âme ? Personne, parce que c’est faux. C’est pourquoi, à un certain moment sur la voie, il ne faut rien exercer de ce que l’éthérique vous octroie, mais au contraire détruire l’éthérique afin qu’il ne soit plus, et que seule la lumière de l’âme rayonne.
    Il ne faut donc pas que les esprits s’échauffent à propos du paranormal, et si je prends la peine de le dire, c’est parce qu’à l’heure actuelle et d’une façon générale dans le monde, sur cette planète, l’accent est trop mis sur le côté technique, c’est-à-dire sur la puissance de l’éthérique, sur la puissance d’un chakra, la possibilité d’un chakra, au lieu de viser l’épanouissement de l’âme. 

    Que peuvent faire des gens qui ont un certain talent mais qui ont encore trop de problèmes ? 
    Pas grand-chose, et, avant tout, ils ne peuvent nuire qu’à eux-mêmes, car le débordement d’énergie qu’ils mettent en jeu, en pratiquant et en développant leur talent, leur art, ne fait, en fait, que les précipiter vers l’obstacle pour lequel, justement, ils ne sont pas prêts.

    Il ne faut donc penser à ne rien développer en vous, sinon l’âme, et ensuite, si c’est votre destinée d’effectuer quelque chose sur un plan paranormal, automatiquement tout arrivera sans que vous ayez besoin d’exercer une volonté. En même temps que vous développez l’épanouissement de l’âme, vous développez le pouvoir de l’âme, et immanquablement vous avancez vers l’accomplissement de toutes ces choses : pouvoir guérir, pouvoir lire dans la pensée, pouvoir transmettre une énergie initiatrice. Toutes ces choses viennent alors naturellement, il faut avant tout travailler l’épanouissement de l’âme.

    Venons-en à la question, comment anoblir la personnalité ?
    (La question se résume à cela.)

    Avant tout, s’il y a une voie spirituelle, une voie initiatique, c’est parce qu’il y a quelqu’un qui n’est pas initié et quelqu’un qui l’est. Tout cela est résumé en vous, en tant que personnalité et âme. C’est donc cette personnalité qu’il va falloir anoblir. Comme un joyau tiré de la montagne, il faut le travailler pour qu’il devienne le plus transparent possible. Une fois ce travail alchimique effectué, la personnalité se dissout automatiquement, et il n’y a plus que le rayonnement de l’âme.

    Pourquoi cette nécessité ?

    Nous avons déjà parlé quelque peu de la nécessité, pour la personnalité, d’acquérir son individualité. Cette individualité étant acquise, petit à petit, elle devient ensuite un obstacle plutôt qu’un instrument. Ce qu’il faut comprendre, c’est que l’obstacle n’est prévu, ni par la personnalité, ni par le plan de la vie, ni par le plan de Dieu. L’obstacle, les problèmes de personnalité, les problèmes de caractère, d’humeur, sont, dans la vie, tout simplement des choses qui naissent comme une bulle depuis le fond de l’eau, remonte en surface et éclate.

    Pour se débarrasser d’une mauvaise humeur, il ne faut donc pas la combattre à la surface, là où elle éclate, mais comprendre d’où elle vient, ce qui l’a produite, l’enchaînement de choses qui l’a fait naître. Il faut donc descendre dans la zone, descendre la tête la première dans vos tripes, ce qu’illustre la phrase des alchimistes : « Il faut descendre dans les entrailles de la terre afin d’y reprendre naissance et se réveiller à un jour nouveau. »

    À moins que l’on ne soit descendu dans les entrailles de la terre, on ne peut renaître. Descendre dans les entrailles de la terre, c’est descendre dans le fond du plexus solaire afin de le revitaliser par la vie de l’esprit, et non pas de le laisser vivre la vie animale du corps et du prana terrestre.

    Un plexus solaire c’est l’endroit où sont stockées toutes les données, toutes les mémoires. C’est, en quelque sorte, le premier aspect, la première partie du cerveau véritable.
    Depuis des millénaires, depuis l’origine, là, dans le centre de votre plexus solaire, tout est inscrit. Par des entrées artificielles comme l’hypnose, la régression, vous pouvez non seulement dépasser vos propres réincarnations, mais aussi aller dans les incarnations collectives, dans la vie collective du corps, de la terre.
    Cette captation est possible parce que le plexus est l’élément qui vous raccorde à l’inconscient et au conscient collectif, à tous les autres plexus du monde, à tous les états d’âme du monde, à toutes les personnalités du monde. C’est par là, que tout se passe et que tout se vit.

    C’est pourquoi, sitôt que vous déplacez les vibrations du plexus solaire vers le plexus cardiaque, automatiquement vous quittez la conscience de masse, la conscience de groupe. Si vous vous logez au niveau de ce plexus solaire, même de manière inconsciente, vous faites partie de la masse vous n’avez pas d’individualité, vous faites partie du troupeau.

    Donc, descendre à l’intérieur de la terre comme disaient les vieux alchimistes, c’est descendre dans le fin fond de ce centre et y descendre consciemment, alors que, pour l’instant, votre descente se fait inconsciemment.

    C’est pourquoi il existe des peurs ancestrales ou des réflexes qui se transmettent comme un code génétique. C’est pourquoi certains instincts se transmettent de génération en génération. Les bonnes choses ont été transmises de cette manière, mais les mauvaises aussi, comme les craintes primaires, la crainte du feu, la crainte du serpent, la crainte des cataclysmes.

    Ainsi, au fur et à mesure qu’une époque s’installe, les craintes se codifient, se logent dans le plexus et s’installent dans les autres plexus. Il suffit qu’un plexus ressente une chose pour qu’immédiatement le code soit ressenti par tous les autres. Ainsi naissent les psychoses par exemple.

    Il faut donc descendre consciemment à l’intérieur dans ce plexus, et y descendre c’est parfois souffrir, mais cette souffrance n’est pas ressentie comme lors d’une épreuve par exemple. C’est une souffrance froide, car c’est le mental qui descend dans la substance émotionnelle, et la friction qui résulte de cette descente génère cette forme de souffrance : la conscience du danger, la conscience des ténèbres, la conscience de la profondeur.

    C’est au mental de descendre dans cette substance, et c’est à lui d’amener la raison dans cet amas d’émotions, de tensions émotionnelles et passionnelles.

    Si donc, vous voulez avoir une forme d’ascèse pour évoluer ou pour avancer sur le chemin initiatique, pour espérer un contact avec votre âme, un contact avec votre guide, ne développez donc pas les centres éthériques, le paranormal, descendez à l’intérieur de vous. Préparez cette corne dans laquelle vous pourrez souffler, et à moins que vous ne trouviez cette corne pour souffler, vous ne pouvez entendre la voix de Dieu en retour, car seule cette corne permet d’éveiller la voix divine et l’écho divin.

    Qu’est-ce que cette corne ?

    Cette corne c’est tout simplement le chant de l’âme, le son qu’émet constamment l’âme. Pour ceux qui ne sont pas éveillés, le son de l’âme reste emprisonné dans le plexus solaire, comme un fœtus qui tout au long de sa gestation prononcerait le même mantra, la même clé, la même formule magique, et le jour de la délivrance, le mantra n’est plus prononcé à l’intérieur inconsciemment pour entretenir une vie primitive, mais il est chanté par l’âme.

    C’est à ce moment-là qu’il y a résonance, que le son, prononcé à l’origine, qui vous a créés en tant qu’âme, se réveille, rencontre sa source originelle, fusionne, et votre âme peut parler et comprendre le langage de Dieu.

    Si vous voulez vous développer pour marcher sur le chemin, il faut avant tout vous prendre en charge, avoir des actes conscients vis-à-vis de vous, vis-à-vis de votre vie intérieure, émotionnelle, passionnelle. Le moyen de résurrection ce n’est pas un messie, un sauveur, une église, un temple, c’est votre capacité à être conscient et à agir consciemment.

    Ainsi, ce centre nommé plexus solaire a de moins en moins d’énergie puisqu’il régit exclusivement la vie astrale et la vie instinctive, et au fur et à mesure, l’énergie investit le plexus cardiaque et le plexus laryngé, un grand centre aussi de la conscience éveillée. Vous appauvrissez, ainsi, la roue et le mouvement du plexus solaire, vous vous dégagez de cette conscience de masse et vous pouvez prétendre devenir un initié.

    C’est cela le travail de purification, ce n’est pas autre chose. Ce n’est pas en vous forçant à être meilleur, à être patient, à étudier, en vous contrôlant. Cela ne sert à rien. C’est en effectuant un véritable travail mental de dessiccation de tous vos aspects astraux, éthériques et de la personnalité.

    Alors vous allez me dire qu’en théorie c’est bien beau, mais concrètement comment faire, par quelle intervention ?

    Il faut développer, comme je l’ai dit mille fois, la vigilance. Vous ne pouvez pas faire pénétrer le plan mental dans la substance de votre plexus solaire, si vous n’avez pas le réflexe de provoquer la situation nécessaire. Donc, lorsque vous vivez, lorsque vous êtes dans la situation, premier réflexe, l’observation. Observation qui va vous permettre de réfléchir et de contrôler l’investissement de votre émotion.

    Quel genre de réflexion devez-vous faire ?
    Quelles paroles devez-vous dire ?
    Quels gestes devez-vous faire ?

    Obtenir avant tout le détachement et absolument nécessaire pour devenir un observateur. Ensuite, lorsque vous avez vécu, lorsque vous vous êtes entraînés pendant quelques jours, quelques semaines, quelques années, prenez tout le temps qu’il vous faut, entraînez-vous à observer tous les déclics et les déclenchements. Apprenez donc à vous connaître, au moins, en tant que personnalité.

    Quelle est la chose qui suscite tel effroi ? Quelle est la chose qui suscite telle colère, ou telle admiration, ou telle exaltation etc. ?

    Apprenez à bien vous connaître, donc soyez d’abord un observateur. La chose doit être faite souplement, un peu comme un jeu, comme si vous observiez une tierce personne.Lorsque vous aurez accumulé sur vous, suffisamment de connaissances, donc, lorsque vous vous comprendrez, lorsque vous serez capables de pardon et d’amour pour vous, vous aurez la force de vous contrôler, pas avant.

    Beaucoup de gens ont tendance à se mettre les mains devant les yeux pour ne pas voir les horreurs et les bêtises qu’ils font, certains autres ont trop tendance à se culpabiliser. Ni l’un, ni l’autre n’est capable de se pardonner, même celui qui fait fi de toutes ses bêtises. Cette dualité existe tant que vous ne vivez pas cette synthèse âme personnalité.

    Certains hommes, parce qu’ils ont une mauvaise personnalité ou certains problèmes passagers, en arrivent à se suicider, ou culpabilisent tellement qu’ils déclenchent des maladies, des problèmes psychiatriques. Ils en viennent à conclure qu’ils ne sont pas beaux, qu’ils ne sont pas bons, et ils se détestent.

    En fait, ce qu’ils ne peuvent plus supporter, c’est uniquement les agissements de leur personnalité, ils ne peuvent rien dire à propos de leur âme car ils l’ignorent. Donc, il faut avant tout vous situer en tant qu’âme. Quand un disciple veut travailler sur le chemin, il doit, comme un cocher qui considère son cheval de loin, se considérer en tant qu’âme qui guide sa personnalité. Si vous mélangez les deux, si vous êtes sur le cheval en vous prenant tantôt pour le cheval, tantôt pour le cocher, il y aura forcément, à un moment donné, une chute. Il faut dissocier les choses, donc, remettre en place les valeurs initiales.

    Qu’est ce que la personnalité ?

    Elle est avant tout un instrument. Tout le monde le sait, mais pourtant, y a-t-il quelqu’un qui en ait véritablement conscience ? Y a-t-il quelqu’un qui vit véritablement ce dédoublement, pour ne se loger que dans sa partie spirituelle afin de mieux guider sa partie matérielle ? 

    Il y a une trop grande confusion et pas encore la fusion entre l’âme et la personnalité. Il faut donc considérer la personnalité comme un véhicule, premier aspect, et un véhicule mérite le respect.

    Y a-t-il beaucoup de personnes qui respectent leur corps ? Non, très peu, dans la masse de l’humanité, très peu. Et c’est pour cela qu’il y a tant de débauche, que l’homme se permet de faire à son corps autant d’outrages par la prostitution, l’usage de la drogue, l’exercice de certains vices, de certaines dépendances vis-à-vis de la nourriture, l’alcool ou quoi que ce soit d’autres.

    Vous avez un instrument entre les mains et vous en êtes responsables. Vous n’avez pas à vous identifier à votre corps. Absolument pas et c’est là l’erreur fondamentale, c’est là le symbole de la chute. Confondre le corps, d’où est issue la personnalité, avec votre véritable vie, c’est le péché originel.

    Cette confusion amène désastre, maladie, et automatiquement la mort. Parce que dès que l’homme se centre dans l’illusion, toutes les énergies initiatrices de la nature et de la hiérarchie mettent en route un programme spécifique pour détruire cette illusion.

    Lorsque l’humanité arrivera à dissocier et à n’utiliser son corps que comme un véritable véhicule, l’humanité aura vaincu une grande tare sur cette terre, la maladie. Il n’y aura plus de maladie à partir de ce moment-là.
    Il faut donc utiliser le corps avec respect, puisque c’est un instrument. Vous avez du respect pour votre voiture, vous l’entretenez, vous essayer de la garer dans des endroits où elle ne risque pas d’être abîmée, parce que vous savez que cela coûte cher. Un corps coûte très cher, c’est rare. Dans tout votre système solaire, connaissez-vous plusieurs planètes qui offrent un plan physique, je vous le demande ?

    Non, il n’y a que la terre. La chair humaine est à prix d’or. Disposer d’un corps est une chose rare, un privilège. 
    Et que font les hommes ?

    Non seulement ils le critiquent, mais en plus, ils ne font que l’abîmer et lui générer des maladies qui se transmettent d’âge en âge, d’ère en ère. Respecter son corps, c’est se placer déjà dans le royaume de l’âme. C’est grâce à votre voiture que vous vous déplacez, c’est grâce à votre corps que vous allez sur le chemin.

    En le maltraitant, vous perdez du temps, et il vous faudra revenir plusieurs fois dans des corps qui seront peut-être moins beaux, ou qui, à cause des problèmes de l’instant sur la terre, auront certaines maladies dont vous n’êtes pas responsables ou le générateur karmique. Ou bien, pour expérimenter tel ou tel aspect de la spiritualité, il vous faudra très vite un corps et vous n’aurez pas le temps d’attendre certaines générations, certaines figures politiques, une certaine famille.

    Vous accepterez le premier corps qui est en formation dans un endroit qui est, à peu près, celui qui vous convient, et qui dit que ce corps ne sera pas infirme, que ce corps ne sera pas laid, que ce corps ne sera pas faible. Alors plutôt que de prendre n’importe quoi, entretenez déjà parfaitement ce que vous avez, respectez votre corps.
    Essayez simplement cela pendant les quelques mois qui viennent, et vous verrez que d’instinct, vous allez générer en vous une relation d’amour et de profond contrôle avec votre plan physique. Il faut entretenir votre corps, comme si demain, vous deviez le prêter à quelqu’un d’autre.

    Cela est possible en plus, je ne parle pas d’une hérésie. Si le corps est suffisamment sain, si le corps à une valeur vibratoire suffisamment haute, pourquoi le laisser perdre dans la nature et le pourrissement, si à l’heure de votre mort un autre peut venir le prendre ?

    C’est quelque chose de tout à fait possible. Mais il faut, avant que ce moyen d’échange se mette en place, que les hommes vivent moins de par leur plan physique, qu’ils n’identifient plus les personnes qu’ils rencontrent à leur aspect physique ou à leur personnalité. Si les hommes identifiaient les gens par rapport à leur âme, il serait donc facile d’imaginer que Paul, pour l’instant, est dans tel corps, mais que demain, c’est frère Jacques qui y sera, sans qu’il y ait aucun malaise, aucune gêne.

    Premier aspect donc, respect de votre instrument physique. Respect aussi de votre fonction cérébrale qui appartient à votre plan physique. Le respect de votre fonctionnement cérébral c’est simplement ne pas émettre de vilaines pensées, abusives et noires, ne pas céder aux tentations que la société vous offre, comme certains films à suspens, d’horreur et qui parasitent complètement les harmoniques.

    Lorsque vous regardez un objet, un paysage, lorsque vous écoutez un son, lorsque vous humez quelque chose, automatiquement ces données se transforment en substances chimiques, en véritables petits courants électriques qui déclenchent une décharge à l’endroit où a pénétré l’information, soit le nez, l’œil, l’oreille etc.
    Ensuite, cette charge vibratoire utilise tout le réseau nerveux, court dans les lobes du cerveau et se répand aussi dans la moelle épinière. Ce qui fait que, si vous regardez ou écoutez trop souvent des choses négatives ou horribles, vous déchargez dans votre corps des substances chimiques, des courants électriques négatifs, pouvant engendrer la mort de vos cellules.

    À trop déclencher de ces substances chimiques négatives, vous pensez bien qu’automatiquement vous déclenchez en vous un système de régression et de destruction, parce que vous êtes littéralement pollués. Vous savez à quoi mène la pollution ?
    Au contraire, si vous veillez à tout ce qui entre en vous comme données, vous régénérez vos cellules, vous régénérez vos molécules, et au lieu de les polluer, de les amener à la destruction, vous les amenez vers la jeunesse éternelle. C’est possible.

    Qu’un homme de soixante ans en paraisse quarante et qu’à quatre-vingts ans il n’ait toujours pas changé de tête, c’est absolument possible, mais il faut pour cela savoir vivre la vie, savoir ne pas polluer votre instrument et respecter ses fonctionnements, avoir une vie limpide.

    Il faut bien se nourrir, se nourrir de choses pures, de choses qui vous conviennent spécifiquement, car personne ne mange de la même manière, et pensez à vous nourrir de façon logique et rationnelle, logique et rationnelle j’ai bien dit. Je n’ai pas parlé de bonne cuisine française, de la bonne cuisine chinoise. Je n’ai pas parlé du goût, car le goût lui-même a été déformé.

    À l’heure actuelle, le goût est associé aux plaisirs. À l’origine, il est un repère que le corps maîtrise, codifie, pour signifier à tout le système cérébral ce dont les cellules, ce dont un certain organe a besoin pour être réparé et se régénérer. Ce qui fait, qu’à l’origine, tous les accessoires du goût étaient tout autant des accessoires d’appel, d’alarme, et de prévention, le meilleur médecin du monde.

    À la première alarme du corps, l’ordre de réparation est envoyé au cerveau, puis à toutes les fonctions dont la fonction alimentaire qui passe par le goût. 
    Ce qui fait qu’à l’origine, au début d’une maladie, l’homme devait être capable de repérer l’herbe, le fruit, le légume ou tout autre élément nécessaire à sa guérison.

    Mais l’homme s’étant de plus en plus alourdi, s’étant trop identifié à tous les moyens d’avoir un plaisir, a perdu ce code, et ce qui était à l’origine des instruments pour perpétuer la vie du corps, est devenu des moyens de le tuer. 

    Ainsi, il n’est pas rare de voir quelqu’un soumis trop longtemps à un stress, à un manque d’amour, déclencher une maladie cardiaque et en mourir, ou commettre un crime, alors qu’en fait, tout le plan émotionnel ne doit être utilisé que pour éprouver la fraternité, l’amour du partage, l’amour de la présence de l’autre, et se fondre totalement dans une exaltation divine, dans une communion divine. 
    Le plan émotionnel est important dans la constitution de l’homme. Sans le plan émotionnel, un homme ne serait pas capable de devenir un ange, car il ne comprendrait rien aux lois cosmiques, et il ignorerait complètement les fondements mêmes de l’amour.

    Pourquoi l’homme ne pourrait-il pas comprendre les lois cosmiques, alors qu’elles paraissent demander uniquement et simplement l’aspect cérébral ?

    Parce que les lois cosmiques ne passent pas par l’intermédiaire de l’intellect. Lorsque l’on veut avoir la connaissance de quelque chose on ne passe pas par l’aspect intellectuel de la chose, on communie avec elle.

    Le centre qui permet cette communion, qui permet d’intégrer et de ressentir la nature de la chose afin de la faire vôtre, c’est votre centre cardiaque. 
    Le centre cardiaque est le véritable plan de l’émotionnel, mais un émotionnel avec un grand E, un émotionnel divin, alors que le plexus solaire n’est qu’une mémoire.

    L’émotion, au lieu d’être vécue par le centre cardiaque, est vécue maladroitement par le plexus solaire, qui vibre lourdement, qui fait un écho très grave dans les profondeurs, et l’émotion paraît vilaine, à combattre, à annuler, alors qu’il n’en est rien. Il faut simplement la vêtir de son véritable aspect et la reloger dans son domaine, le centre cardiaque.

    Une peur qui s’engrange dans votre plexus solaire, va ainsi codifier tout le reste émotionnel de votre vie, et ainsi, dans telle ou telle situation typique, il y aura le flash-back de cette peur vécue autrefois, et votre plan émotionnel se trouve parasité. Il y aura production de fantasmes, de complexes, de traumatismes et l’être humain ne s’en sortira pas.

    Il faut donc clarifier ce plexus solaire par l’observation, la vigilance, l’analyse, le respect de votre corps, de votre personnalité.
     Quand vous vous respectez, il y a des tas de choses que vous ne faites plus. Alors commencez par là et n’allez pas invoquer l’action de grâce, l’action de Dieu ou de tel Maître, ou travailler sur tel chakra pour vous débarrasser de tel problème, de tel défaut ou de telle humeur.

    N’essayez pas de trouver la formule magique, l’onde de forme idéale ayant suffisamment d’énergie pour combattre tel défaut, telles ténèbres. Il n’y a aucune formule magique, l’effet ne dépend encore et toujours que de vous.

    Si vous décidez d’agir, alors oui, vous pouvez vous aider par des choses extérieures, des accessoires. Donc, commencez par un profond respect de vous. J’insiste lourdement, parce que c’est la pierre de base de tout votre édifice spirituel. Si vous ne vous respectez pas, vous ne pourrez jamais vous contrôler. Cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas avancer, mais au fur et à mesure de votre avance, vous aurez pleins de problèmes, pleins d’obstacles. Retrouvez votre dignité humaine.

    Est-il digne de dire ceci ?
    Est-il digne de faire cela ?
    Est-il digne de penser ceci ?


    Comme avec une lame de rasoir, avec la limpidité de cette lame, le tranchant de cette lame, faites grandir votre dignité et tranchez quand il y a un problème. Ainsi un grand fumeur peut devenir un non fumeur sans avoir recours à quoi que ce soit, un grand mangeur de viande peut devenir demain un grand mangeur de carottes et en rire. Il en est de même pour tous vos problèmes, pour tous vos défauts, pour toutes vos craintes. Dignité, respect.


    En même temps que vous faites grandir cette dignité, vous faites grandir aussi le rayonnement de votre âme, donc en même temps, viennent aussi des épreuves qui ne visent plus la personnalité, ce sont des initiations au niveau de l’âme. C’est à ce moment-là que vous obtenez sur un plan physique les choses paranormales qui ne s’obtiennent pas en position bancale.

    Le Maître voyant votre effort, voyant votre limpidité, votre pureté naissante, s’intéresse à vous, et il se dit : « Il n’est pas très initié, ni très évolué, mais il a une pureté, on va s’occuper de lui, l’utiliser car il en est digne. » En peu de temps vous pouvez ainsi créer le contact que vous cherchez à créer en utilisant vos chakras. Vous pouvez par exemple sortir le soir avec votre corps astral, avoir des rêves significatifs, rencontrer quelqu’un d’important qui va vous mettre sur votre voie. Vous pourrez aussi avoir toutes les intuitions, les plus grandes et démentielles en apparence, qui vont vous obliger à faire telle ou telle chose, à participer à telle ou telle œuvre, à déclencher tel ou tel mouvement, ou pour une véritable mission.

    Pour mettre la main dans un gant, il faut que le gant soit vide. La personnalité n’est pas quelque chose contre laquelle vous devez vous battre, elle n’est pas un monstre, elle n’est pas le diable, elle n’est pas un grand mur de briques ou une tour de Babel, elle est une simple feuille. Si vous saviez à quel point la personnalité est fine, transparente, fragile, un simple voile. Mais la vue de votre âme est tellement sensible, qu’un simple voile lui cache tout le paysage de la vie.

    La personnalité n’est rien du tout, c’est pourquoi, bien que cela vous fasse souffrir, il est assez risible de voir à quel point l’humain s’encombre d’une chose aussi légère, comme si celle-ci pesait mille tonnes.

    Cette compréhension vient avec le respect initial de votre instrument, de votre corps, de votre système cérébral. Ce qui ne veut pas dire que vous ne devez plus être humain pour ne devenir que mentaux, absolument pas. Plus vous devenez des êtres mentaux, (ce qui n’a rien à voir avec un être intellectuel), plus vous vivez sur le véritable plan mental qui est le plan de la sagesse, plus vous vous grandissez et plus vous dilatez l’humanité qui est en vous.

    C’est pourquoi, tous les véritables Maîtres sont capables d’un si grand amour, bien qu’ils aient une raison aussi tranchante qu’un rasoir et un miroir aussi froid que les glaces polaires. L’un ne nuit pas à l’autre, au contraire, l’un enrichit l’autre parce qu’il permet à l’autre d’être pleinement ce qu’il est, un amour assuré par la raison.
    Cet amour-là, est plus grand qu’un amour qui ne vient que du cœur, car il est un amour total.

    Comment vous contrôler pour vous développer ? 

    Aime-toi et connais-toi d’abord, sache te pardonner, mais que ce pardon ne soit pas un leurre et une permission accordée pour d’autres aberrations. Pardonne-toi afin de te donner l’énergie nécessaire pour recommencer une autre vie, pour être quelqu’un d’autre, déchargé du vieux cadavre que tu étais. Donne-toi la chance de te renouveler, découvre cette énergie fantastique de mouvement, renouvelle-toi.

    Mais pour se renouveler, il faut avoir un esprit souple, un esprit d’enfant, un esprit qui se pardonne, un esprit qui joue avec sa personnalité comme avec un ami. 
    Soyez ami avec votre personnalité, je vous assure que c’est facile. Il faut simplement apprendre à vous aimer. Il ne sert à rien d’être amour pour les autres, puisque telle est la grande mode, amour pour votre voisin, amour pour vos enfants, pour la société, pour Dieu, pour la terre, amour pour tout, si vous ne pouvez pas, d’abord, vous aimer.

    Pour qu’un verre puisse transporter de l’eau, il faut qu’il soit creux. Pour que le soleil puisse envoyer sa lumière, il faut qu’il brille lui-même. Pour être véritablement amour, il faut que vous vous aimiez, et s’aimer ce n’est pas un acte narcissique.

    C’est pour cela qu’à un certain moment, comme je vous l’ai dit au début de mon exposé, le mot devient d’une inutilité effroyable. Le mot est limité, parce qu’en fait, il faudrait réveiller en vous l’état de la chose. Sur un mot l’homme peut mettre mille images, mille fonctionnements, mille nuances, alors qu’un état n’a pas mille nuances, il est, un point c’est tout. 

    S’aimer soi-même, est un acte rationnel, c’est savoir gérer la vie intérieure et gérer la vie extérieure qu’offrent la personnalité et le corps. Le respect, c’est de l’intelligence, c’est la connaissance de la véritable fonction de votre personnalité et de votre corps physique. 

    Quand vous avez cette connaissance, la véritable notion du respect et de l’amour de vous  ne fait aucun doute. Retrouvez ce respect, et n’oubliez pas de l’éveiller chez les autres. Si l’humanité est à ce point présente  dans les problèmes actuels, c’est parce que l’humanité n’a plus aucun respect d’elle-même. Il faut d’abord que toute chose soit connue et vécue en vous, car vous ne pouvez pas exercer à l’extérieur l’action et le rayonnement de ce que vous ne connaissez pas en vous.

    C’est pourquoi il faut absolument changer l’homme en lui-même. La solution pour un nouveau monde n’est pas dans la création d’un nouveau système, n’est pas dans le déferlement d’universités paranormales, spirituelles ou ésotériques. C’est dans la racine profonde de votre être que naît le monde, pas ailleurs. Donc aidez le monde à mieux se porter.
    Partager via GmailGoogle Bookmarks

    votre commentaire
  • Question :
    Chez l’homme tous les phénomènes physiques sont-ils toujours précédés par des lésions psychiques, surtout en cancérologie ?


    À quatre-vingt-dix pour cent oui, mais il faut considérer aussi le travail des chakras. Cela est important dans l’étude du cancer ou plutôt dans la guérison du cancer.

    La perturbation d’un chakra peut-être amenée par une lésion psychique, mais aussi par un état de fait d’évolution. Ce qui ne veut pas dire que les initiés développent forcément des cancers. C’est selon comment l’homme arrive à gérer le taux vibratoire contenu dans un chakra, s’il met trop longtemps à le transférer ailleurs, ou s’il n’a pas les moyens de l’extérioriser, parce que le chakra se développe sans partager, sans être une roue qui distribue, alors le chakra se sclérose et prépare le terrain.

     

    C’est pour cela que je vous dis, il faut voir selon les cas, selon le terrain de la personne, ses faiblesses astrologiques, sa génétique, son alimentation ou son milieu tellurique. La personne pourra développer un cancer, parce que le surplus d’énergie crée l’anarchie dans les molécules. Cette source du cancer existe, mais quatre-vingt-dix pour cent des cancers sont dûs à des lésions psychiques.

    Beaucoup de maladies arrivent en fin d’ère. Elles sont des moyens de crever les abcès qui se sont gonflés pendant plusieurs réincarnations au cours de l’ère. Alors à un moment donné, il faut accélérer la purification, la préparation pour monter le taux vibratoire, se défaire de ces vieux linges que l’on traîne depuis trop longtemps.

    En fin d’ère, peuvent naître ces maladies, qui en fait, sont des rejets, de véritables crachats du corps énergétique de l’homme. C’est pour cela qu’il y a beaucoup de cancers dans ce siècle-ci. Étant donné que l’on arrive à la fin de l’ère, que l’homme doit être nouveau, c’est le désir des âmes de bonne volonté de liquider les derniers linges sales, de faire en quelque sorte la lessive, pour se préparer à entrer dans l’ère nouvelle.
    Naturellement cela se passe aussi chez les profanes. Il y a aussi des gens qui ont des intentions spirituelles, même s’ils ne sont pas forcément dans un groupe spirituel, mais leur fond, leur bon cœur, leur générosité, leur grandeur d’esprit sont là. 
    Il a dit : « Il y aura beaucoup d’appelés et peu d’élus ».

    À l’heure actuelle, toutes les âmes qui ont un quelconque éveil, un quelconque pressentiment de ce que serait l’homme nouveau, sont en train d’essayer de liquider les derniers karmas accumulés pendant les deux mille ans passés.
    Donc il y a beaucoup de cancer à cause de cela. C’est le grand nettoyage psychique. Des karmas dûs depuis plusieurs siècles sont évacués de cette manière brutale. Forcément, pour l’homme qui contemple, c’est difficile, c’est très difficile. Mais néanmoins pour l’âme qui expérimente, c’est une grande joie.

    Il faut cependant faire des recherches à ce propos. Il faut le guérir naturellement, mais il ne faut pas oublier le côté initiatique. Chaque fois que vous voulez véritablement intervenir positivement auprès d’un cancéreux, considérez tout autant son terrain physique que son terrain initiatique. Il faudrait pouvoir évaluer sur quel plan de conscience il se trouve, et essayer de le développer là où il coince, dans la compréhension, dans l’acceptation.
    Beaucoup de personnes sont perturbées parce qu’elles ne veulent pas, soit par paresse, soit par manque d’énergie encore latente, se mettre véritablement à la méditation, alors que leur corps, leurs chakras, et leur activité en ont réellement besoin.
    À ce moment-là elles sont en perte d’énergie, elles décalent leur corps astral, et tous les cancers peuvent avoir lieu.
    Dès que l’homme tombe en dessous de la zone vibratoire dite de santé,  par paresse, par obstination, par manque d’envergure ou par karma, le cancer peut avoir lieu. Un cancéreux est avant tout quelqu’un qui est descendu en dessous du seuil vibratoire de bonne santé, alors il  se développe l’envers de la santé, c’est-à-dire la maladie .
    Chaque fois que vous tombez dans l’envers du miroir, vous développez toutes les notions de la vie de cet autre milieu. Descendre dans un taux vibratoire inférieur, c’est développer la maladie.

    Si vous guérissez un cancéreux sur un plan physique et puis qu’éthériquement, astralement, son taux vibratoire est resté bas, il n’est pas débarrassé de la maladie, il peut y avoir transfert, rechute ou de graves cas de dépression. Il faut donc en même temps que le terrain est soigné, rehausser le taux vibratoire de la personne, mais pas n’importe comment.

    Par exemple, s’il était utilisé des ondes de forme, dans la mesure où le terrain ne serait pas suffisamment cicatrisé, il pourrait y avoir au contraire développement de la maladie.
     Cela apporterait de l’énergie non pas pour obtenir la santé, mais à l’anarchie.

    Donc il faut amener le malade sur un seuil vibratoire de santé par des moyens qui concernent le terrain, comme l’alimentation, la fréquentation de la nature, un bon sommeil, un bon équilibre psycho affectif, et le choix d’un milieu tellurique favorable.
    Il faut donc à partir du terrain, recréer le taux vibratoire et après seulement, utiliser les ondes de forme, ou certains minéraux, métaux, pour donner le coup de fouet final, qui à ce moment-là serait le bien venu.

    Par rapport au cancer, il y aurait beaucoup de choses à dire, parce qu’il y a plusieurs sources, mais la plus magistrale est celle que l’on vient de citer.

    Par rapport à la guérison du cancer, il y a autant de méthodes à choisir, qu’il existe de malades. Parce qu’en fait, étant donné que l’on a à faire à une maladie ayant un gros impact sur un plan vibratoire, et que chacun a un plan vibratoire différent, il faudrait que le médecin arrive à reconstituer le terrain vibratoire propre et particulier de la personne. C’est un peu comme s’il fallait refaire la trame de la cellule, jusque dans son aspect le plus primaire, le plus matériel, le plus solide.

    Dans le cancer, l’alimentation a une très grande importance. Parce qu’il faut rééduquer, reconstruire les cellules qui sont à naître. En même temps que le traitement vise à détruire la mauvaise cellule, il faut que la nouvelle cellule n’ait pas le temps d’être contaminée, et qu’elle ait toutes les substances pour se constituer saine et qu’elle devienne un agent combattant du foyer existant.

    C’est pour cela qu’en même temps que vous traitez le cancer, il faut absolument viser l’alimentation de la personne, donner des substances qui constituent la fibre même de la cellule, de manière que ce soit véritablement une cure.
    En fait il faudrait utiliser le même genre de régime miracle, que ceux qui  s’intéressent au rajeunissement. Car il s’agit justement de reconstruire la cellule jusque dans sa fibre.

    C’est pour cela que dans certains cancers, il est bon de faire des greffes, parce qu’il s’agit de mettre en prédominance des cellules saines, qui transmettent leur ADN sain aux cellules qui sont à naître, ou aux cellules qui sont vivantes, tombées trop bas dans leur énergie. La cellule perd sa conscience, son auto conscience, son auto gestion, son auto guérison. C’est un peu comme si elle perdait son ADN, et qu’elle attrape celui qui est là, qui prolifère, et qui est le cancer.

    Donc même pour ces cellules saines existantes, il est bon qu’elles côtoient d’autres cellules en pleine conscience de leur travail, car la cellule a une conscience. C’est cela qu’il faut essayer de développer dans l’esprit du malade. Sa cellule a une conscience autant que lui-même, et s’il participe à faire renaître la conscience dans ses cellules, il participe à redonner la vie à son corps.

    Chaque fois qu’il y a perte de conscience, que ce soit par perte d’énergie, ou par un blocage que fait la personne, à cause d’une multitude de problèmes, la cellule perd la conscience, elle perd son code, et elle devient anarchique, comme un marginal. Dans la société, il y a de nombreuses personnes qui n’arrivent pas à trouver leur identité, leur place. Elles ne sont personne, et elles deviennent des antipersonnes, en devenant des marginales, et en faisant tout le contraire que l’édification d’elles-mêmes.

    Si le cancer existe dans le corps, il existe aussi dans la société , car tout est miroir.On retrouve dans la société la même maladie que la personne expérimente dans sa propre chair. Car tout est reflet, car tout est un seul et même corps en fait.

    Vous avez votre propre corps, votre pays, votre nation forme un corps, d’autres peuples, d’autres nations forment également leur corps. Regroupés, ces corps forment ce que l’on peut nommer l’humanité. Cette humanité sur un plan social aura les maladies que chaque personne déclare en elle-même, car tout est reflet, tout se répercute, car tout est correspondance.

    Donc ce qu’il faut absolument, c’est, d’une certaine manière initier les malades à retrouver leur conscience. Généralement les cancéreux ont un problème vis-à-vis de leur propre image. C’est dans leur imago que cela ne va pas. Ils sont en conflit avec eux-mêmes, ou ils n’adhèrent pas à la société, à leur mariage, à leur profession. Ils sont en crise avec leurs traumatismes, avec leurs principes étroits pour certains.
    Bien qu’ils n’aient pas de problème de personnalité, ils ont de graves problèmes d’étroitesse de jugement et d’esprit. Alors les cellules n’arrivent plus à fonctionner parce que l’homme, sclérose le mouvement de la santé du fait qu’il est emprisonné. Dès qu’il y a prison, dès qu’il y a arrêt, il y a la chute, et tous les cancers sont possibles.

    Le cancer, que l’on peut nommer la maladie de la cité moderne, est étroitement lié au comportement psychologique et psychique de l’individu, lié au reflet que l’individu essaie de vivre et faire vivre chez les autres, ou un reflet que les autres lui envoient et qu’il n’accepte pas.
    Souvent, les cancéreux ont de faibles personnalités, pas forcément des introvertis, mais ils ont trop subi, trop pris, trop acceptés sans vouloir accepter, alors ils s’enfoncent, et ils emmagasinent. 

    Les cancéreux a forte personnalité sont une grande exception, parce qu’il s’agit d’un tout autre type de dérangement. Cela veut dire, qu’à la base, il y a dans un organe une grande sclérose, soit venant d’une impuissance, par exemple sexuelle ou de tout autre chose. Les fortes personnalités ont plutôt des problèmes de maladie du type congestif. Tout ce qui est de la nature du feu justement. Alors que le cancer, la maladie cancer, est en rapport avec tout ce qui est eau chez le malade, dans le symbole au sens propre comme au sens figuré.

    Chez une personne qu’est-ce que l’eau ?
    Toutes les cellules baignent dans l’eau, premier rapport.
    Ensuite, le mental, la psyché de l’homme est aussi symbolisée par l’eau.

    Donc le cancer concerne et est concerné par tout ce qui est constitué par l’élément eau dans l’homme, aussi bien sur un plan psychologique que dans son corps. C’est pour cela qu’il s’attaque aux cellules, parce que les cellules baignent dans l’eau, et vivent essentiellement dans un milieu aquatique en fait.
    Par contre, chez les gens à forte personnalité, c’est l’élément feu qui est concerné, parce que l’expression de la personnalité correspond au feu dans l’homme, c’est le verbe. C’est donc, religieusement ce que l’on appelle le saint-esprit, mais vibratoirement, c’est le feu. Donc par correspondance physique, cela va être toutes les maladies qui s’appuient sur le feu, sur un désordre de l’élément feu, toutes les maladies pulmonaires, cardiaques, tout ce qui est congestif.

    Et on pourrait aller ainsi, par correspondance, de l’âme au physique. Selon l’élément qui concerne l’âme, le même élément sera concerné dans le physique, et c’est pour cela que l’on peut dire, que vous développez dans le physique, la maladie de votre âme, ou plutôt le désordre qui vit dans l’âme. 

    Quelque part la maladie est toujours un état qui signifie une réalité vibratoire, un manque d’initiation, et en même temps cela met le doigt sur l’élément où la personne doit travailler, aussi bien pour avoir l’initiation, que pour se libérer de la maladie.

    On peut y remarquer aussi l’influence karmique, les maladies karmiques, mais qui ne sont pas, en fait, la raison de la plupart des maladies. Rendre quelqu’un malade, pour des raisons karmiques n’est pas véritablement valable, il vaut mieux mettre la personne dans l’épreuve, que dans la maladie. Mais dans la mesure où il y a eu sclérose, par entêtement, par incompréhension au cours de plusieurs réincarnations, à un moment donné cela devient un fait karmique et la maladie de ce qui ne devait être qu’une épreuve, mais qui n’a pas été comprise et assimilée.

    C’est toujours un désordre de la psyché, de la psychologie, un désordre de l’état des chakras, désordre vibratoire, un entêtement à ne pas aller de l’avant, à ne pas comprendre, à se scléroser, à entretenir le même problème de réincarnation en réincarnation, à être sourd en quelque sorte. Alors cela projette l’homme dans la maladie.

    Il ne faut pas croire que se termine là le chapitre sur les causes de la maladie, car il y a aussi le terrain familial, le terrain génétique, qui ne crée pas forcément la maladie, mais qui selon l’état psychique de la personne va pouvoir déclencher plus facilement, et plus typiquement la maladie.

    Il y a le terrain astrologique, car chaque homme naît avec une disposition d’étoiles spécifique, et chaque étoile, selon sa figure, apporte force ou faiblesse à un certain endroit. Comme les éléments constituent l’âme, les quatre éléments que l’on trouve dans la nature constituent les aspects de l’âme, lorsque l’âme est insuffisante à l’endroit d’un élément, il y a déclenchement d’une maladie, d’un problème, ou d’une carence, dans l’élément physique.
    Ce qui fait qu’un homme développe très souvent la maladie de son ciel. Cela ne veut pas dire à ce moment-là, que le ciel est sur lui comme l’épée de Damoclès, et qu’immanquablement il aura la maladie de son ciel. Mais selon son taux d’erreur, son taux de sclérose, son taux de paresse, son taux de surdité, selon qu’il ne voudra pas accepter l’épreuve et la vaincre, à ce moment-là, il y a mise en résonance entre son âme et son taux vibratoire et cela va correspondre dans le physique.

    Tout est correspondance. Dès que l’on commence à soulever un bout du voile, on s’aperçoit que l’on ne contemple qu’un orteil, et qu’en fait, tout le reste de son corps est à dévoiler.

    Lorsque l’on veut s’intéresser au pourquoi, ne serait-ce que de la plus petite des maladies, on tombe immédiatement dans un relais de correspondance gigantesque.

    Ce qui ne veut pas dire que vous devez absolument apprendre tous ces relais de correspondance, car en fait, si vous en connaissez un minimum et que vous êtes avant tout plein de sagesse, de bonne volonté, que vous développez en vous ce taux vibratoire de disciples et que l’énergie universelle peut passer, alors peu importe toutes ces conditions, l’énergie universelle ne fait qu’une bouchée de tous les symptômes.



    Je vous salue.
     
    Partager via GmailGoogle Bookmarks

    votre commentaire

  • Question :
    Pouvez-vous nous parler de la stérilité des femmes, qui irait en s’accroissant, et des méthodes utilisées pour essayer d’y palier ?


    La stérilité a toujours été un véritable fléau, c’est-à-dire qu’elle a toujours eu un pourcentage élevé. Mais à chaque époque les causes sont différentes. La cause principale, disons ce qui qualifie la plupart du temps ce problème sur un plan énergétique, c’est un blocage que fait la femme par rapport à la loi.

    La loi dit, que chaque espèce doit se renouveler d’elle-même. Il y a des femmes qui, par leurs expériences passées dans d’autres réincarnations, souffrent terriblement de cette loi, soit parce qu’elles sont  mortes à l’accouchement ou ont eu des enfantements très douloureux, soit parce qu’elles ont parfois mis au monde des enfants handicapés.

     

    La volonté de mettre au monde étant un acte qui fait peur, cela crée dans la mémoire de la femme des chocs qui bloquent cette volonté. Pour beaucoup de ces personnes, quelque part il y a eu faute. Lorsque je dis cela, je ne voudrais pas accuser ou critiquer toutes les femmes, ou tous les hommes atteints de stérilité. 

    L’homme n’a pas toujours été un être très développé, et au cours de ses nombreuses réincarnations, il a eu parfois des comportements très sauvages sur tout ce qui concerne le plan sexuel. Ce qui fait que, l’âme fait une sorte d’obsession à propos de ce problème qu’elle n’arrive pas à sublimer de vie en vie. 

    Une certaine hantise se pose sur les organes sexuels à les voir en activité, parce que  d’une certaine manière, pour ces personnes, dans leur esprit, c’est l’endroit où ils ont péché, c’est par là, où ils ont été le plus rattachés à la matière, où ils se sont faits honte eux-mêmes, alors que Dieu et les Maîtres ne leur reprochent rien.
    Il n’y a pas pire juge que l’âme vis-à-vis d’elle-même. Lorsque vous avez un remords à propos de quelque chose, vous souffrez cent fois plus que si quelqu’un vous faisait un reproche. Il y a une véritable torture intérieure. Ce qui fait qu’au fur et à mesure des réincarnations, l’homme  passe par tous ces états, alors qu’aucun reproche ne lui est fait par un Maître. Il a une fixation qui bloque littéralement l’épanouissement de ce centre sexuel.

    C’est ce qui fait aussi qu’il y a de plus en plus des cas de sexualité, des cas de mésentente, de désaccord, de manque d’accomplissement, alors qu’aujourd’hui les mœurs se libèrent et les rapports sexuels ne sont plus un obstacle.

    L’homme, développant plus de conscience, développe en même temps le jugement, l’auto-jugement. C’est ce qui amène une nouvelle vague de résurgence de maladies ou de maladies nouvelles, et des blocages comme dans le cas de la stérilité. Dans ces cas-là, il faut apprendre, il faut rééduquer la personne à vivre l’acte de procréation, pas seulement l’acte sexuel, mais à vivre l’enfantement d’une manière positive.

    Si vous alliez fouiller dans l’inconscient de ces personnes, vous verriez que se nichent des tas de fantômes : naissance d’enfants handicapés, comportements suspects voire prostitution etc.
    Lorsque se réincarnent ces personnes, que se passe-t-il ?
    Pensez-vous que d’un seul coup ces personnes vont devenir des anges ?


    Non. Il y a forcément à ce niveau-là, encore un blocage, et surtout une autodestruction. Il y a le méa culpa.
     
    Donc, il faut nettoyer leur inconscient. De toute manière, chaque fois qu’il y a infirmité, alors que les organes eux-mêmes sont normalement constitués, il faut aller chercher dans les mémoires passées la racine du mal. 
    Rééduquer la personne à vivre la chose de manière positive et la déculpabiliser.

    Il n’y a rien de plus meurtrier que la culpabilité. Cela tuerait le bon Dieu s’il se sentait coupable de quelque chose. Parce que cela crée un effet de rétroversion dans les énergies, 
    il n’y a plus construction, il y a destruction après obturation.
    Ce qui fait que, si quelqu’un développe un cas de stérilité dans sa vie présente, il est fort possible, que 
    dans sa prochaine vie, il développe au même endroit un cancer ou une tumeur quel qu’en soit le degré. Parce que l’énergie, à force d’être coincée, sclérosée, finit un jour par se désagréger. Naturellement ce cancer va être libérateur, parce que cette mémoire va être nettoyée, c’est un peu comme lorsque l’on crève un abcès.

    Mais plutôt que de passer par toutes ces douleurs, il serait bon, pendant quelques mois, d’apprendre à ces gens à nettoyer leur inconscient. Ce qui se fait très facilement, vous avez actuellement toutes les méthodes pour le faire, parce que vous avez la connaissance de cet aspect caché de la conscience. Ce qu’il faut, c’est juste adapter la méthode au cas qui concerne votre démarche, et vous pouvez faire de véritables séminaires, pour réapprendre à penser.

    Comment cela se passe-t-il ?

    Il faut mettre la personne dans le cas critique. Bien sûr, vous ne pouvez pas savoir si la personne a eu des enfants infirmes, ou si c’est parce qu’elle a eu plusieurs vies en tant que prostituées, homme ou femme, ou si c’est tout simplement une peur parce que lors de plusieurs accouchements elle a énormément souffert, ou décédée.

    Mettez une musique, ou tout simplement une voix magnétique et ensuite dépeignez les cas les plus tragiques.
    Faites imaginer à la personne qu’elle est au moyen âge, quelque part sur une roche, qu’elle porte en elle un enfant, que l’enfant n’arrive pas à naître et qu’elle meure dans d’atroces souffrances.
     Mais ceci doit se faire assez vite pour ne pas déranger la personne.
    Faites imaginer ensuite, qu’elle est sur le point d’accoucher, qu’elle est au bout de ses forces et qu’en même temps que l’enfant est libéré, son âme rejoint l’éternel.
    Ensuite faites-lui imaginer qu’elle subit un avortement qui tourne mal,
      comme il y en a  
    eu très souvent et à toutes les époques.
    Puis qu’elle met au monde un enfant anormal.
     Tout ceci, tout ce panorama, vous devez le décrire très rapidement à la personne pour qu’elle ne se polarise pas sur ces images néfastes, mais que sa conscience soit portée sur ces points, de manière à réveiller l’égal souvenir dans son inconscient, par osmose en quelque sorte.

    Ensuite vous lui dites : Voilà, vous êtes une de ces personnes. Si la personne est véritablement relaxée, immanquablement son inconscient va choisir le cas qui la concerne, comme dans la méthode des rêves conduits. Vous citez tout simplement tous les cas, toutes les catégories, et l’inconscient de la personne dès qu’il va sentir  son cas cité, va le prendre.

    D’une certaine manière la personne va le revivre,
     mais pas de manière aussi tragique, aussi forte que s’il s’agissait d’une séance d’hypnose. Il faut simplement réveiller dans l’inconscient la même corde, et ensuite apprenez-lui à mourir en quelque sorte, puisque dans la plupart des cas il y a eu mort à l’accouchement, ou une mort intérieure à cause d’un enfant handicapé.

    Donc Il faut que vous lui appreniez à 
    mourir sans peur, et sans angoisse, quel que soit le cas qu’elle ait choisi, c’est ce que vous lui direz . « Quel que soit le cas que vous avez choisi, maintenant vous êtes contrainte de mourir. Apprenez à mourir gentiment, sans peur, sans angoisse, acceptez  la libération. Ne regardez pas l’enfant qui va vivre seul, ou ne dédaigniez pas l’enfant infirme qui a été mis au monde. Simplement acceptez l’état de chose sans révolte, sans angoisse. »
    Ajoutez à cela de la relaxation tout à fait classique pour détendre l’esprit, et concluez avec des paysages de printemps.

    Actuellement la vie moderne, le stress et l’abus de produits chimiques sont aussi des facteurs de cas de stérilité.
    En ce moment, à cause des énergies nouvelles qui vont rendre la femme nouvelle,
     il y a mutation du corps féminin. Donc, la femme, étant en mutation, est plus spécialement visée par les énergies, elle se trouve un petit peu plus fragile dans tout ce qui la constitue.

    Si elle abuse de la vie et de l’activité de la vie moderne, plus l’abus de certains produits chimiques, de certains excitants comme les drogues, le café etc., il y a parasitage au niveau des énergies qui visent la reproduction. Parce que la reproduction ne serait pas souhaitable, étant donné que le type féminin est en mutation pour être un type nouveau dans la nouvelle ère.

    Si  on contamine ce changement avec des données qui ne sont pas souhaitables, des données qui viennent aussi bien du psychisme, de la vie stressante, ou qui viennent tout simplement de l’abus de certaines drogues, ou de produits chimiques comme certains médicaments, 
    le nouvel ADN qui doit s’instaurer dans cette femme, se trouve mal programmé en quelque sorte, la nouvelle race serait mal programmée et ne serait pas la race souhaitée. Alors les énergies se mettent en place pour contrecarrer les niveaux de reproduction afin que l’ADN soit préservé.

    Ceci, est pour les femmes qui se placent dans la zone où justement elles peuvent devenir des nouvelles femmes.
    Maintenant, il n’y a pas de problème pour les personnes qui continuent à appartenir à l’ancien monde, et qui peuvent avoir des enfants, car il ne faut pas faire une généralité de tout.
    N’oublions pas qu’il y a interpénétration des deux zones, de l’ancienne et de la nouvelle.

    Il y a des personnes qui, tout en continuant à appartenir à l’ancien monde, peuvent très bien continuer à enfanter, parce qu’énergétiquement elles sont en harmonie . Mais dès qu’il y a mutation, dès que certaines personnes s’éveillent, même s’il n’y a pas forcément une démarche spirituelle, mais si sur un plan vibratoire elles ont atteint un certain degré pouvant permettre la mutation, alors ce sont plutôt ces personnes qui sont visées par la stérilité. Ne pouvant pas s’adapter à la discipline, il vaut mieux que leur moyen de reproduction soit coupé, parce qu’elles transmettraient de fausses données à la nouvelle race.

    Il vaut mieux reproduire selon les normes de l’ancien monde, que d’essayer de produire des mutants qui ne seraient pas conformes aux normes spirituelles futures. Il vaut mieux quelqu’un d’un petit peu vieux, qu’un mutant qui est désordonné et incontrôlable.

    N’oublions pas qu’il s’agit justement de créer des mutants, et c’est pour cela qu’il doit y avoir une grande sélection parmi les personnes qui sont en mutation, tandis que les autres peuvent tranquillement avoir leurs enfants.
     
    L'homéopathie

    Question :
    Lors d’un entretien, l’année dernière, vous nous avez dit, qu’il y avait beaucoup à dire sur l’homéopathie. Et comme nous sommes plusieurs à pratiquer cette médecine, est-ce que vous pouvez nous en dire un peu plus ?

    Il y a beaucoup à dire sur cette science parce qu’elle va au-delà du corps physique. Elle arrive à toucher jusque dans le profond de la psyché, en passant par le corps éthérique et quelquefois aussi le corps astral. Et il y a véritablement  impact dans le corps astral, dans la mesure où vous arrivez à toucher la psyché de la personne, donc l’inconscient en quelque sorte.

     

    Avec l’homéopathie vous pouvez toucher l’inconscient et changer la personne, puisqu’il s’agit d’aller renouveler dans la psyché un taux vibratoire plus ou moins endormi ou en perturbation.
    Ce qui ne veut pas dire que voilà une nouvelle solution à tous les problèmes psychiques des individus.

    L’homéopathie va convenir parfaitement à quelqu’un pour le traiter au niveau de ses humeurs, et de son état de conscience. À un autre, dans le même état, il faudra plutôt lui conseiller des exercices respiratoires, ou bien de la relaxation, ou bien un changement alimentaire. Il s’agit tout simplement d’arriver à diagnostiquer à quelle personne et quel terrain vous avez à faire.

    Revenons à la partie conscience de l’homme que l’on peut changer avec l’homéopathie. 
    La conscience est constituée par des milliers, des milliers de petites particules énergétiques. La conscience est un phénomène énergétique qui passe par tout le réseau du système nerveux.
    Donc, c’est par le concret du physique, des sens, et du système nerveux, que l’homme édifie sa conscience, son auto conscience en quelque sorte. C’est pourquoi l’expérience par le physique est absolument nécessaire, sinon il n’y a pas prise d’une auto conscience.

    Cette auto conscience s’édifie comme vous programmez un ordinateur. Du fait que vous êtes incarnés,  vous possédez des sens, et un système nerveux. Par ceux-ci, vous arrivez à avoir des expériences qui se transforment en données, qui vont dans le cerveau et sont transmises à la grande mémoire astrale, par les différentes glandes, notamment la pinéale, en autres données plus subtiles, plus énergétiques.
    Cette mémoire astrale détermine toutes vos couleurs, vos chakras, toutes vos aptitudes, et détermine même votre prochain ciel de naissance astrologique. Car, attendu que tout est résonance, et que tout est échange vibratoire, vous allez vous réincarner en correspondance exacte avec vos étoiles, du simple fait et à cause du simple effet de ces particules qui vous constituent. 

    Que veut dire être une conscience? 

    Être une conscience veut dire que ces milliers de particules énergétiques qui vous constituent, entrent dans une certaine activité, par rapport à l’action du concret et de votre vie physique.

    Étant donné que l’homéopathie est une vibration et qu’elle arrive à toucher le niveau vibratoire de l’homme, selon les défauts qui le caractérisent, ou son comportement débordant ou trop inhibé, si vous arrivez à trouver le remède et le dosage qu’il lui faut, par correspondance vibratoire, vous allez pouvoir enlever soit l’inhibition, ou au contraire l’extraversion, la frustration.

    Mais, il y a condition. Si ce problème a été amené dans la personne par traumatisme, donc s’il a subi, étant donné qu’il n’y a pas de loi karmique, alors, l’homéopathie peut arriver à l’enlever. Mais s’il s’agit d’un défaut que l’homme transporte, qu’il doit expérimenter, donc qu’il doit lui-même par efforts, et par leçons initiatiques, s’en débarrasser, alors, quel que soit le remède,  vous n’arriverez pas à le libérer.


    Par contre, en alliant votre remède à son propre effort, il aura un soulagement dans l’effort à produire, mais cela ne remplacera pas l’initiation qu’il doit trouver lui-même. Il y a toujours un conditionnel à l’homéopathie dans ces zones d’action.
    Biens des passions peuvent être défaites par ce système : 
    Personnes trop sanguines qui se font du karma par trop de violence, personnes maladivement timides, trop inhibées.

    En combinant l’homéopathie qui concerne la personne avec un régime alimentaire approprié, en choisissant d’autres aliments que ceux qu’elle choisit traditionnellement qui perpétuent son état physique et qui continuent à programmer  sa psychologie, automatiquement vous changez littéralement le terrain de la personne.

    Mais il faut faire attention. Il faut avoir le consentement et l’assurance que la personne intéressée fasse l’effort de vouloir participer pour changer. 
    Si en bon médecin, en bon guide,  vous intervenez aussi totalement chez un homme sans qu’il fasse lui-même l’effort, vous le mettez en état de perturbation, de déséquilibre parce qu’il n’est plus lui-même, et aurait encore plus de problèmes que si vous n’aviez rien fait.

    Cette démarche doit être couverte par l’assurance que l’homme fait en même temps, la véritable démarche de se prendre en charge pour un changement. C’est pour cela que le médecin de demain sera  aussi nécessairement un guide, parce que les hommes voudront tous être disciples.
    À l’heure actuelle cela ne servirait à rien, parce que, quels sont les profanes qui ont l’idée d’être disciples ? 
    Donc, si le médecin avait tous les remèdes, il n’y aurait encore peu d’effet, et peut-être encore plus de perturbations, parce que justement, chaque fois que l’on a accès à quelque chose qui peut changer jusqu’à la nature psychique de la personne, on peut libérer l’homme ou alors l’enfoncer encore plus dans les ténèbres, comme dans le cas où l’on ouvre artificiellement un chakra.
     
     
    Thérapie avec les aimants
     

    question.
    Est-ce qu’une thérapie avec les aimants peut être dangereuse ?


    Avec les aimants, pas du tout, dans la mesure où la technique est bien connue et véritablement appliquée  selon la méthode. C’est-à-dire quil ne faut pas improviser avec les aimants.
    En eux-mêmes, les aimants ne sont pas dangereux. Mais lorsqu’ils sont utilisés avec l’envie de changer l’état vibratoire d’une personne, dès qu’il s’agit de toucher la polarité de la personne, si cela n’est pas fait selon la méthode pour que rien ne soit perturbé, 
    il peut y avoir fermentation d’un terrain à maladies, puisqu’à ce moment-là l’homme est dépolarisé.

     

    Donc il n’y a aucune contre indication à utiliser les aimants, mais il faut le faire selon une méthode bien précise, et ne jamais faire de fantaisie, en quelque sorte, à propos de la méthode.

    Changer la polarisation de l’homme n’est pas un problème, parce que c’est le côté énergétique le plus dense, le moins important en fait. Mais en même temps, cela représente une barrière de sécurité vis-à-vis de tous les circuits vibratoires qui le composent et qui composent aussi l’extérieur, les autres personnes, la nature, etc. 
    La polarité, c’est ce qui permet de maintenir un champ de force. C’est cela qu’il faut bien comprendre.

    Plus tard, vous découvrirez, qu’en jouant sur le système de la polarité, l’homme arrivera à une parfaite anesthésie, sans l’intervention d’aucun élément chimique, simplement en jouant sur la polarité.

    La polarité n’a pas d’autre but que de former la coque extérieure de la constitution vibratoire de l’homme, elle crée un champ de force. 
    Dans ce champ de force, l’homme arrive à se former, à être lui-même, à avoir ses propres chakras. Si l’homme n’avait pas ce champ de force qu’il forme, qui constitue en fait la forme ovoïde de son aura, il serait éparpillé, très épars, et il serait un léger fluide qui passe dans la nature.

    Au contraire, il est emprisonné, et 
    ceci est permis grâce à la forme et aussi à la volonté de la loi qui veut que des consciences individuelles soient formées. Donc, il faut avant tout créer une polarité, qui crée un champ de force distinct. Dans ce champ de force, l’homme prend son véhicule physique, et il arrive à maintenir son énergie à l’intérieur du corps, à l’intérieur du champ, et ainsi, petit à petit, il édifie son individualité, son identité.

    Et puis un jour, ce champ de force éclate, et l’homme retrouve, en pleine conscience, la conscience universelle. À partir de ce moment-là, l’homme n’est plus individuel, mais il lui a fallu passer par ce creuset que sont la forme et l’identité, pour développer une auto conscience.
    C’est le but de la matière et de toutes les incarnations.

    Donc les aimants sont à utiliser, c’est très bien, mais il faut faire des recherches à propos des aimants, parce que, comme je vous le dis, en jouant avec cette polarité, il y a moyen d’anesthésier totalement la personne. Lorsque l’on arrive à changer la polarité d’un homme, les atomes, les cellules, les molécules qui composent son corps physique ne sont plus rivés vers l’intérieur, donc assujettis à tout le système nerveux. Au contraire, leurs consciences, leurs antennes vibratoires sont tournées vers l’extérieur.

    C’est comme s’il y avait déconnexion de chaque molécule, de chaque cellule vis-à-vis du système nerveux, car s’il y a douleur c’est par rapport au système nerveux, c’est lui qui transmet la notion et l’impulsion de la douleur. À ce moment-là, il y a anesthésie vibratoire.

    Il y a aussi de multiples choses que l’on pourrait enlever grâce aux aimants : douleurs inflammatoires, rhumatismes, rhumes, certaines congestions, tout ce qui est de nature prison vibratoire.

    Donc, pour tout ce qui est maladie née à cause de congestion, ou à cause d’inflammation,  l’aimant est roi. Il libère, il crée une sorte d’ouverture, et l’énergie qui normalement est véhiculée de la cellule au système nerveux, libère la douleur, et la cellule émet directement à l’extérieur, dans le vide, dans la nature.


    Ce qui ne veut pas dire qu’il y a guérison, il y a tout simplement détournement de l’impulsion vibratoire, et ainsi la personne est libérée de la douleur.
     
     
    Partager via GmailGoogle Bookmarks

    votre commentaire
  • Question

    Pouvez-vous nous donner des conseils concernant l’harmonie et l’importance de la diffusion de vos messages ?


    En voilà un qui pense que c’est important, alors il pense plus que moi. Parce que moi, je ne pense pas que ce soit important, bien que je sache que cela l’est. Je ne veux pas non plus trop jouer avec vos esprits.

    Ce qui est important, c’est que quelque chose se passe en vous et que vous le portiez aux autres. Il n’est pas important que vous veniez m’écouter, que vous m’acceptiez, que vous me suiviez. Il n’est pas important, que vous vous rappeliez de moi, que vous me nommiez. Par contre, que je sois vivant en vous et qu’en sortant vous exerciez la tolérance, vous vous souveniez des lois, des harmonies, alors ça oui c’est important, et, seulement à ce titre, cela devient important.

    Qu’est-ce qu’un guide ?
    Il n’est pas un instructeur, Il est tout simplement un morceau de flamme, un morceau de vie donné aux hommes, posé au milieu des hommes et ce morceau de flamme doit réveiller la flamme des autres hommes.

    À moins qu’il ne fasse cela, il ne sert à rien. Alors les hommes pourront venir et se dire, c’est un beau feu, il brûle bien, puis mesurer la flamme, décomposer son spectre, venir s’y chauffer.

    Ce qui compte, c’est que quelques hommes acceptent de venir se brûler dans cette flamme, de s’y fondre, pour devenir eux-mêmes une flamme, et qu’ils soient, pour les autres, la même flamme que celle dans laquelle ils se sont initiés. C’est la transmission initiatique qui compte, ce n’est pas le transmetteur.

     

    Question

    Pouvez-vous nous donner encore quelques précisions sur le pourquoi et le comment des diverses races humaines, en particulier, pourquoi l’Islam, pourquoi le fanatisme religieux d’aujourd’hui, pourquoi Mahomet ?


    En ce qui concerne l’Islam, comme je l’ai dit tout à l’heure, chaque civilisation est un être composé par des millions d’êtres. Chaque civilisation, chaque peuple a son rythme, son inspir et son expir, sa naissance, son développement et sa chute.

    L’Islam à nos yeux est très beau, comme toutes les autres formes de religion ou de civilisation. Tout est beau dans la mesure où l’homme sait le vivre avec beauté. Dans la sagesse de l’Islam il y a de grandes vérités et surtout un art immense de dire cette vérité.

    À l’époque où beaucoup d’hommes étaient des combattants, presque des animaux, dans l’Islam, il y avait des initiés, des astrologues, des astronomes, des mages, des alchimistes.

     

     

    Que s’est-il passé ?
    À un moment donné, arrivé à un certain moment du cycle, le peuple patine en quelque sorte, et ceci est valable pour tous les peuples, pour toutes les races. Selon ce qu’il arrive à accepter comme autres vibrations, il va pouvoir ou non continuer à se développer, ou dans la négative, il chute. Mais il ne chute pas à la manière de quelqu’un qui tombe dans les ténèbres pour y disparaître, il n’y a pas disparition, il y a disparition de sa flamme initiatique.
    Chaque peuple correspond à un rayon et à une flamme initiatique. De la même manière qu’il y a sept rayons, il y a sept races. C’est parce que le cycle est conçu pour vivre de cette manière avec une naissance, une apothéose et une chute, que les races se succèdent. Il ne faut pas juger, car un jour vous aussi vous passerez par ce même état.

    Qu’est-ce qui favorise le fanatisme dans l’Islam ?

    Ce n’est pas parce que ce peuple est arrivé à un point de décadence tel, que maintenant il se rue et tire sur tout ce qui bouge. Ce sont tout simplement des esprits qui ont encore quelques comptes à régler avec le désir de puissance et d’orgueil, qui profitent de cette philosophie, de cette religion et de ce peuple pour le manœuvrer, afin de continuer à exercer leurs mauvais genres.

    Vous allez me dire : « Mais est-ce que Dieu ne pourrait pas intervenir là-dedans ? » Ce n’est pas à Dieu, ni aux Maîtres d’intervenir dans les affaires humaines. Ils peuvent vous aider, vous conseiller, vous aimer, se sacrifier pour vous faire comprendre la chose, mais ils ne peuvent pas vous obliger à être ou ne pas être.

    Quand des entités se développent uniquement dans une voie occulte, mais d’un occultisme plutôt teinté de noir, il faut bien un jour qu’ils se réincarnent pour expier, ne serait-ce que pour cela. Maintenant, mettez ces hommes dans une position telle qu’ils arrivent à avoir la puissance sur des gens ignorants, c’est l’affaire de ces gens ignorants. Non pas que nous nous détournions de ce peuple, au contraire.

    Chaque fois qu’il se passe quelque chose de capital, toute l’attention des maîtres est attirée et ils agissent, mais ils ne peuvent pas agir à l’encontre de quelqu’un, ils sont obligés d’attendre certains cycles. Il appartient à l’homme de se prendre en charge et de savoir si son guide, qu’il soit religieux ou simplement politicien, est un bon guide, s’il doit lui obéir ou pas, et depuis des milliers d’années c’est toujours le même problème.

    L’homme préfère suivre les lucioles que de faire quelques pas dans le noir pour trouver la flamme, parce qu’il n’ose pas, parce qu’il préfère être programmé
     .
    Même si au fond de lui il n’est pas content, et je peux vous affirmer que des millions de gens là-bas ne sont pas contents, mais ils acceptent, ils plient. Alors, même si les hommes qui les dirigent n’ont de la force que dans le pouce, avec ce peu de force ils arrivent à agir, alors que si le peuple retrouvait sa dignité, si le peuple n’acceptait plus, si en fait ils devenaient des gens libres d’esprit, il pourrait y avoir des milliers de gens ayant l’esprit de ceux qui les dirigent, ils n’auraient aucun pouvoir sur eux.

    Cette chose est-elle prévue, car c’est naturellement la question que les gens vont se poser ?

    Tout est prévu sans l’être, c’est-à-dire qu’avec les effets du karma tout peut être prévisible sans que cela soit absolument irrémédiable. On hurle après l’Islam et je comprends les gens qui hurlent, mais l’Islam n’a-t-il pas hurlé après les Croisades ? l’Islam n’a-t-il pas souffert des Croisades ?

    Alors je ne dis pas que ce qui arrive est, œil pour œil et dent pour dent. Je ne veux pas que vous portiez cette parole au-dehors, sur un plan primaire, dans vos esprits. Je dis simplement qu’il y a le karma, et quand il y a karma, il ne faut pas l’accepter de manière molle et passive, il faut réparer. Mais pour effacer le karma il faut envoyer l’amour, le pardon.

    Ce peuple est fou. Ne pardonnez pas à ce peuple en attendant qu’il vous tue davantage. Ce peuple est fou, envoyez-y de l’amour, des bonnes pensées, des bonnes vibrations. Pensez à sa libération.
    Ne pensez pas que ceux qui adhèrent à l’Islam sont fous, sauvages et barbares. Pensez à neutraliser leurs chefs, et vous verrez que c’est un peuple capable, comme tous les autres, d’amour et de lumière, comme il en a été capable alors que vous n’étiez encore que des animaux par rapport à eux. 

    Chaque fois qu’il y a des conflits, il y a la violence et le racisme ressort immanquablement. Je ne veux pas que vous ayez ce réflexe. Pas plus que vous pliiez le dos parce que je vous ai parlé des Croisades et des colonisations. Pensez, lorsqu’il y a problème, à voir qui fait naître le problème, et collaborer pour neutraliser celui qui en est la source.

    Vous pouvez faire cela si vous le voulez, en groupes réduits, ou en groupes plus importants. Il ne faut pas envoyer des idées de mort aux dirigeants. Simplement des idées de perte de pouvoir. Car plus les gens les suivent, plus ces dirigeants croient en eux, plus leur pouvoir occulte se développe et plus des hiérarchies du bas astral viennent les soutenir.

    Donc, il ne faut pas que vous envoyiez des vibrations basses, car vous attireriez sur vous des problèmes. Envoyez tout simplement la neutralisation des pouvoirs par une énergie d’amour, de foi : l’énergie de Shamballa.
    Si vous voulez servir d’intermédiaire dans ce sens, vous le pouvez, tout seul, en petits ou en grands groupes. Visualisez les têtes de ces chefs, leur peuple derrière eux, et regardez-les fondre comme une bougie. Imaginez l’énergie de Shamballa descendre sur eux.

    Au fur et à mesure que vous le ferez il y aura impact. Cela se fait déjà. Tout est créé pour neutraliser dans ces cas-là. Mais là où les Maîtres ne peuvent pas agir, c’est par rapport aux réactions du peuple. Le peuple, lui, est libre. Ne vous inquiétez pas, agissez. Ne devenez pas racistes, mais intervenez.

    Ne jugez pas le peuple, considérez simplement les chefs, car l’Islam à aussi beaucoup à donner à l’occident. S’il est question de synthèse entre l’orient et l’occident, on pourrait aussi parler de synthèse avec l’Islam. Tout arrivera de toute manière à une synthèse. 
    Tous les frères, un jour, feront la ronde. Toutes les religions, un jour, s’aligneront dans le temple. À quoi cela sert-il donc aujourd’hui de haïr celui qui demain sera dans le temple près de vous et qui aura droit à la même initiation que vous, à la même parole que vous ? Soignez-le.
     
    Question:

    On nous dit que dans l’invisible existe l’union de deux pôles représentant le couple d’âmes sœurs. Peut-on mieux travailler spirituellement sur ce plan si notre âme sœur est dans l’au-delà. Que penser en particulier de la doctrine de l’existence des âmes sœurs.


    J’ai déjà parlé des âmes sœurs et ce n’est pas un sujet important. Quoi que vous fassiez, ne vous embarrassez pas avec des principes. Allez à l’essentiel. Quand quelque chose paraît obscur, ou qu’il n’y a pas moyen de vérifier, ne vous embarrassez pas avec une interrogation. Il y a des choses plus essentielles que de trouver l’âme sœur, ce principe, car toutes les images et ceci n’est qu’une image, en fait, relate un principe, donc ne vous embarrassez pas avec les interprétations. Visez l’essentiel.

    Question

     Que penser des biologistes et de la médecine, de la fécondation artificielle, des greffes d’organes ? La transplantation d’un organe important peut-elle modifier le comportement profond d’un individu ?



    En ce qui concerne ce genre d’intervention il y a du bien, et il y a du mal. Mais il ne faut pas trancher de cette manière. Il faut regarder, comme je vous l’ai toujours dit, ce qui est utile, et ce qui est le moindre mal par rapport aux possibilités d’une humanité. 
     

    S’il n’est pas profitable de faire des transplantations d’organes ou des transfusions sanguines, cela ne veut pas dire qu’il faut arrêter. Parce qu’avez-vous d’autre à proposer pour arriver au même résultat ? Rien. Alors il faut pratiquer ce que votre humanité a su développer.

    Pourquoi cet inconvénient dans les transplantations d’organes ?

    Parce qu’un organe est exactement comme une entité séparée, comme un petit être en fait, qui correspond typiquement à la personne dont il faisait partie. Quelqu’un qui donne son rein ne va pas seulement donner son rein, mais ce qu’il faut regarder, c’est l’utilité du don de ce rein. Il ne faut pas, pour l’instant, imaginer l’inconvénient, parce qu’il n’y a pas d’autres moyens. L’inconvénient de ce genre d’intervention, c’est que l’individu va avoir une désynchronisation.Admettons une transplantation cardiaque, et que tout se passe bien. Il va y avoir dans l’aura de l’individu une altération. Ce qui ne va pas forcément entraîner des problèmes spirituels, ou d’autres maladies. Mais, quelque part, il n’y a pas la même note.

    Il y a moins de désagréments aux transplantations d’organes, qu’aux transfusions sanguines. En fait, ce qui serait à éviter en premier, et là où les chercheurs doivent se concentrer, c’est à propos de la transfusion sanguine, parce que le sang transporte l’âme. C’est pour cela que dans la bible il est écrit : « Tu ne devras pas manger d’êtres qui ont du sang dans le corps. Tu ne devras pas tuer ces êtres, ni les consommer. » Parce que le sang c’est le flux matériel de l’âme.

    Lorsque vous mangez de l’animal, et je ne vous critique pas si vous le faites, vous êtes libres de manger n’importe quoi, mais lorsque vous mangez un animal, vous absorbez les résidus des vibrations de son âme animale par le fait du sang.

    Tout ce qui contient du sang, contient déjà une forme de conscience et c’est là où il y a une forme de meurtre. Tant que vous tuez quelque chose qui ne fait partie que de la conscience universelle, comme un légume, un fruit, il n’y a pas meurtre parce que l’énergie est immédiatement restituée à l’univers. C’est un réservoir qui se renouvelle sans cesse. Il n’y a pas de conscience individuelle véritablement déterminée.

    Chez un animal, quel que soit son degré, il y a déjà une conscience individuelle. C’est à ce moment-là, où il y a une forme de meurtre, car c’est un peu comme si vous mangiez votre voisin, toutes proportions gardées naturellement. Le sang de l’animal contient son âme. S’il a une âme, c’est qu’il est un être qui pense, qui pleure, qui a peur, qui comprend, qui souffre, qui sent sa mort, son sacrifice. Il y a donc holocauste.

    Ce qui ne veut pas dire que je vous accuse de manger de l’animal. Je n’accuse personne, car vous êtes, en fait, plutôt esclave, à l’heure actuelle, d’une tradition. De cette manière-là, vous êtes moins coupables. Mais il y a quand même un karma qui se fait vis-à-vis des animaux, du fait qu’il y a holocauste de l’animal.

    Ce karma, se paie en sens inverse, c’est que l’animal va devenir de plus en plus dépendant de l’homme. Parce qu’il s’y attache, un peu comme quelqu’un qui martyriserait son voisin, plus tard ce voisin peut devenir son enfant et ainsi il doit s’en occuper, le développer, le nourrir, le soigner, le supporter, lui donner de l’argent et toutes sortes de choses. L’homme, se créant un karma vis-à-vis de l’animal, crée une dépendance, une assistance vis-à-vis de l’animal.

    Encore une fois, je ne vous accuse pas, seulement je voudrais que les esprits s’éclairent un peu à propos de la nature de la vie. On ne peut pas accuser quelqu’un de commettre un crime, s’il ne sait pas qu’il commet un crime. Et quand je dis crime, je ne parle pas de péchés, je parle simplement d’un certain mal fait, d’une certaine peur entretenue sur l’animal.

    Il faudrait que vous vous dégagiez de cette ignorance et que vous en reveniez à ce que le Père vous avait dit et qui est écrit dans la bible : « Je te donne les fruits et tout ce qu’il y a dans les champs pour te nourrir. »

    Alors, grosse crise de conscience pour ceux qui mangent de la viande. Ils vont renter ce soir chez eux : « Est-ce que je vais griller mon steak ou pas ? » Et bien je vous libère de tout problème de conscience. Grillez votre steak et avec plus de beurre même que d’habitude si vous voulez, et mangez-le avec plaisir. Car en fait la nature est, là aussi, à disposition de l’homme et il a été dit que l’homme aura la domination, la puissance sur toutes les créatures de la nature.

    Donc, quelque part, l’homme peut asservir et se servir de l’animal. Ce qui ne veut pas dire que connaissant la vérité il a le devoir de continuer à le tuer. C’est quelque chose qui dépend d’un plan de conscience. Pour ceux qui aiment la viande, qui veulent continuer à manger de la viande, ou qui par occasion ne peuvent pas faire autrement, ne vous mettez pas des culpabilités sur le dos. Évitez simplement la chose.

    Maintenant, essayez de développer chez les autres, non pas la culpabilité de tuer l’animal, mais essayez de développer des idées à propos d’une alimentation nouvelle et non carnée. Car la viande, quoi qu’en pensent les hommes, ne donne pas autant de force que cela. Elle donne de la force c’est vrai, mais une force très primaire, très matérielle, elle donne un feu très obscur, puisque toute l’alimentation est transformée en feu. Mais le corps peut en fabriquer. 

    Quelqu’un qui ne mange que des céréales, que des fruits ou que des légumes, de quelque manière que ce soit, par mutation, peut très bien fabriquer un feu primaire. Il ne faut pas penser que tous les végétariens sont anémiés. C’est ce que craignent la plupart des gens, et avant qu’ils abandonnent cette idée, il faudra longtemps, longtemps donner des preuves.



    Conclusion


    Pour moi, il n’y a jamais de conclusion puisque j’attends toujours la prochaine fois. Étant donné que notre discours s’est surtout centralisé sur la liberté d’être, je voudrais finir sur ce propos, pour que vous sortiez d’ici avec cette notion.

    La meilleure nourriture c’est justement d’apprendre à être libre. Si vous essayez d’être libre, par là même, vous vous détacherez des notions d’alimentation dont on vient de parler, et de manger telle ou telle chose n’est plus un conditionnement. Vous vous laissez attirer par ce qu’il vous faut, par ce dont vous avez besoin éthériquement pour votre santé, pour développer la thyroïde, ou la pinéale et par là même développer des chakras.

    Être libre, c’est se défaire du carcan de la programmation, du conditionnement.

    C’est ce qui fait le disciple, ce n’est pas autre chose. Et c’est dans la liberté que l’homme arrive à être véritablement fraternel, à être amour. Parce que le conditionnement est toujours une agression. C’est pour cela que la société actuelle est stressée, parce qu’elle est agressée par tous les conditionnements possibles, par les slogans publicitaires qui conditionnent la consommation, par la morale, vouloir être beau, être belle, avoir de l’argent pour être respecté ou craint. Ainsi cela crée des agressions psychologiques.

    À force d’être agressé, le mental perd pied. Il finit par craquer en quelque sorte, et c’est ainsi qu’un être, agressé de cette manière, renvoie l’agression sur les autres. Pour avoir la paix, il faut la liberté. Regardez, même sur un plan politique, la chose est vérifiable. Dans un pays où la politique est trop contraignante, trop dictatoriale, des cellules se créent pour créer la révolution. Il faut la liberté. Lorsque le monde sera libre, il sera en paix, et pas l’inverse.


    La liberté appelle la paix. Soyez libres dans votre esprit et vous serez heureux et paisibles dans votre cœur. Soyez libres dans votre esprit et vous créerez autour de vous la paix. Sans cela vous créerez la guerre.

    Je vous salue.
     

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks

    votre commentaire
  • Question

    Il nous a été dit que, dans les constructions nouvelles, des matériaux de synthèse peuvent être créés avec les mêmes propriétés bénéfiques que les matériaux naturels. Dans quel sens faut-il orienter nos recherches et nos créations pour utiliser ces matériaux de synthèse ?
     


    Les matériaux de synthèse doivent être neutres et c’est à ce propos qu’ils peuvent être aussi bénéfiques que des matériaux naturels, qui eux ne sont pas forcément neutres.
     

    Les matériaux de synthèse doivent être fabriqués pour être neutres, comme le sont déjà le plastique et le verre par exemple et toutes sortes de roches forcément. Ce qui compte, c
     ’est d’extraire, des matériaux utilisés pour la construction, tout ce qui peut fixer des vibrations. Il faut que les vibrations circulent et passent. Il ne faut pas qu’il y ait quoi que ce soit pour fixer la vibration, comme justement, tout ce qui est fer à l’origine. S’il y a quelque part du fer dans la construction, il y a une antenne qui n’est pas bénéfique.

     

    Parce qu’une antenne ne doit pas être utilisée de cette manière, il faut qu’elle soit ensuite canalisée pour envoyer l’énergie sur quelque chose. De la manière dont sont utilisés les fers et les différents autres matériaux qui fixent les vibrations, cela devient parasitaire. Parce que toutes les vibrations environnantes se centralisent, s’agrippent sur ces structures, aussi bien les vibrations venant de l’extérieur, que celles résidant à l’intérieur. Il n’y a pas d’aération, il n’y a pas de respiration du point de vue vibratoire.

    C’est pour cela que les bâtiments bâtis de cette façon sont étouffants, dans un sens vibratoire uniquement, parce que rien ne filtre, rien ne peut sortir, rien ne peut entrer, tout est coagulé.L’homme étant, avant tout, un réseau énergétique, un réseau de vibrations, de pulsations qui résonnent avec le cosmos et avec la nature, si on le met quelque part où il ne peut pas recevoir les ondes venant des étoiles, du cosmos, de la nature, il s’appauvrit.

    Ces glandes commencent à s’appauvrir, son système nerveux commence à être exacerbé dans un sens négatif, et ce stress va dépolariser son être. Étant dépolarisé, il va rencontrer la maladie, et la maladie sur tous les plans, selon la faiblesse de l’individu.

    Bien que nous ne soyons pas réellement pour, dès que l’on dit à l’homme retour aux sources, il s’empresse de remettre les vieux sabots de grand-papa et de n’avoir pas plus d’intelligence qu’il n’en avait. Mais il faudrait un certain retour aux sources, avec l’association du positif du moderne.

    Pour faire les matériaux de synthèse, il faut simplement enlever ce qui est parasitaire, et vous avez déjà la capacité de créer des bâtiments de la sorte. Cela existe et a déjà été fait autrefois, et cela n’est pas compliqué. Mais plus tard viendront, plutôt que de nouveaux matériaux, d’autres formes, d’autres équilibres entre les volumes.
    Parce que l’homme s’aperçoit, en fait, que pour faire tenir une construction il faut avant tout juger de l’équilibre de la construction, et d’après l’équilibre à obtenir, les matériaux sont choisis. Ce sont en fait les matériaux qui créent l’équilibre. Jusqu’à présent, c’est ce que l’homme croit, que ce sont les matériaux qui créent la solidité, la cohésion de tous les volumes intérieurs, de toutes les pièces en quelque sorte. Mais c’est une erreur, et tant que l’homme croira cela, il aura recours à des matériaux comme il a recours en ce moment, à des matériaux très lourds, très denses, très fermes, très ferreux, très parasitaires.

    En fait, l’homme ne sait pas encore construire. Il faut qu’il redécouvre ce que déjà dans votre ère d’autres frères savaient, le secret dans la construction des cathédrales. Ils avaient, et ceci non pas par magie, la connaissance de l’équilibre des volumes.

    En sachant jouer avec l’équilibre des volumes, vous allez pouvoir changer les structures et avoir, par là même, des structures plus légères, plus transparentes, plus souples, plus fines, en même temps vous aurez une construction qui respire.

    Toute construction doit avoir la capacité de se dilater, de se contracter, de respirer en fait, de battre au rythme du cosmos et des énergies de la nature, car toute construction doit être un élément qui s’intègre à la nature.

    Si l’élément ne s’intègre pas à la nature, et je ne parle pas du style, je parle tout simplement de la vie même de la construction, la vie des parois, des fondations en quelque sorte, si cette construction ne s’intègre pas à la vie de la nature elle présente un blocage au courant de la nature.
    C’est ainsi qu’il y a dislocation des courants telluriques, dislocation des rayons cosmiques qui pénètrent dans ces maisons, dans ces bâtiments. Ainsi ils sont distordus, et en pénétrant dans la maison ils dérangent les habitants plus qu’ils ne les régénèrent.

    Lorsque vous faites quelque chose de dysharmonieux, comme par exemple une plaque de verre où il reste à l’intérieur de gros grains de sable, où il y a de grosses traces, essayez d’y faire passer le soleil ? Automatiquement le soleil va passer cassé, brisé. Il en est de même avec vos constructions, par rapport aux énergies des étoiles et de la nature.

    Vos constructions ne respirent pas assez . Il faut qu’elles soient comme un poumon transparent, léger. Vous avez déjà les matériaux, mais vous n’avez pas la façon de penser à propos des volumes et de l’équilibre. Il faut repenser la combinaison des volumes, et cela ne vous empêchera pas de bâtir, au contraire, regardez les cathédrales.

    Il faut bâtir avec des formes différentes. Naturellement c’est tout de suite moins commercial, parce qu’une forme ne va pas forcément s’adapter à un besoin. La forme est telle et il faut s’adapter à elle. Or l’homme décide d’avoir tant d’étages, tant de mètres carrés, mettre l’ascenseur ici, la cage d’escalier là, le groupe d’incendie ici. Il faut quelque chose de très précis. Il commande, il crée.
    Il a une attitude inverse à ce qu’il faudrait. L’homme doit regarder dans la nature et faire avec les harmonies et les lois de la nature, alors qu’aujourd’hui, les exigences sont opposées. L’homme contraint la nature pour faire ce qu’il veut. Or l’homme ne fera ce qu’il veut que lorsqu’il sera en harmonie avec la nature.

    Question

    Quelle est la part de responsabilité de l’alimentation dans les maladies dites de civilisation, tels que les divers cancers et de quelle manière faut-il changer l’alimentation ?


    L’alimentation, comme tous les autres sujets, est en correspondance avec le développement humain. Selon ce que vous croyez, selon ce qu’est votre plan de conscience, votre développement, votre religion, vous mangerez en conséquence. Comme l’homme ne sait pas être libre, les dogmes édifient une tradition et l’homme l’entretient.

    L’alimentation devrait être vécue comme un problème d’évolution et de développement cosmique, et non pas comme un problème de diététique.

     

    Lorsque l’on prend l’homme à ses balbutiements, pour régir sa vie, l’homme n’était qu’instincts. Il existe encore certaines tribus qui témoignent de ce que je vais dire. La plupart des hommes étaient des cannibales, ils n’avaient pas la notion de ce qu’était l’aspect du corps, la vie du corps. Comme des animaux, ils mangeaient le corps qui était à disposition, que ce soit celui du voisin ou celui d’un buffle qu’il venait de chasser. Ils ne voyaient que l’aspect viande.

    Petit à petit, l’homme évoluant, avec l’apparition du mental, donc par là même du langage, il est arrivé à juger ce qui était bien, ce qui était mal, à juger ce qui était quelque part acceptable et ce qui était quelque part trop animal, alors il a cessé de manger le corps de ses congénères. Pour les tribus qui n’ont pas évolué, cela peut se remarquer encore dans ce siècle, la tradition est perpétuée.

    À la suite de ce premier changement alimentaire, il s’est intéressé à tout ce que la nature offrait de plus goûteux, parce qu’en même temps que l’on change d’alimentation, on change les réflexes alimentaires. Il faut parfois des générations pour impliquer l’humanité dans un changement de réflexe alimentaire, parce qu’à force de programmer un corps à manger ceci, à manger cela, le corps le réclame comme un fondement même de sa santé.

    Donc, avant toute intervention sur le système d’alimentation, il faut créer des compensations, surtout au niveau du goût. Le goût est le premier réflexe. C’est par le goût que l’homme arrive à guider ses besoins.
    Par exemple, s’il a besoin pour une raison quelconque de santé, de faire entrer un peu d’acide dans son corps, c’est l’acidité qui va être évoquée dans sa bouche. C’est en étant guidé par ce goût qu’il va pouvoir choisir l’aliment juste. Mais avant de pouvoir retrouver tous ces réflexes, il faut qu’il quitte les anciens et là est le problème.

    Donc, l’humanité passe à travers des déprogrammations. Il a fallu l’empêcher de manger le corps de son voisin, maintenant il s’agit de l’empêcher de manger le corps des animaux. Depuis de longs siècles des individus arrivent à équilibrer leurs sources de nourriture, animale et végétale.
    Maintenant pour son développement futur, et pour tout simplement être en résonance exacte, pour être cohérent vis-à-vis des développements spirituels et futurs, il faut que l’homme cesse de manger de la chair animale. Je l’ai déjà expliqué quelque part, mais je vais le répéter pour vous.

    Lorsque l’homme était primitif comme je vous l’ai dit, il était cannibale, et cela n’était pas un péché. Tout simplement le principe était tel que l’on ne pouvait pas demander à un homme animal d’avoir un développement d’esprit suffisamment grand pour comprendre qu’il ne devait pas manger le corps de son congénère.
    Un développement lui a été possible avec l’apparition du mental, donc le jugement possible. Puis une certaine forme de morale, une certaine forme aussi des premières religions a été instituée. Il y a eu respect des corps, et l’homme un petit peu plus humain ne s’est plus occupé que de chasser.

    Cet instinct de la chasse, de manger l’animal est resté dans l’humanité jusqu’à nos jours. La plupart des gens, en fait, mangent la chair animale par tradition. Parce qu’ils ont été programmés étant enfant à manger telle ou telle chose. Leur goût a été éduqué, habitué, à avoir besoin de telle nourriture.

    En fait l’homme n’a pas besoin de viande. C’est tout simplement l’éducation de son goût qui a été construit pour avoir besoin de viande. Quand je dis cette chose, je ne veux pas dire qu’il y a péché à manger de la viande.

    Prenez un homme tout à fait normal, du quotidien, profane, qui vit encore sur un plan astral, il ne commet aucun péché à manger de la viande. Parce que son plan de conscience est tel, qu’il continue à faire partie de la masse des hommes qui, quelque part, est à moitié animale. Donc il continue à faire partie du cycle de la nature pour survivre. Cet équilibre alimentaire est d’ailleurs créé par la nature elle-même.

    C’est pour cela que certaines personnes qui commencent à s’éveiller à la spiritualité se disent: Mais puisque c’est dans la nature, pourquoi l’homme ne le ferait-il pas ?
    Puisque l’animal mange l’animal pourquoi l’homme ne peut-il pas en manger ?

    À ceux-ci je réponds : Fais-tu encore partie du plan animal ?
    Si tu es encore sur ce plan, mange de l’animal, il n’y a aucun problème. 
    Tu fais tout simplement partie de cette grande chaîne alimentaire conçue par l’intelligence pour que la terre soit harmonieuse et que tout son jardin ait un développement harmonieux, sans qu’aucune espèce ne vienne en détruire l’équilibre.

    Chacun dépendant pour sa survie, de l’autre, afin d’entretenir le grand jardin de la terre. Si l’homme fait partie de cette grande chaîne alimentaire, si quelque part il est seulement un élément de la nature, je dis bien un élément de la nature, alors il n’y a aucun problème, car la vie étant un sacrifice, elle accepte volontiers de donner un animal à manger.

    Mais à partir du moment où l’homme veut se développer, où l’homme se dit spirituel, où il commence à connaître certaines grandes harmonies cosmiques, où il n’est donc plus un élément de la nature, mais un fils de Dieu qui doit dominer la nature, alors vous ne pouvez plus vivre avec les principes même de ces éléments. 
    À chaque règne, sa vie. À chaque règne, son plan de conscience.


    Si vous voulez être un fils de Dieu, non pas qu’il y ait péché à manger de la viande, je ne parle pas en ces termes, je dis tout simplement, pour un fils de Dieu, il lui est impossible de sacrifier la vie d’un animal pour renouveler et renforcer la sienne. Parce qu’il est dans son principe de se sacrifier lui-même pour renouveler la vie chez les autres.

    Le Christ n’est pas venu pour vous dévorer tous en disant : j’ai besoin d’énergie pour l’ère qui vient. Parce que vous, vis-à-vis de lui, vous n’êtes rien d’autre que des petites grenouilles et des petits moutons, et les petites grenouilles et les petits moutons vous les mangez bien, vous dites : ce ne sont que des animaux.

    Alors si le Christ n’était qu’un quelconque Gargantua il dirait : « Deux milles cinq cents ans ont sonné, c’est l’heure de mon repas. On va voir un peu sur la terre s’il y a de bonnes cuisses à faire rôtir. » Ce n’est pas ce qui se passe. Au contraire, il vient donner sa vie pour la vôtre. La vie est sacrée et ne pas manger de l’animal, cela ne veut pas dire ne pas commettre un péché, mais tout simplement respecter la vie.

    Il y avait un disciple marchant sur un chemin bordé d’arbres et une colombe affolée vint se poser à ses pieds. Ce disciple avait le don de parler avec le règne animal.
    Il lui dit : « Mais qu’as-tu pour être autant affolée, qu’est-ce qui te fait si peur ? »
    La colombe lui dit : « Il y a là-bas dans la forêt un chasseur qui veut me tuer parce que lui et ses enfants ont faim. Il m’a vue voler, il m’a visée. Alors je viens me réfugier auprès de toi. Sauve-moi. »
    Le disciple prend la colombe, il s’assoit sur le chemin et se met à réfléchir.
    C’était un disciple qui pensait beaucoup. Il se disait : « Voyons, si je sauve la vie de la colombe je vais priver de nourriture toute cette famille. Mais en même temps, si je veux nourrir cette famille je sacrifie la vie de la colombe. »
    Alors il attendit le chasseur en gardant la colombe.
    Il dit au chasseur : « Voilà, la colombe m’a raconté cette histoire, il paraît que ta famille et toi avez faim. »
    Alors en compensation, il projeta son esprit et lui dit d’aller dans tel champ pour avoir de la nourriture et à tel arbre pour avoir du fruit.
    La colombe le regarde et lui dit : « Es-tu sûr qu’il en aura assez pour toute sa famille. ? »
    Ce disciple leva les yeux au ciel, regarda Dieu en face et lui dit :
    « Voilà, Seigneur, pour sauver la vie de la colombe, j’ai envoyé le chasseur prendre de la culture et du fruit dans le champ d’un voisin. »
    Alors Dieu lui répondit :
    « C’est bien mon fils car le fruit de la terre se partage, mais tu n’as pas compris une loi. Tu as bien agi, mais il y a une loi que tu n’as pas comprise » et Dieu essaya de l’initier à ce propos.
    — Es-tu prêt à sauver la colombe ?
    — Oui je veux la sauver. Tiens je te donne mon pied.
    — Ce n’est pas assez.
    — Tiens, je te donne toute ma jambe.
    — Ce n’est pas assez.
    — Regarde, je te donne mes bras, Je coupe chacun de mes membres pour sauver la vie de la colombe.
    — Ce n’est pas assez.
    — Alors veux-tu que je m’arrache le cœur.
    — Ce n’est pas assez.
    Alors, Dieu manifesta une grande balance et dit à son disciple :
    — Viens et instruis-toi. 

    Il prit la colombe et la mit sur un plateau, il prit le disciple et le mit sur l’autre plateau et aucun des plateaux ne bougea, il y avait égalité.
    — Regarde, la vie est partout la même.


    C’est en ce sens qu’il ne faut pas manger de l’animal, parce qu’il y a en lui, de la vie consciente autant que chez l’être humain, à un degré différent, mais autant.
    Autrement dit, il ne faut manger de rien, d’aucune chair qui soit alimentée par du sang. Chaque fois qu’il y a sang, il y a conscience sur un certain plan. Donc, éloignez-vous de toute forme de nourriture érigée par le sang et ainsi vous ne commettrez aucun « péché » vis-à-vis des harmonies, de la balance de la vie.

    Maintenant, par rapport à l’alimentation diététique, beaucoup de découvertes doivent être faites à ce sujet. Il faudra aussi beaucoup de temps. Il y a beaucoup de sursis de vie, de longévités qui ont été acquises grâce à l’hygiène. 

    À l’heure actuelle si on laissait l’homme continuer à se nourrir comme il se nourrit il perdrait cette longévité acquise par l’hygiène. Autrefois l’homme étant plus rustre, plus épais dans les vibrations, et faisant partie de ce plan dont je vous ai parlé, il n’y avait pas trop de problèmes à ce qu’il se nourrisse exclusivement de viande, car l’homme vibratoirement est en correspondance avec la vibration même de la nourriture.

    Mais au fur et à mesure, il s’est développé et des exigences sont venues, par exemple l’hygiène. Aujourd’hui l’hygiène existe, mais il reste, entre autres, le problème alimentaire. Ce n’est pas le seul problème qui engendre des maladies et des perturbations, mais ce problème alimentaire dénature la vibration incorporée qui doit régénérer le corps physique.
    Ce qui est ingéré sur un plan physique se transforme en vibrations et va nourrir le plan éthérique, influence donc d’une certaine manière la vitalité éthérique, la capacité de capter le prana et le développement des chakras.

    C’est pour cela que dans certaines religions, certains temples, le Maître demande à son disciple, selon le degré atteint, de faire telle ou telle ascèse, de ne boire que de l’eau pendant tant de jours, de ne manger que tel pain ou tel fruit pendant tant de jours. Parce que la chose ingérée correspond vibratoirement à un changement vibratoire, à une transformation des feux.

    L’alimentation est la bûche qui permet à l’éthérique de se transformer depuis le physique, parce que l’éthérique n’est pas transformé depuis le haut, mais depuis le bas. N’oubliez pas que vous devez remonter. Donc tout est transformé à partir du bas, des efforts du bas. Ce ne sont pas les choses venant d’en haut qui transforment le bas.
    Par rapport à l’évolution typiquement intérieure de l’individu, c’est le contraire.
    C’est par rapport à ce qu’il fait, ce qu’il acquiert, ce qu’il mange, ce qu’il boit en bas, qu’il va pouvoir remonter en haut.

    Sur un plan alimentaire, il faut donc éviter toutes les sources de nourriture animale, comme la viande. Il faut aussi éviter toutes les boissons fortes, donnant des désordres dans le mental, ou échauffant les différents viscères, ce qui perturbe par le système nerveux et les glandes.

    Alors je ne veux pas dire qu’il ne faut pas savoir s’amuser. Je ne veux pas dire que ceux qui pratiquent ces choses ne sont pas des disciples. Mais à un moment donné, si vous le faites trop, sachez, premièrement, que vous portez préjudice à votre développement spirituel, et ensuite, que si vous voulez développer une prise de conscience et une volonté personnelle, il faut tout stopper. Rien ne sert d’acquérir un développement si vous le parasitez par-derrière.

    Il y a encore beaucoup à découvrir à propos de l’alimentation, à propos de ses effets sur le plan éthérique et sur le comportement psychologique, parce que selon ce que vous mangez, vous arrivez à conditionner un comportement psychologique.
    C’est pour cela que certains proverbes existent, tel que : mangez de ceci et vous serez aimable, mangez de cela vous aurez l’air gai. Les anciens ayant été dépositaires de cette connaissance qui appartenait aux initiés en fait, pouvaient dire : selon ce que vous mangez, vous appartenez à tel type psychologique, à tel type vibratoire.

    Les hommes s’embourbant dans une tradition fausse, mensongère, dénaturent leur être intérieur, leur psychologie. De la même manière que l’homéopathie arrive à changer une psychologie, l’alimentation arrive aussi à renverser un vice, à renverser une dépendance que ce soit vis-à-vis du tabac, vis-à-vis de l’alcool, vis-à-vis du sexe, vis-à-vis d’un besoin psychologique.
    Il y a toute une méthode de guérison à adapter par rapport à l’alimentation. Ce qui ne veut pas dire que c’est le remède. C’est tout simplement une complémentarité à d’autres interventions de guérison.

     
    Partager via GmailGoogle Bookmarks

    votre commentaire
  • S’ouvrir à la Lumière Divine 
    Question :

     Comment s’ouvrir à la lumière divine ? Et pour cela, pouvons-nous utiliser un entraînement pour l’ouverture des chakras, l’éveil des feux de kundalini etc.

    S’ouvrir à la lumière divine. Il n’y a pas de remède ou de solution. C’est pour cela que l’évolution existe. S’il avait suffi de dire à l’homme « fais ceci et tu rencontreras Dieu », depuis très longtemps il serait sanctifié. Quelque part et quelque fois, même si l’homme le veut, il ne peut pas. Non pas qu’il soit condamné à ne pas pouvoir, mais c’est parce qu’il doit travailler sur lui.
    L’homme pense toujours à acquérir, au lieu de penser à travailler pour acquérir. Il se demande comment rencontrer Dieu, mais il ne se demande pas comment créer en lui, plus de paix. Se demander comment créer en soi plus de paix, c’est devoir se mettre au travail, c’est le travail de l’évolution. On ne peut pas d’un seul coup, faire d’un homme un disciple pour qu’il puisse rencontrer son initiateur. C’est impossible. C’est à l’homme à se faire disciple.

    Il n’y a pas de solution miracle pour cela. Il y a des gens qui suivent simplement, qui ne se tirent pas de la masse et qui ne font pas les efforts qu’il faut. Alors ils suivent les cycles dont on parlait tout à l’heure. Ils attentent la venue d’un certain messie, et ceci, de manière inconsciente. Ils attendent tout simplement que les choses changent. Ils vivent dans un état inconscient, ils dorment, ils ne s’intéressent pas aux choses spirituelles, en tout cas pas de façon intérieure et vivante.
    Ces gens-là vont évoluer par le cycle tout simplement. Ce n’est pas l’homme qui s’édifie parce qu’il a fait l’effort. C’est tout simplement à force de passer dans le torrent, que ce caillou angulaire devient un galet tout rond. C’est la force des étoiles, la force des cycles, qui le modifie.

    Et il y a ceux qui peuvent agir, parce qu’ils le décident. Ils décident de se tirer de cette masse, ils décident d’enlever ces programmations qui sont dans leurs esprits, de devenir libres, d’agir librement, parce que l’homme ne peut rencontrer Dieu que lorsqu’il est entièrement libre.


    À sa grande surprise l’homme s’aperçoit, qu’en fait, il ne rencontre rien. Ce qui ne veut pas dire que Dieu n’existe pas. Cela veut dire qu’il est partout et le chercher quelque part ne veut rien dire.

    Donc, pour ceux qui choisissent de se tirer de cette masse, de ne plus être vécus par la vie, mais de vivre la vie, de ne plus être régis par des conditionnements, mais de se créer une liberté, à ceux-là oui je peux donner, d’une certaine manière, un conseil.

    Aux autres, je ne peux rien donner. Si je donne, ils ne feront pas, ils n’auront pas le réflexe. Il en est ainsi depuis des milliers d’années. Donc, il y a des gens pour qui on peut agir, et des gens pour qui on ne peut pas. Ce qui ne veut pas dire qu’ils ne sont pas dignes. Il faut attendre que l’évolution du cycle se passe. 

    Pour ceux qui veulent agir, comment faire et réagir ?

    Il faut mettre en pratique tout ce qui vous a déjà été donné. Tout a déjà été donné à l’homme. Rien de nouveau ne va pouvoir être apporté, mais il faut que l’homme sache lire, sache regarder.
    Alors rendez votre spiritualité plus pratique en quelque sorte. Essayez de vous développer en tant qu’âme humaine, mais dans le terme humain, véritablement humain. Développez tout ce que le Christ vous a demandé de développer ; l’amour, la fraternité, le pardon, la tolérance, le discernement.

    Quelque part aussi une forme d’abstinence par rapport au monde désordonné où vous vivez, et surtout, une méditation quotidienne, ou une prière quotidienne, ou un branchement conscient quotidien, de façon à appeler sur vous l’énergie de la hiérarchie, et ainsi vous mettre dans le rayon de votre Maître.


    Si vous faites ces choses régulièrement, votre vie va se transformer. Non pas qu’elle sera meilleure, au contraire, elle va devenir plus dure, parce que tout le karma que vous avez accumulé dans d’autres vies va venir vers vous, porteur d’épreuves, pour acquérir une initiation. Il faudra à ce moment-là le prendre et le brûler.

    C’est pour cela qu’il est dit qu’il y aura beaucoup d’appelés et peu d’élus. 
    Ceci se vérifie constamment et à tout moment. Face à l’épreuve, l’homme ne comprend pas que l’épreuve est pour son discernement, pour son détachement, pour son évolution, pour la grandeur de son âme.

    Il se dit : « La vie m’accable, mon ami est méchant, le monde est vil, le monde est violent. Où est passé ce monde idéal ? » Et ainsi il fuit dans les recettes miracles, il suit tel gourou qui lui promet telles choses, ou il se renferme dans des images, dans de l’idolâtrie, par peur, peur de se confronter à une réalité.

    Il faut être très réel quand vous marchez sur le chemin.
     Quelqu’un qui n’est pas réel sur le chemin s’écroule immanquablement, il va dans des voies de garage. En fait, il continue sa vie dans l’illusion, et telle qu’il la vivait dans le monde, il la transporte dans le spirituel, et à un moment donné, tout s’écroule.

    Lorsque la réalité flagrante et lumineuse de la spiritualité appelée par lui, commence à rentrer dans son aura, dans les événements de sa vie quotidienne, il se passe ce qui s’est passé avec la tour de Babel, autour de lui, tout s’écroule. La pénétration de la lumière détruit l’illusion.

    Alors l’homme croit qu’il est détruit. C’est un fait qu’il est détruit, mais il n’est pas détruit lui-même, c’est tout simplement son sac de bêtises, d’illusions, d’attachements, qui est détruit, brûlé. Naturellement quelque part cela fait souffrir, mais c’est tout simplement le fonctionnement de la lumière entrant dans l’individu pour le libérer de toutes ses petitesses, ses noirceurs, ses ignorances et toutes ses bêtises.

    L’homme ainsi nettoyé souffre, parce qu’il doit lâcher. Mais peu d’hommes veulent lâcher, acceptent de lâcher, lâcher une bonne fois pour toutes. Un tel, qui est votre ami au féminin ou au masculin, prend plaisir à faire des faveurs à un ou une autre.

    Naturellement, le conjoint qui observe se sent trahi, humilié, la jalousie s’installe, le stress s’installe, et tout le comportement de l’individu est dénaturé par cette tromperie constante. Il faut lâcher. Je ne dis pas qu’il faut accepter que le conjoint mène ce genre de vie.Là-dessus nous aurions beaucoup à dire, je ne veux pas trancher sur ces choses-là parce que je ne veux pas être moraliste, mais je dis tout simplement qu’il faut savoir trancher. Si la chose ne vous convient pas, (je cite cela comme un exemple des multiples problèmes de l’humanité), eh bien ! changez de vie, changez de conjoint. Un point c’est tout. Vous n’allez pas vous entraîner dans une destruction et une autodestruction à cause d’un fait comme cela. Il faut choisir, donc quelque part il faut lâcher, et lâcher quoi ?

    Lâcher le fait de vouloir prendre une revanche, vouloir reprendre le conjoint, vouloir retrouver l’exclusivité, par exemple. Lâcher aussi la peur d’être sans l’autre, pour des raisons de facilité de la vie, de sécurité pécuniaire etc.

    L’homme doit absolument se prendre en main. Il y a une multitude de cancers de la vie que l’homme porte sur un plan moral, affectif, psychologique, parce qu’il ne veut pas lâcher, parce qu’il ne veut pas trancher, parce qu’il ne veut pas choisir. Alors automatiquement toute sa vie il porte, il porte une croix. Mais qui lui a dit de porter cette croix ? Personne, et il se demande pourquoi le bon Dieu lui envoie ces choses, pourquoi la vie n’est pas plus belle.

    Choisis-toi une belle vie. Qui t’a dit de choisir une vie laide, rude. Choisis ta vie. Si tu choisis ta vie, tu peux rencontrer une belle vie, quel que soit ton karma, quelles que soient tes circonstances astrologiques. Si tu fais le choix, tu seras au-dessus de ces choses. Mais tant que tu subis, tout va te tomber sur la tête, et comme par hasard toutes les misères tombent sur le misérable, parce qu’il accepte.

    L’homme ne doit pas être un rebelle, un révolté. Je ne dis pas non plus cela. Je dis : choisissez votre vie, consciemment, sciemment, avec force, avec logique, choisissez votre destin, et édifiez-le. Il y a beaucoup de gens qui n’osent pas.

    D’abord ils commencent à avoir un sentiment d’insécurité. Ils se demandent de quoi ils vont pouvoir vivre, avec quel argent, quelle situation. Mais qu’importe en fait que vous ayez une situation inférieure, du moment que vous êtes un être libre, un être intègre, un être véritable.Vous vous créez des tas de besoins, et à cause de ces besoins l’homme et la femme sont en esclavage pour continuer à honorer tous ces besoins qui, en fait, vous sont imposés par la société de consommation. Voyez à quel point la chose est stupide.

    Autrefois, ce n’était pas la consommation qui programmait l’être humain, c’était la morale. À chaque cycle, à chaque siècle, il y a un joug sur la tête de l’humain. C’est l’église, la morale, l’argent, la consommation. Mais qu’est-ce que vous allez inventer d’autre. Lorsque vous en aurez assez de porter des jougs, peut-être réagirez-vous.
    Qu’importe d’être pauvre si c’est d’être vous véritablement. Non pas que vous aurez la véritable richesse, je ne veux pas conclure en disant cela, mais parce qu’en étant vrai, en étant des êtres authentiques qui choisissent, qui accomplissent, automatiquement vous allez vers une destinée spirituelle, vers le vrai, vers les harmonies. En étant en accord avec les harmonies, tout arrive, et votre intuition est pure.

    Par exemple si vous vous séparez de quelqu’un qui vous gâche la vie, ou à qui vous gâchiez la vie, parce qu’il y a les deux, et que vous décidez de choisir, de prendre en main votre destinée, de vous édifier parce que vous voulez être un fils et une fille de la liberté et de Dieu, alors pendant quelque temps peut être y aura-t-il des passages à vide, un manque d’argent, de la tristesse, de la solitude.

    Mais profitez de ces moments pour redécouvrir l’essentiel de la vie, avec les bonnes bases. Profitez-en pour vous aligner, pour méditer, pour vous mettre en harmonie, et au jour voulu, si vous faites ce travail, votre guide, les guides vous orienteront. Ils peuvent vous orienter vers le poste professionnel qu’il vous faut, ils peuvent vous orienter vers la personne qui vous prendra en charge, ou vers d’autres facultés qui dorment en vous et que vous ne connaissiez pas avant de faire cette introversion, et ainsi une nouvelle vie commencera.

    Vous ne pouvez renaître, si vous n’acceptez pas de mourir. Vous ne pouvez changer de vie que si vous acceptez d’en enterrer une plus ancienne.

    C’est justement de cela que l’homme a peur, enterrer une vieille vie. Il se cramponne. Il se dit : « Un tien vaut mieux que deux tu l’auras. » C’est ce que se disent les hommes. Je le tiens, celui-là. Je le tiens mon mari, je la tiens ma femme, je le tiens mon poste professionnel même s’il m’en coûte, même s’il m’embête, même s’il me stresse, s’il me fait des ulcères, même si je vais mourir à cinquante ans.

    La peur c’est le cancer du monde, il engendre tous les attachements. La peur d’être seul engendre l’attachement vis-à-vis des autres. L’homme a du mal à s’imaginer vivant seul. C’est qu’il n’est pas assez riche intérieurement, il n’a pas suffisamment de choses à faire rien qu’avec lui-même ou avec les Dieux. Alors il s’attache à telle personne et cette personne devient vitale, ou il s’attache à plusieurs personnes qui sans cesse envahissent le salon, la maison et il n’a jamais un moment de silence pour vivre avec lui-même, se retrouver lui-même. Il ne fait que vivre avec des fuites, à travers des fuites.

    Considérés de notre ciel, ces gens-là sont malades et il faut les soigner, les rééduquer à penser, les rééduquer à vivre, à être eux-mêmes. Si je n’avais que cela à vous dire aujourd’hui ce serait tant mieux. En sortant d’ici, ayez le front dégagé de toutes les vieilles notions qui sont en vous. Finie la vieille morale, finis les vieux principes, finies les humiliations à faire ceci pour obtenir cela. Soyez conscient du fait que si vous faites cela, vous acceptez quelque part de mourir.

    Donc, vous acceptez une épreuve, vous acceptez de passer dans un tunnel, qui réclamera un certain temps avant d’arriver au bout. C’est pour cela qu’il faut la force et faire le choix en toute conscience, et pas simplement sur un coup de joie ou d’exaltation où tout le feu retombe, où très vite l’humain, tout penaud, retourne dans son carcan. Il y a plein de gens qui essaient de se libérer, puis ayant peur, à cause de la solitude et de quelques problèmes qui ne sont que passagers, retournent dans la structure.
    La purification des locaux 

     

    Question

    Quelles seraient les meilleures techniques pour exécuter la purification des locaux ou maisons d’habitations, pour éliminer toutes présences indésirables telles que parties astrales, personnes décédées qui hantent ces lieux ?


    Chaque temple a sa technique. Mais, en fait, il est très facile, puisque nous sommes en occident, de suivre tout simplement la méthode de l’église. Comme je l’ai déjà dit, chaque élément comme l’eau, le feu, le sel, l’huile et tant d’autres, chaque élément a été, par convention, consacré à agir sur tel ou tel plan par rapport à telle créature, dans tel ou tel cas. Tout est très spécifique. Donc il faut utiliser exactement ce qui est utilisé par l’église, ce qui ne veut pas dire que vous devez devenir des prêtres. Mais pourtant, il faut pouvoir faire à la manière du prêtre.

    Est-ce que l’église détient l’exclusivité de la formule ?

    Non, mais parce qu’il n’y a pas trente-six façons de faire la chose. Chaque élément a un pouvoir, un pouvoir intrinsèque, un pouvoir que la nature lui a donné et qui agit. N’importe quel temple, n’importe quelle église connaissant le pouvoir intérieur de l’élément, peut l’utiliser pour agir.

    À l’encontre de mauvais esprits, il faut utiliser le sel.
     Si par exemple vous aviez à exorciser une maison où se sont passées des choses très tristes, alors je vous conseille de faire venir un prêtre. Si c’est tout simplement lorsque vous occupez une maison après quelqu’un ou une famille, vous pouvez utiliser la formule existante avec les mêmes outils.

    Si c’est pour enlever des vibrations latentes dans une maison qui n’est plus habitée depuis très longtemps, alors vous pouvez laver avec le sel et brûler une bougie en priant pour que la lumière descende dans l’habitation. C’est très simple, ce sont des formules qui existent déjà et qui sont, suivant les temples et les églises, plus ou moins identiques. Peu importe, elles sont efficaces.
     
     
    Partager via GmailGoogle Bookmarks

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique