• Nos Anges Gardiens

    La médecine de l’âme

     

    Question :

    Que deviennent nos anges gardiens, nos guides, après notre mort ? Restent-ils à jamais en relation avec notre âme où vont-ils s’occuper d’autres êtres humains ?


    Tout dépend de votre degré d’évolution, de ce que vous êtes. Si vous travaillez déjà sur un plan subtil, sitôt passé de l’autre côté, que ce soit en relation avec le plan physique ou non, le guide reste un collaborateur. Si vous êtes encore un enfant, sitôt que vous entrez dans ce demi-sommeil qui est appelé la mort, pendant que vous vous reposez, le guide va à d’autres occupations auprès d’autres gens, parce qu’en fait, il n’y a pas que vous à guider à ce niveau-là d’évolution. Il va donc s’occuper d’autres personnes à passer de l’autre côté, ou d’autres à naître, ou en train d’agir et de vivre.



    Au niveau où la mort n’est encore qu’un rêve, qu’un demi-sommeil, le guide dont vous bénéficiez n’est pas purement et exclusivement personnel, et si vous faites véritablement partie de la masse dure et ferme, vous n’avez pas de guide, vous êtes sous l’influence de l’alchimie des lois et des vibrations, ce qui ne représente pas un guide moins fort, moins puissant.

    L’individu est davantage plongé dans la torpeur et il se sent véritablement seul. Lorsque vous commencez à bénéficier de la présence d’un guide, même si vous ne le voyez pas, cela vous rassure, même quand vous passez de l’autre côté, sa présence est ressentie, il vous semble entrer dans un terrain connu.
    Ne vous inquiétez pas pour les guides, ils ont énormément de travail.


    Quel est le rôle de Marie, mère de Jésus, à l’époque actuelle ?

    Il y a 2 000 ans, cette femme ayant enfanté cet enfant, si spécial, a pleinement connu son rôle sur un plan vibratoire et sur un plan spirituel. Elle est un être occasionnel comme tous les autres êtres, c’est-à-dire qu’elle est en évolution.

    Qu’est-elle aujourd’hui ? Est-elle ce Maître parfait dont parle l’église, intermédiaire entre Dieu et les hommes ?


    Si vous connaissiez suffisamment l’ésotérisme vous sauriez qu’il n’en est rien, sans que par là, je veuille ternir l’image de Marie. Marie, ou ce qui a été Marie, puisque c’est son corps physique qui a été nommé ainsi, continue de travailler, continue d’évoluer. Ce qui ne veut pas dire qu’elle fait partie du commun des mortels. Absolument pas. Elle fait partie des temples.

    Alors, quel a été son rôle et pourquoi lui donne-t-on ce rôle ?
    Pourquoi est-ce que l’église insiste sur ce rôle ?


    C’est parce que tout individu est dépositaire d’un principe. L’esprit est androgyne, mais en se projetant sur une planète donc dans un monde physique, il doit choisir un corps. L’homme est solaire, positif, la femme est terrestre, négative. Ceci, je l’ai déjà expliqué, mais je vais le rappeler en quelques mots.

    Pourquoi cette séparation ?

    Sitôt que quelque chose de dense est créé, pour que cette densité puisse être, il faut jouer avec les complémentarités. En fait, de la complémentarité naît une unité, il n’y a pas dualité. C’est l’étroitesse de l’homme qui voit la dualité. On ne peut pas créer quelque chose de physique sans jouer sur la complémentarité, le positif et le négatif, le noir et le blanc.
    Donc, il y a l’homme qui est dépositaire d’une énergie positive et la femme d’une énergie négative.

    La femme est matrice, l’homme est phallus. La femme reçoit, l’homme donne. Et de manière grossière, la femme obéit et l’homme commande.

    Donc, quand un individu choisit un corps, en même temps il choisit un principe.
    Si, de manière très profane, le principe même de la femme est vécu comme celle qui obéit, sur un plan plus cosmique, c’est avant tout une énergie qui est porteuse de vie, elle est fécondité.
    Pour être fécondité, la femme doit être en même temps le réceptacle de l’énergie positive de l’homme, du principe masculin. Mais le fait qu’elle soit réceptacle ne l’oblige pas à se soumettre et être esclave. Cela appartient à son monde d’évolution et pas à la loi cosmique.

    Donc, chaque femme, dans une évolution suffisamment grande, est dépositaire du principe féminin cosmique, la femme universelle en quelque sorte, et l’aspect féminin de l’énergie divine, c’est Marie, mais Marie cosmique, et non pas la mère de Jésus. Si les époux existent sur la terre, c’est parce qu’ils existent au ciel.

    Dans les religions Indoues, on trouve Shiva et Shacti, et dans beaucoup d’autres religions on trouve cette expression de couple homme femme, mâle femelle. C’est parce que le couple existe en haut, qu’il existe en bas, et pour les raisons que j’ai expliquées.

    Que représente Marie ?
    Marie représente, dans un sens symbolique, ce principe cosmique, et l’église veut exprimer ce symbole. Comme il est toujours bon d’avoir recours à une image, remarquez comme toutes les religions sont idolâtres. Prenez n’importe quelle religion, vous y verrez des images. L’homme est encore enfant.
     

     


    Quand une religion veut exprimer un principe, cela va passer automatiquement par une image, et l’homme croit qu’il est sorti du siècle des images. Il se dit : « La vierge Marie n’est pas une image. Elle a bien existé, c’est la mère de Jésus. » Mais non.
    Étant donné que depuis des siècles, des gens prient Marie, invoquent Marie, bâtissent pour Marie, un égrégore marial très puissant a été créé. Donc sur un plan alchimique vous pouvez utiliser cet égrégore, cela rend Marie vivante et quelqu’un de suffisamment clairvoyant pourrait voir cet égrégore prendre la forme de Marie.

    En fait, ce sera l’égrégore marial, matérialisé d’après un programme entretenu en commun, qui va être projeté et qui va être vu. Ce qui ne veut pas dire que c’est une illusion.
    Ce sera une réalité, mais ce ne sera pas, Marie, d’il y a 2 000 ans, parce que depuis elle a changé, et qui sait même si elle s’appelle encore Marie. Elle est toutes les femmes du monde et tous les petits hommes du monde. Vous êtes toutes des Marie et tous des Joseph.

    Alors, quand vous vous rencontrez, imaginez que vous ferez peut-être un petit Jésus, qui sait, ça pourrait peut-être marcher ?
    Médecine de l'âme
     
     

    Question :
    Face au développement de la médecine du corps que nous connaissons aujourd’hui, qui tend vers l’acharnement thérapeutique, que devons nous faire, que pouvons-nous faire pour encourager le développement de la médecine de l’âme ?


    Vois-tu comme toute chose, comme toutes les connaissances, la médecine suit son cours d’évolution. S’il semble qu’il y ait du retard quelque part, parce que l’homme n’admet pas la présence du corps éthérique, la présence de l’âme, les problèmes vibratoires, la faute n’en est pas véritablement à ces hommes. La faute n’existe pas. C’est tout simplement le cycle qui essaye d’avancer vers son but.


    Il y a des hommes qui admettent et des hommes qui n'admettent pas. Il n’y a ni fautif, ni élu. Il y a des hommes àn’admettent pas un certain plan d’évolution et d’autres à un autre plan. Il y a des hommes qui pratiquent une médecine tout à fait nouvelle et d’autres qui pratiquent celle que tu nommes médecine du corps.

    Alors où est la généralité de la médecine ?

    Nulle part, parce que la généralité n’existe pas vis à vis même de l’humanité. Il y a des médecines, qui forment la médecine, même si elles sont issues de troncs différents. Il y a autant de médecines qu’il existe de médecins. Parce que chacun applique sa connaissance avec son état d’esprit, avec sa conviction, avec son tempérament, avec son potentiel d’amour ou de haine, d’intérêt financier ou d’intérêt du bien-être de l’homme.

    Prends un médecin tout à fait traditionnel, qui ne conçoit rien à propos de l’âme mais qui est un très grand serviteur, et quoiqu’il n’en paraisse, il veut sauver les hommes. Chaque fois qu’entrent dans son cabinet un homme, une femme, un enfant ou un vieillard qui a des problèmes, il voudrait se couper les veines pour le sauver. Même s’il donne un médicament très chimique, l’émission de lumière de la part de son âme va être plus puissante que le médicament qu’il donne.

    Le problème de la médecine vois-tu, ce n’est pas qu’elle n’arrive pas à admettre les choses de l’âme, le problème de la médecine et de toutes les autres connaissances, c’est le problème de l’homme, c’est qu’elle est exécutée par des hommes qui n’ont pas d’âme, par des gens sans amour, sans lumière. Même un médicament chimique peut devenir le support d’une guérison miraculeuse si le médecin lui-même porte le bien des hommes dans son cœur.

    C’est pour cela que je souhaite que l’homme ne juge pas son frère par rapport à l’enseignement qui lui est donné sur un plan spirituel. Parce que, si l’enseignement spirituel doit servir à cela, alors que l’enseignement lui soit retiré.

    Lorsque l’on vous donne quelque chose, une connaissance, vous ne devez pas vous en servir pour juger. S’il y a connaissance de l’âme, il ne faut pas dire que les médecins ignorant l’âme, ne voulant pas en entendre parler soignent moins bien que celui qui est guérisseur et qui semble ne soigner qu’avec l’aide de Dieu.
    Parce que selon la nature du guérisseur, même s’il a un canal, s’il a un pouvoir, la guérison effectuée à travers lui ne sera pas forcément spirituelle ou divine.


    S’il pense, par exemple, à l’argent, s’il a des vibrations astrales trop intenses, à ce moment-là, ce guérisseur va être encore plus condamnable que le médecin athée qui ne pense qu’à donner des antibiotiques. Ce n’est pas parce que vous avez affaire à quelqu’un qui manipule une chose qui paraît spirituelle ou éthérée, que vous avez forcément à faire à quelqu’un qui est dans la bonne voie ou qui est digne de confiance.

    Un être tout à fait matérialiste peut être souvent bien plus digne de confiance que quelqu’un qui dit s’avancer sur le chemin et qui, à cause de quelques connaissances, se met à juger tout le monde, ou à interpréter la vie de tout le monde, ou à initier les uns et les autres, à vouloir s’ériger en gourou, être maître des hommes.

    Pour nous il n’existe pas de monde matériel et de monde spirituel. Il y a le monde. Il n’y a pas de dualité entre matérialiste et spiritualité, il y a la vérité, un point c’est tout.

    Dans votre monde, il y a des gens qui ont des conceptions et un langage spirituel, alors, on les dit spirituels, et puis il y a les autres personnes qui ont des conceptions tout autant spirituelles, mais sans le langage spirituel, alors, on dit : « Ce sont de braves gens, mais vous savez ils n’y connaissent rien dans les choses de Dieu. Ils doivent être bas dans l’évolution. D’accord, ils sont bien intentionnés, ils donnent toujours la soupe aux pauvres, mais dès que je leur parle de rayon, ils n’y comprennent rien, dès que je parle de chakras, ils s’enfuient en disant que je suis sorcier. Ils écoutent toujours la voisine qui est veuve, seule et qui a besoin de compagnie, mais moi quand j’arrive avec toute ma connaissance ils ne m’écoutent pas. »

    Je vous demande, entre celui qui croit porter la parole du Christ mais qui veut s’asseoir sur la faiblesse des autres pour se faire un trône, et ceux qui, même en manquant de connaissances, exercent tout le sacerdoce du chrétien véritable, lequel Jésus choisira-t-il ?

    Jésus choisira celui qui est vrai. Jésus, le Maître, et tous les maîtres du monde choisissent toujours l’âme la plus vraie. Je voudrais que vous méditiez sur ce mot, le vrai.
    Sentez sa puissance, la vérité. Voyez les lettres de feu s’inscrire dans votre conscience. Captez cette pureté, cette limpidité, ce dénuement, le vrai, et voyez combien aucun langage n’a d’importance à ce moment-là, même pas la connaissance, du moment que l’âme est authentiquement bonne, authentiquement céleste.
    Pour toutes les connaissances, même la connaissance spirituelle actuelle est banale, tiède, elle nous amuse quand nous en parlons avec les hommes.

    Vois-tu il n’y a pas de connaissance qui soit basse ou haute. Il y a tout simplement un homme qui sait vivre la vérité ou pas, que ce soit à travers la médecine, à travers la religion, à travers les actes du foyer, à travers quoi que ce soit d’autre.

    Et pour savoir vivre la réalité, il ne suffit pas d’être instruit, il faut simplement être un rayonnement bien intentionné, fraternel et amour. Dieu n’exige pas que l’homme soit un exemple que ce soit de connaissance ou d’accomplissement initiatique.
    Pour Dieu, il n’est pas de plus beau spectacle, qu’un petit enfant sans langage, sans connaissance aucune, un petit enfant qui va porter secours à son parent, à son voisin, qui cueille des fleurs dans l’espoir d’apporter de la joie à sa mère, qui travaille fort à l’école dans l’espoir de combler ses parents.
    C’est cette démarche qui compte pour le seigneur. C’est pour cela qu’il a dit « Heureux les simples d’esprit » et c’est pour cela qu’il a dit « redevenez simples comme des enfants ».

    Il n’a pas dit « redevenez infantiles », attention. Il n’y a pas de biberons prévus pour le quatre-heures au temple. Mais il faut redevenir à la manière de l’enfant, aussi spontané dans l’action de lumière, dans l’action désintéressée.

    Un enfant, dans sa première phase, avant qu’il ne commence justement à devenir humain, tant qu’il a un esprit solaire, fait tout par rapport à la joie des autres, pour donner la joie à l’autre, combler l’autre. Il ne vit que par rapport à l’autre. Lorsqu’il regarde sa mère il lui sourit pleinement pour lui dire merci. Merci de me donner ton sein, et il fait tout pour combler sa mère. Avec ses petits pieds il essaye d’aller vers elle. Avec ses petits poings il essaye de l’attraper, de la toucher ; Il lui raconte mille et une choses avec ses onomatopées.

    C’est cela que voulait dire Jésus, redevenez spontanés dans l’action désintéressée pour combler de joie et de bien-être votre frère, votre sœur, et cela donne automatiquement à l’âme une attitude de pureté.


    Quiconque devient un enfant, redevient pur, redevient simple, et comme il l’a dit, vous ne voyez plus la ruse des autres. Vous voulez faire plaisir et tout donner même à celui qui de surcroît va vous voler, vous médire, peu importe, pour vous c’est une âme.
    Je ne dis pas cela pour que vous deveniez naïfs au point de vous laisser avoir, de vous laisser duper par tout le monde. Le principe et la qualité d’un initié c’est d’être un enfant, de tout donner, de se sacrifier pour tous, à tout instant, mais avec discernement.

    C’est ce qui a permis à Jésus de monter sur la croix en continuant à aimer chacun des hommes de la terre et à prendre, sur lui, la mort. C’est ce qui lui a permis de dire : « Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font. »

    Il n’était pas le Maître, petit enfant, petit agneau, très heureux de donner tout aux hommes, qui riait lorsqu’on lui plantait les clous dans les mains. Faire le bien à tout le monde ne veut pas dire être dupes, mais d’avoir la conscience de faire le bien pour tous, tout en sachant qu’un jour par exemple vous le ferez pour un ingrat, ou un assassin ou un voleur etc.

    C’est ce qui a permis à Jésus, je vous le répète, tout en continuant à aimer les hommes, d’accepter sa mort et de savoir qu’il mourait pour eux. S’il n’avait pas pu discerner, il n’aurait pas su qu’il mourait pour les hommes. Ne le sachant pas, cela aurait été une mort pour rien, aucun accomplissement spirituel aurait été possible. L’église elle-même, n’aurait pas été bâtie. Or, c’est du fait de ce sacrifice conscient que tout a été érigé, les racines de l’église s’enfoncent dans le sacrifice du Christ.
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  • Question :
    Comment peut-on se préparer à la médecine de demain, qui sera la médecine de l’énergie, ou des énergies ?

    Naturellement, cela ne veut pas dire qu’il y aura manipulation de l’énergie comme le fait, par exemple, un guérisseur. Mais à partir du moment où l’on stimule quelque chose, où l’on arrête par exemple, le processus d’un organe, cela a rapport avec l’énergie.

    C’est pour cela, que les traitements à l’aide d’éléments chimiques ont parfois à longue échéance des effets dévastateurs. 
    Sur le moment, face à la maladie, face au problème, il y a règlement du problème, il y a règlement de la maladie, effacement des symptômes. Mais pourtant, plus tard, d’autres dérèglements apparaissent de nouveau. C’est parce que, justement, il y a eu une entrave dans le système énergétique.
     
    Donc, quoi que vous fassiez, ne serait-ce que de vous nourrir, d’absorber de l’eau ou un fruit, c’est une démarche énergétique. Une pensée, un mouvement, c’est une démarche énergétique. C’est pour cela, que le Yatha Yoga a le pouvoir qu’on lui connaît, et que pendant les messes, il faut faire certaines ouvertures de bras, certaines génuflexions, et qu’en Égypte, il y avait aussi des disciplines où le corps était concerné.

    Quoi que vous fassiez, vous êtes concernés par l’énergie.
    Il n’y aura pas de médecine nouvelle. Il y aura tout simplement une autre ouverture par rapport à une pratique.


    La médecine que vous connaissez dans le monde occidental qui semble occuper pratiquement la terre entière, parce que c’est lui qui actuellement pousse l’intelligence et qui va faire naître cette nouvelle race de médecin, la médecine qui concerne ce monde-là est une médecine racine. C’est une zone d’apprentissage, et elle  est plus intéressée par les expériences que par le remède en lui-même une fois trouvé. Elle est plus intéressée d’avoir des malades que des guérisons. Ce qui ne veut pas dire que les médecins n’ont pas envie de faire le bien, mais ce qui les motive avant tout, c’est la démarche.

    En fait, le médecin est un grand chercheur, et un médecin qui n’est pas un chercheur n’arrive pas à être médecin. Il prescrit c’est tout. Mais si en même temps il est chercheur, il ne va jamais s’arrêter, il va toujours vouloir faire dépasser cette science qui a besoin de dépassement.
    Il n’y a donc rien de nouveau à attendre. Il n’y a pas une meilleure médecine qui va supplanter une médecine décadente. C’est comme pour tout, il n’y aura que sublimation.

    Il en est de même pour les religions, pour les principes philosophiques. Donc il ne faut pas penser à mettre de côté, à renier, à jeter au loin ce qui est acquis. Au contraire, il faut l’amplifier, le porter à un degré supérieur. Tout ceci a été fort utile, il ne faut pas l’oublier. Il en est de même lorsque l’on s’intéresse à la psychanalyse, la psychologie. Ces zones-là de la recherche sont encore des zones d’expériences. Plus tard viendra la véritable approche de la psyché.

    En attendant, il faut que l’humanité, que l’homme surtout évolue, par rapport à sa propre constitution et à la façon dont il l’envisage. On ne peut pas envoyer un initié dire  aux hommes : la médecine, la psychologie c’est ceci, la religion c’est cela, les hommes n’accepteraient pas. Il faut que les hommes soient le terrain de l’expérience. Quelle que soit la science, la médecine, la recherche, la psychologie ou quoi que ce soit d’autre, une science est toujours tributaire de l’entendement humain.

    C’est pourquoi, avant même de donner la solution, qui pourrait être facilement donnée par le guide ou le Maître, il faut initier l’individu à obtenir cette solution. Et c’est ce qui se passe à l’heure actuelle pour toutes les sciences. Les hommes sont initiés à obtenir la solution, ils ne sont pas en train de découvrir et de faire l’effort d’une découverte.

    Mais en passant à travers la recherche, cette démarche scientifique leur permet d’agrandir leur entendement, leur permet d’évacuer certains tabous, principes étroits, et automatiquement ils préparent leur esprit à recevoir la solution. Ce n’est pas le fait d’avoir cherché qui va leur apporter la solution, mais le fait d’avoir défriché, débroussaillé, agrandi l’esprit, agrandi l’entendement, développé la culture, tout cela un jour va leur permettre de recevoir. 

    C’est un peu comme un initié, ou plutôt comme un disciple qui essaie d’obtenir l’initiation. Tout son travail ne va pas lui apporter l’initiation, qu’il fasse une ascèse, qu’il répète mille et un mantras, mille et une prières, qu’il ne mange plus, qu’il ne boive plus. Tous ces moyens défrichent en lui le terrain qui doit révéler l’initiation qu’il comportait déjà.

    C’est pourquoi, un médecin doit être tolérant avec ses confrères qui ne sont pas de son avis par rapport à une recherche, et surtout par rapport à la médecine, lorsqu’il s’agit d’intégrer tout le côté énergétique et occulte de l’homme. Vous comprenez très bien, qu’un être humain n’est pas capable d’aimer, en imaginant qu’il ait pu avoir beaucoup de traumatismes, de problèmes, ou que son envergure spirituelle encore trop étroite, ne le lui permet pas. Eh bien, il en est de même pour les gens qui n’arrivent pas à accepter l’existence du corps éthérique ou des chakras.

    Donc, la percée de la nouvelle médecine, n’est pas une percée que des initiés doivent révéler. Il y a tout simplement des médecins qui, par leurs recherches, leurs pratiques, agrandissent leur esprit. Non pas à cause des découvertes, mais à cause surtout des échecs. Alors automatiquement une porte se ferme et l’esprit qui  s’éparpillait dans toutes les directions se centralise, se canalise et peu à peu ouvre la voie qui mène véritablement à la médecine ou plutôt à la guérison.

    Il n’y a pas véritablement de médecine, il y a plutôt des actes de guérison, et c’est ce qu’il faut comprendre.

    Comment se préparer pour être le terrain qui révèle cette nouvelle médecine ?


    Il faut d’abord s’instruire à propos de la constitution occulte de l’homme. Quel que soit déjà votre savoir  à propos de la nature physique de la maladie et de l’homme, il faut en plus rajouter toute la constitution occulte. Il faut en fait s’instruire à propos des énergies, connaître la constitution des chakras et les principales causes des maladies, naturellement, des causes énergétiques.
    Vous n’aurez pas pour autant le savoir juste lorsque vous serez face à un malade, parce quepour décoder si la maladie vient d’un problème épidémique, karmique, ou d’un chakra, il va falloir utiliser la voyance ou la clairvoyance. Or peu de gens la possèdent.


    Ce qui ne veut pas dire que vous devez la développer pour être meilleur médecin ou praticien.  Ensuite, il ne faudrait pas qu’au cours d’un diagnostic, votre démarche soit de rechercher la racine de la maladie. Il faut, par la connaissance, élargir l’esprit, afin que vous ne soyez pas bloqués par le côté étrange lorsque vous aurez une intuition pour donner tel ou tel remède, telle ou telle thérapie, ou conseil. 


    Que sera le médecin de demain ?

    D’abord c’est dans l’université qu’il faut changer la médecine. Ce n’est pas véritablement en changeant le médecin, mais en changeant le programme d’étude. Nous parlons là, d’une médecine qui aura lieu dans bien, bien longtemps, avant que le programme lui-même ne soit changé. Il faut que l’homme ait encore beaucoup souffert, sans trouver les solutions, pour enfin admettre les connaissances ésotériques et occultes à propos de la nature de la vie. Il faudra endurer de nombreux échecs, que surviennent des maladies insurmontables et que se développent encore plus de guérisseurs. C’est par la venue de guérisseurs de plus en plus nombreux qu’aura lieu le déséquilibre afin que l’équilibre ait lieu.

    Ainsi, la médecine étant assaillie par de nombreuses maladies nouvelles, des  mutations de virus, des dépressions, nouveaux cas de folie, qu’elle n’arrivera pas à contrôler, n’ayant aucun recours, mais voyant que les guérisseurs se multipliant arrivent à des solutions et des guérisons, alors il y aura un point d’entente et de recherche en commun.

    C’est cela qui déclenchera ce que vous appelez la nouvelle médecine. Si vous voulez faire des recherches à propos de cette nouvelle médecine, allez puiser auprès des guérisseurs, c’est beaucoup mieux que de créer d’autres fondements à la médecine, car vous ne pouvez pas, à cause des temps qui ne sont pas encore là.

    Tout ce que vous pouvez, c’est, à la manière d’un guérisseur, apporter une autre façon de faire, amener un élargissement à propos de la façon de voir, de vivre la maladie, et instruire, aux moyens de vos connaissances ésotériques, à propos des différentes sources de la maladie, mêmes si vous ne pouvez en avoir véritablement la preuve, puisque, pour beaucoup, vous n’êtes pas guérisseur. 

    Les guérisseurs vont augmenter en nombre, en qualité naturellement, et chacun va se trouver spécialisé dans un mode d’action, ce qui va permettre à la médecine d’étudier les différents aspects occultes de l’homme.

    Voyant qu’un guérisseur détenant un certain type d’énergie est concerné par un certain type de maladie, la médecine aura de quoi étudier. Ce n’est  plus l’acte de foi du guérisseur qui accepte les yeux fermés, mais des actes de guérisseurs véritablement spécialisés. En même temps qu’il y aura ces recherches, les gens de la médecine traditionnelle vont aller happer le savoir, et immanquablement ils seront obligés, sans le savoir, de se transformer. Même si au début, leur désir n’est que d’être des voleurs de feu, peu à peu ils seront séduits. 

    Celui qui détient déjà un branchement et de la connaissance en médecine traditionnelle, doit développer son propre potentiel initiatique, son potentiel de guérisseur en fait.
     C’est-à-dire qu’en plus de toute la connaissance mentale, va se développer une perception à propos de la maladie.
    Ce qui fait que, même sans clairvoyance, sans voyance, ou sans intuition, il y aura perception du cas de la personne, et cela se développe. Pour cela, il faut méditer, se concentrer sur le rayon de la guérison, sur la part de la hiérarchie qui s’occupe de la guérison, et sur les anges guérisseurs.

    Il faut faire un véritable branchement sur cette zone concernant le savoir de la guérison, et sur tous les êtres qui s’en occupent. Faire chaque jour un travail de visualisation avec cette part de la hiérarchie, et demander une collaboration. 

    Cela ne va pas être évident les premiers temps. Mais il faut que l’individu continue cette démarche, continue ce branchement, tout en développant de plus en plus le côté disciple de sa personne. Il ne peut pas y avoir véritablement guérison du type miraculeux, des découvertes miraculeuses, si l’individu ne possède pas potentiellement un degré suffisant de disciple. Il le faut absolument.

    Donc, pour toutes les sciences cachées, c’est le côté disciple qui ouvre les portes. Plus l’individu se raccorde à la hiérarchie de la guérison, plus il a une mentalité de disciple, des vibrations de disciple, et plus il est investi par ces êtres qui opèrent littéralement à travers lui, quelle que soit sa disponibilité, que ce soit un être qui mentalement reste éveillé constamment, ou qui se mette dans un certain état d’ouverture à l’occasion.

    Ce qui compte c’est développer ce branchement. Il en est de même pour toutes les sciences et pour tout ce que vous voulez faire, que ce soit pour découvrir les secrets de la nature, ou les secrets d’une autre science. Il faut d’abord se raccorder à la part de la hiérarchie, au rayon qui la concerne et s’envelopper de la couleur du rayon concerné.

    Par exemple, le rayon de la science a une couleur spécifique que vous devez trouver, des écrits traitent ce sujet. Lorsque vous faites vos méditations, étant donné qu’il s’agit pour vous de vous brancher sur ce rayon, d’entrer en contact avec les êtres de ce rayon, il faut vous visualiser dans la couleur de ce rayon, et visualiser que cette couleur vous pénètre jusque dans votre sang, que toutes les cellules sont imbibées par ce rayon. Vous incarnez le rayon.

    Ainsi, dans la mesure où vous devenez de plus en plus disciples, donc de plus en plus perceptifs, ouverts, toute la hiérarchie qui constitue ce rayon se déverse à travers vous, et vous pouvez faire alors des découvertes fantastiques.

    C’est comme cela depuis toujours, il n’y a pas eu un guide qui s’est matérialisé à un moment donné pour dévoiler quelque chose à son disciple. Les guides ont parfois mille choses à faire en même temps, mais par contre si le disciple lui, se canalise complètement dans le rayon de son Maître, automatiquement et inconsciemment de la part du Maître comme de la part du disciple, c’est comme si leurs mémoires s’échangeaient les données.
    Le disciple monte avec sa mémoire vierge et propre, et à cette mémoire, donc à cette coupe, vient se placer la mémoire du Maître qui contient toutes les informations sur le sujet demandé. Il y a osmose et le disciple a la révélation. Il cherche deux trois minutes, et il a une compréhension. Il marche dans son jardin, il réfléchit et il a un déclic, en dormant il a le rêve qui lui apporte la solution consciente ou inconsciente. Si elle est inconsciente elle lui sera révélée dans ses démarches.

    Tout peut avoir lieu dans la mesure où l’individu se branche psychiquement avec la gamme vibratoire qui correspond à sa recherche.
     Là, est le secret de tout, pour faire le bien, comme pour faire le mal. Car ceux qui pratiquent la magie noire, utilisent exactement le même procédé, mais dans la gamme vibratoire inverse, descendante. Là, il s’agit de créer le branchement avec la gamme ascendante. Naturellement, il est plus facile de créer un branchement avec une gamme vibratoire descendante, c’est clair, c’est net. C’est pour cela, que l’homme doit faire l’effort de devenir un petit peu plus disciple, par rapport à son état normal, pour pouvoir obtenir un branchement avec les guides et les Maîtres.

    Donc, quel que soit le rayon que vous avez choisi, étudiez la couleur qui lui correspond, mettez-vous dans cette couleur, prenez le Maître qui lui correspond, et demandez la collaboration.
    Naturellement, ce n’est pas véritablement le Maître qui va collaborer, mais toute sa hiérarchie, et quelque part, ce sera l’essence du Maître, et ce sera aussi fort que s’il s’agissait de sa présence.

    Pour être un guérisseur du nouveau monde, un chercheur du nouveau monde, il faut être disciple. C’est immanquable. Pour être quoique ce soit qui appartienne au nouveau monde, il faut être disciple. La connaissance, la science de ce nouveau monde va intégrer si totalement tout l’aspect énergétique, qu’il faut absolument être disciple pour pouvoir le comprendre, le ressentir et pouvoir travailler avec. Si vous ne faites que l’étudier, vous n’allez pas forcément le ressentir et vous ne pourrez pas travailler avec cette énergie.

    Les hommes qui vivront l’ère future, seront les terrains mêmes de la mutation, de l’alchimie en quelque sorte. Quand ils voudront appeler tel ou tel rayon, ce ne sera pas un procédé magique, comme cela l’est actuellement, mais l’homme sera véritablement investi par le rayon. Cela veut dire qu’il pourra le supporter et qu’il en sera digne.
    À l’heure actuelle, la plupart des guérisons, qui concernent la grande manipulation d’énergie, passent par des actes plus ou moins magiques, parce que l’homme n’est pas suffisamment évolué pour contenir le rayon et le renvoyer pour qu’il puisse œuvrer. L’homme n’est pas le relais.

    Dans l’invisible, des êtres servent de relais, et l’homme n’est qu’un exécutant de la dernière phase de cette énergie arrivant dans le physique.
     Si l’homme pouvait être le canal total et intégral de cette énergie, cette énergie pourrait agir encore plus miraculeusement. Mais pour que l’être humain ne soit pas dérangé, perturbé, brûlé, le relais filtre, et lorsque l’énergie arrive, elle n’est plus aussi miraculeuse que ce qu’elle devrait l’être.
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    C’est pour cela, qui que vous soyez, médecin, guérisseur, chercheur, ce qu’il faut développer avant tout, avant même de penser à votre don, c’est de développer votre état de disciple. Plus vous le développez plus votre don sera multiplié, pas seulement par deux ou par trois, mais je parle de cinq, six, même dix fois.
    Plus vous vous épurez, plus vous augmentez votre vibration, et plus vous devenez alchimique vis-à-vis des autres. Vous pourrez prendre leur karma,  cela ne vous dérangera pas. Vous pourrez brûler leur cancer, il n’y aura pas de problème, leur rendre la vie, comme a fait ce grand frère en Palestine, et il n’y aura aucun problème. Tout dépend de ce que l’homme est capable de transmettre en énergie, là est le secret.

    Mais naturellement pour transmettre, donc pour être le terrain de mutation de toutes ces énergies, il faut développer votre propre terrain énergétique. À ce moment-là, vous représentez ce qu’est l’ampoule dans une pièce à éclairer. Si le Maître juge que vous, petite ampoule, n’êtes pas assez forte, il va créer des filtres qui diminuent l’intensité du courant à passer.
    Ce qui fait que, selon l’ampoule, l’envergure de l’ampoule, la pièce va être plus ou moins éclairée, la découverte va être plus ou moins complète, la guérison va être plus ou moins totale. C’est pourquoi il faut absolument développer votre propre ampérage en quelque sorte, car tout se passe par transmission d’énergie.

    Nous, nous voudrions bien, à cause de l’état dans lequel se trouve l’humanité, transmettre à tous les médecins, à tous les guérisseurs, les voyants, les magnétiseurs, un pouvoir absolu de guérison totale. C’est ce qui nous arrangerait, vous pensez bien. Mais si on faisait cela, vous seriez les premiers à mourir, de la même manière que si on envoyait la pleine intensité d’électricité dans l’ampoule, elle serait grillée.

    Donc, c’est à vous d’augmenter votre capacité vibratoire. Plus vous êtes dépositaire de l’énergie universelle, moins vous le serez d’une énergie dérivée.C’est l’énergie universelle qui arrive à donner la révélation de tous les mystères, la guérison miraculeuse de toutes les maladies, et de toutes les possessions. Vous savez très bien, que ce n’est pas d’ici un an, même dix ans que vous arriverez à être Jésus Christ. Peu importe, mais en  essayant de faire cet éveil en vous, vous arriverez en une seule vie peut-être à doubler, tripler ou quadrupler votre propre potentiel.

    Comment procéder ?


    Être un disciple ce n’est pas compliqué, mais en même temps cela réclame une certaine discipline. Il faut que la démarche soit sincère. Tout repose dans la continuité de la discipline, sur la sincérité, l’authenticité du cœur qui fait la démarche en fait.
    Si c’est simplement pour développer quelque chose, mais on ne sait pas trop quoi, si c’est pour être mieux, alors que l’on ne se sent pas bien, il ne faut pas envisager d’être disciple. Il faut, avant tout, vous occuper de vos problèmes, les vieux problèmes avec les voisins, avec le passé, avec les traumatismes etc., les régler et ensuite penser à devenir disciple. 

    Pour faire ce balayage, toutes les méthodes existent à l’heure actuelle. Utilisez aussi les méthodes de respiration pour vous libérer de vos problèmes  ou de certains petits défauts. Vous pouvez par le respir vous libérer, nettoyer l’inconscient, mais il faut participer pleinement. S’il vous manque de la participation, le respir ne sert pas, il vous faut passer à d’autres techniques plus axées sur la relaxation.

    Une fois que ce nettoyage est fait, passez véritablement à la discipline, ce qui ne veut pas dire, qu’elle soit extrême  et stricte. Cela doit se faire naturellement, vous n’avez même pas à vous forcer. Le simple fait, de faire la démarche et d’être véritablement authentique, fait que la discipline devient naturelle, devient, en quelque sorte, votre vraie nature.
    À partir de ce moment-là, envoyez chacune des pensées dans un accomplissement de bien, aussi bien pour l’humanité que pour vous-même, et vivez en étroite relation avec la hiérarchie, ce que nous appelons et ce que vous appelez la hiérarchie. C’est un symbole très pratique.



    Comment développer justement cette intimité, cette relation quotidienne ?

    Certains pourraient employer la persuasion : je suis en contact avec la hiérarchie, le croire, se forcer à le croire, et puis sentir que, finalement, il n’y a pas de résonance. Ce n’est pas avec la persuasion que l’on crée cette relation.
    C’est d’abord avec une démarche authentique, je le répète, et ensuite par une mise en pratique quotidienne de ce que vous savez ou ce que vous êtes déjà, si vous possédez un don ou une activité qui puisse aider les hommes.

    Chaque matin, à force de visualiser intentionnellement votre branchement avec la hiérarchie qui vous convient, de demander l’assistance, la collaboration, d’essayer de vous anoblir et d'œuvrer, c’est comme une roue à aube qui se met à tourner. Automatiquement, l’énergie que vous avez appelée, par visualisation le matin, descend sur vous, et en même temps qu’elle descend pour servir aux autres, en passant à travers vous, elle vous initie davantage.

    C’est pour cela qu’en fait, le serviteur est le premier servi, le disciple est le premier à être initié, parce qu’en fonctionnant, il est le terrain de l’échange de l’énergie. Ses chakras sont ouverts, et intuitivement, ou de manière impromptue, les choses, les renseignements, les gens viennent vers vous, ou vous allez vers eux de manière naturelle. S’il vous faut alors une nouvelle méthode de méditation, découvrez-la dans un livre, ou créez-la vous-même par intuition, ou rencontrez quelqu’un qui vous la donne. Mais ce qu’il faut avant tout c’est créer le branchement. L’homme de demain sera un homme vivant. 

    Quelle est la différence entre un homme mort et un homme vivant ?

    Un homme vivant, c’est un homme qui vit véritablement son concept cosmique d’homme. Un homme vivant, c’est un homme qui est relié avec sa source première d’énergie, avec son âme en fait. Alors naturellement, les degrés de relation avec l’âme vont être différents selon votre capacité momentanée présente, mais cette capacité ne dépend que de votre effort d’aller toujours plus loin à chaque instant.
    Lorsque les hommes viennent vers nous, que ce soit par l’esprit, par leurs prières, ou par leurs colères, ils ne comprennent pas, qu’avant toute chose, ils doivent être branchés avec la hiérarchie.
    Quelle que soit votre activité, faites-le, cela apporte la vie aussi bien à l’âme qu’à l’esprit, cela fait tomber sur vous l’eau qui va développer davantage votre préparation énergétique avec laquelle vous êtes nés, cela va initier votre esprit à voir les choses, chaque fois plus grandes. 

    Mais si pour beaucoup vous avez déjà une démarche spirituelle, souvent, il vous manque quand même le branchement avec la hiérarchie, qui ne signifie pas forcément avoir un don. Lorsque je parle de branchement psychique, je parle en fait de ce branchement vibratoire, qui fait que, consciemment, ou intuitionnellement, l’individu perçoit qu’en lui, vibre quelque chose de vivant.

    Dès que vous vous sentez être vivant, vous ne pouvez plus douter: vous êtes branchés avec la hiérarchie. Et à ce moment-là, la force et la puissance viennent en vous et sur vous, quel que soit votre caractère, timide, enfantin, peureux. Tout est transformé, et la conviction de l’acte s’installe, une grande force s’installe en vous. Ce n’est pas votre force, mais elle devient votre force. Je vous en prie, avant tout, branchez-vous avec la hiérarchie.

    Comment vous brancher ?

    Faites chaque matin un petit rituel, que chacun ensuite prolongera à sa manière, selon sa méthode de relaxation ou de méditation, ou suivant ce qu’il découvrira par intuition ou, par la suite, par connaissance .

    Prenez trois bougies que vous disposez en triangle la pointe tournée vers l’Est. Au centre du triangle mettez une bougie plus grosse dans une coupe remplie d’eau et déposez autour des fleurs, des éléments selon votre propre perception. Au centre vous ferez en fait selon votre propre rayon.
    Récitez la grande invocation.
    Quand vous énoncez la première phrase de la grande invocation, allumez la première bougie pointée vers l’Est, afin que cette flamme porte et soit la manifestation de cette première strophe.
    Quand vous récitez la deuxième strophe, allumez la bougie de gauche.
    Pour la troisième strophe, allumez la bougie de droite.
    Pour la quatrième strophe la bougie du centre.
    Ensuite, avec les derniers mots de la grande invocation, vous repassez sur chaque bougie et vous faites un signe de Croix pour consacrer le tout avec le signe cosmique du Christ.


    En faisant ce rituel, pensez que tout votre être se canalise et monte comme un tube de lumière, vers la hiérarchie, que vous pouvez imaginer comme un énorme soleil ou comme un grand temple qui émet des sons, des mantras. Peu importe, faites selon votre ressenti.
    Installez-vous en méditation et visualisez le branchement.

    Il faut ensuite vous aligner sur les trois points.
    Vous imaginez un filet de lumière qui réunit le centre du cœur, le troisième œil et le chakra coronal et qui monte en grand tube vers cette hiérarchie. 
    Vous maintenez cette visualisation autant que vous le désirez, selon que vous êtes un être à faire de la visualisation, ou un être de type passif, et ensuite, vous faites ce qui vous plaît.

    Lorsque vous terminez la méditation, vous éteignez chaque bougie en répétant, chaque strophe de la grande invocation et vous renvoyez toute l’énergie avec vos mains vers le ciel, vers la hiérarchie, et vous saluez. Car il faut toujours saluer, non pas pour reconnaître que les êtres invoqués ou que le rituel effectué soit quelque chose de royal qu’il faut saluer, mais dans le fait de saluer, l’homme rejoint, ramène, tous ses courants vers la terre.

    Tout le surplus d’énergie, qui risquerait quelque part de l’échauffer, ou pire de le perturber, retourne vers la terre, et de ce fait, il devient un être en grand équilibre. Ce qui lui manque en énergie il va le garder, n’est renvoyé que le surplus. Donc il faut saluer de façon que le chakra de la tête soit face au sol pour qu’il déverse son surplus.

    Faites cela tous les jours, peu importe le temps que vous y passerez, dix minutes pour ceux qui n’ont pas plus de patience, ou qui sont de nature nerveuse, ou une demie heure pour ceux qui sont un peu plus passifs. Il faut respecter sa nature, attention il ne faut pas se tromper, se leurrer sur soi-même. Il ne faut pas se dire « si je médite une demie heure, j’aurai bonne conscience, et je serai un bon disciple. » Soyez authentique avec vous-même.

    Si vous ne supportez pas plus de dix minutes n’accélérez pas, c’est à force de méditer uniquement dix minutes, que cela va développer en vous la capacité de le faire ensuite plus longtemps. Soyez honnête à la base, véritable en quelque sorte, comme un cristal. Alors les cieux pourront se refléter en vous.

    Plus vous développez ce branchement, plus vous allez avoir de révélations, plus vous allez rencontrer les personnes qui vont vous guider pour obtenir ces révélations, ou vont vous les faire. Vous irez plus loin dans votre intuition, vous aiguiserez vos capacités mentales.

    Comment prétendre faire des recherches, si, les énergies mentales de l’individu sont quelque peu sclérosées à cause du mode de vie, ou qu’elles plafonnent à cause du degré initiatique atteint?

    Il faut toujours renouveler les capacités énergétiques du mental. Le mental est un des corps les plus subtils de l’homme, l’intellect est la forme extérieure. La méditation apporte une grande intelligence, et permet un développement supérieur de la découverte, parce que cela grandit, subtilise le corps mental, là où  passent tous les échanges en vérité. Ensuite, ce n’est plus qu’une projection dans l’intellect. 
    Ce qui compte, avant tout, c’est de développer ce corps mental, de l’alimenter, de le rendre très vibrant, très réceptif.
    En développant ce que je viens de vous dire, vous allez d’une certaine manière activer, mais tranquillement, sans danger, la pinéale, qui correspond directement au plan mental. C’est en quelque sorte la voie de l’âme, la pensée de l’âme.
    Si la pinéale est activée par le moyen de la méditation ou les exercices du souffle et d’une certaine manière une nature de disciple, la voie de l’Âme descend dans ce réceptacle qu’est la pinéale et rayonne dans toutes les autres glandes, dans tout le système nerveux qui aiguise vos perceptions, car l’homme capte par son système nerveux.

    Le don lui-même dépend du taux vibratoire du système nerveux, ce qui ne veut pas dire que les nerveux ont des dons, il ne s’agit pas du même taux vibratoire.
     Plus le système nerveux est aiguisé et plus l’individu va posséder un don performant, car la perception est équivalente.

    Donc, il faut, en vous, aiguiser toutes les perceptions, toutes les zones réceptives comme la pinéale, la thyroïde, chacun des chakras. Tout ceci se gagne en développant vos vibrations, votre taux vibratoire, donc en étant disciple. Il n’y a pas de secret.

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  • L’astrologie.
    Pourquoi n’y a-t-il pas plus d’âmes sages au pouvoir?
    L’évolution spirituelle dans une incarnation.
    Les drogués.
    Comment aider les personnes qui vont quitter la terre.

     

     
    Question :
    Comment concevoir l’astrologie.

    L’astrologie a trois niveaux. Ce qui est bien connu d’ailleurs.
    Le premier niveau est équivalent, en effet, à de la voyance. La voyance est la forme de projection possible d’une énergie, pouvant ou non donner lieu à la chose prévue.

    Si l’astrologie est voyante, pourquoi se peut-il que les choses n’arrivent pas, alors qu’elles sont prévues par les astres ?

    Il ne faut pas oublier que les interactions des astres sur la planète terre suivent aussi des lois alchimiques, et comme tous les mélanges, selon la dose et le degré, il peut y avoir une explosion ou pas, une petite fumée ou pas, un éclair ou pas, et étant donné qu’il s’agit de mélange, de dose, l’homme a son mot à dire dans ce mélange. Il peut accepter ce mélange qui vient sur lui, ou sur la nation, et y mêler sa propre vibration ou celle de sa conscience, ce qui va complètement changer l’aspect du dosage.

     

    L’astrologie peut être très précise dans la mesure où l’on considère seulement un petit groupe de gens ou une région bien déterminée. Chaque fois que l’astrologie, où que l’astrologue, essaie de s’écarter de quelque chose de minoritaire pour aller vers le majoritaire, il y a de plus en plus de chances pour que le dosage subisse des interactions d’entreprises personnelles. À ce moment-là, tout est possible, le bien comme le mal.

    Que dire des situations astrologiques, dans les grands changements mondiaux par exemple?

    N’oublions pas que chaque individu a son astrologie et que chaque individu est porteur lui-même d’une sorte de karma ou de mission. Un individu qui est président d’un pays, ou ministre d’un pays, ou président d’une énorme et gigantesque société, est sous le charme vibratoire de ses planètes. À ce moment-là, ses planètes n’exercent plus une puissance sur l’individu, mais directement sur la société, sur son pays, ou sur ses affaires.

    Si bien que le thème astrologique d’un président n’est plus le thème astrologique du président nommé et personnel. Le thème astrologique devient celui de la nation, ou de l’exercice des fonctions de cet homme. Parce que lui dirigeant, lui influençant les directives, va servir de canal pour que ses étoiles agissent à un niveau plus universel.

    Ce qui est un petit peu moins sûr, c’est d’établir des thèmes à propos de la naissance d’une nation, par exemple, et ainsi déterminer la vie de la nation par rapport au jour et à l’heure de sa fondation. Non pas que cela soit faux, mais en fait, il faudrait superposer les thèmes. Superposer le thème du président, du ministre, ou du conseil qui agit, plus le thème de l’heure du jour où la nation a été fondée, et voir ce qui peut correspondre ou s’entrechoquer dans ces deux thèmes.


    En faisant ces analyses, vous aurez en même temps l’heure et le jour du départ du président et du ministre. Si le thème de cet homme entre un jour  en conflit avec celui de la masse, il va être expulsé.

    Maintenant peut-on prédire, par exemple, les tremblements de terre, les raz de marée, les grands incendies. À cela je réponds oui, je réponds non, parce que pour qu’une planète exerce pleinement son pouvoir bénéfique, ou destructeur, il faut en quelque sorte que les hommes y consentent pleinement. Une astrologie de groupe est une astrologie où l’individu admet comme la masse. C’est une astrologie qui concerne le karma de la nation, le karma de la race, le karma de la terre.

    Mais ce qui va permettre à l’homme d’éviter par exemple un tremblement de terre qui pourrait survenir dans un pays, si l’homme en est suffisamment conscient avant qu’il n’arrive, sa première réaction va être de sublimer en quelque sorte la pulsation éthérique du pays ou de la région où il habite, et cela va changer le dosage dans la petite éprouvette.

    Prenez l’aura éthérique d’un pays qui est trop matérialiste, avec des problèmes de société, de la délinquance, du chômage, et mettez dans le ciel une opposition de deux planètes très fortes qui ne peuvent que produire, d’après la formule, un tremblement de terre ou un retournement politique, et faites ce mélange. Ces étoiles en s’opposant, en se contrariant, vont rencontrer l’aura éthérique de ce pays déjà en tremblement, alors, ce tremblement de terre ne pourra qu’avoir lieu. Mais si les individus sont plus évolués, plus calmes, plus stables, alors il n’y aura rien. Simplement par-ci, par-là, il y aura des individus un peu plus distraits que d’habitude, un peu plus agressifs peut être, si ces planètes en opposition existent aussi dans leur propre thème bien sûr. On peut tout dire avec l’astrologie, et à la fois ne rien dire.


    Pourquoi cette astrologie est oui et non, tout et rien ?

    Parce que l’homme est essentiellement libre. C’est pour cela que vous pouvez arriver à tout ou rien deviner, à tout ou rien faire. L’homme est libre. Il n’est soumis à aucune force, même pas celle du bien, même pas celle de Dieu, puisque vous faites ce que vous voulez en vérité.

    L’homme se sert de l’astrologie comme d’un parapet afin d’aller vers une voie sans s’arrêter, sans qu’il y ait justement de stagnation et d’involution. Si les hommes n’étaient pas quelque part secoués, et ils le sont parfois par des énergies, ils n’arriveraient à rien. Si son thème lui donne tel ou tel problème, telle initiation, telle épreuve, tel karma, l’homme va pouvoir avancer, même si, lui, au fond il n’en a rien à faire.
    Mais coûte que coûte les Seigneurs du karma, les Seigneurs de l’évolution sont là pour opérer invisiblement, grâce aux énergies planétaires, à conduire l’individu jusqu’à son point d’évolution prévu.

    Ensuite il y a le côté purement initiatique de l’astrologie. Un certain degré de la vibration planétaire n’est plus une vibration qui conditionne, mais qui initie. Parce que si l’homme est libre, pour devenir cet ange puissant, ce roi solaire, comme il vit sur le plan physique, il faut qu’il ait d’abord une forme, et cette forme lui est donnée par les astres.

    Je ne parle pas de forme corporelle. Je parle de forme en temps que schéma d’identité. Schémas qui sont autant de projections psychologiques, autant d’ombres sur le mur de la caverne, tout autant d’Abel et de Caïn en train de s’entre-tuer. Mais pour que l’individu arrive à un discernement, pour qu’il arrive à une zone de conscience où il se sent individuel et où il peut ordonner, comme un Roi ordonne, avant qu’il n’arrive à cette puissance et à ce rayonnement de la conscience, il doit être façonné sur un plan d’abord très psychologique, ensuite sur un plan astral, puis sur un plan mental.

     


    Puis un jour, lorsqu’il y a cette initiation, ce passage, du centre du cœur au centre de la tête, il quitte cette forme. Tout ceci est une nécessité pour vous. Sinon, vous resteriez dans un magma informe d’idées qui n’ont ni suite, ni début, ni fin.

    Les âmes, à l’origine, sont comme des graines autour d’une grappe de raisin. Elles sont accolées comme des substances et elles naviguent les unes contre les autres, elles glissent, se rendant à peine compte que l’autre existe, qu’elle-même existe, et elles sont plongées dans un rêve. Un rêve où il y a ni espace, ni temps, ni même appréhension des choses. Une morbide éternité, en fait.
    Cette substance n’a aucune idée de ce qui est beau, grand, cosmique et de ce qui est matériel. Il faut donc lui donner une forme, afin qu’elle puisse appréhender les choses, les intelligencer, se repérer à côté d’elles et à côté des autres. Tout cela pour vous édifier un mental, un discernement. La vie est entièrement située au niveau de la conscience. Toute votre évolution, tout ce qui a été mis en œuvre pour votre évolution, se situe, en travail, au niveau de la conscience.

    Dans ses balbutiements, qu’est-ce que la conscience ?

    Pour certains individus, très petits dans le chemin, elle est instinctive. Ensuite elle est psychologique, enfin elle est athmique. Tout le chemin de l’évolution est un voyage à travers la conscience. Cette conscience, qui n’a connaissance de rien, qui est dans un rêve dont elle ne peut même pas dire où il a commencé et quand il finira, passe par des prises de connaissance avec un extérieur. Vous êtes en train d’expérimenter l’extérieur. Tous les clichés qui vous viennent de l’extérieur vous aident justement à bâtir votre âme.

    L’âme a trois niveaux, et son premier niveau est la psychologie. Il est donc bon, dans cette ère-ci, que tant de psychologues soient nés et défendent cette science, même si quelque part elle est encore très limitée. Ils sont en train d’avoir accès à la première partie de l’âme, et eux croient avoir accès à la personnalité. C’est dans cette psychologie qu’est enfermé le karma, parce que la psychologie, comme une antenne, est tout entière dirigée vers l’extérieur éthérique, l’éthérique des autres individus, l’éthérique de la planète.

    La psychologie, c’est la psyché, celle dont on a parlé dans les temps reculés. La psychologie se mêle en fait à la psyché des autres. Pour qu’un psychologue arrive à équilibrer quelqu’un de perturbé, il ne faut pas qu’il travaille simplement sur les problèmes vécus par cette personne. Il faut, en même temps qu’il travaille sur une personne, et qu’à travers cette personne, il travaille sur toute une nation. Parce que la psyché de la personne, est la résultante de toute une nation.

    Naturellement il y a des problèmes qui sont beaucoup plus personnels que d’autres. Mais il faut comprendre qu’il y a résonance de tous les problèmes nationaux, ou des problèmes de la race, à l’intérieur de l’individu. S’il y a des échecs dans la psychologie, dans la thérapie psychologique, c’est justement parce qu’elle ne considère pas l’interaction des autres psychés sur la psyché individuelle. Tant que le problème de la personne s’arrête vraiment à quelque chose de purement personnel, cela peut, avec la bonne volonté du malade, fonctionner et être dégagé. Sinon il y a rupture.

    Revenons à l’astrologie.

    Lorsque cette astrologie se projette dans la matière en passant par cette psyché, son premier but, dans les premières ères, est de donner la forme à l’individu. Et c’est pour cela que l’on peut dire que tel individu est typiquement verseau, par exemple, à cause de sa morphologie, j’entends.

    Comment se fait-il que les planètes aient le pouvoir de typer physiquement les hommes ?

    Pourtant vous êtes nés de votre père et de votre mère, vous n’êtes pas nés d’Uranus ou de Vénus. Cela se peut parce que telle est leur mission. Il ne faut pas oublier que les créateurs, puisque, comme je vous l’ai dit, il n’y en a pas qu’un au niveau de votre galaxie, pour votre cas, les créateurs doivent comme des alchimistes jouer avec les vibrations environnantes pour créer tel type d’individu, tel animal, telle plante, telle zone de la nature. Ils ont recours à l’influx de telle ou telle autre planète.

    C’est pour cela qu’il y a des gens qui sont typés, véritablement typés taureau, véritablement typés bélier, et typés sur un plan physique, parce qu’il s’agissait de donner d’abord une forme dense, et cela a été leur première mission. Remarquez, qu’il est question dans la bible de sept jours pour former le monde. En fait, il y a véritablement sept planètes, et chaque planète a eu son ère, parce qu’il ne s’agit pas de jours dans la bible, mais d’ères. Chaque planète a eu sa période d’influx maximum pour donner une forme spécifique, et dans les noms de la semaine cela est resté. Les jours de la semaine portent le nom des planètes. Ensuite, les planètes donnent une forme plus subtile, la forme de l’âme.

    Qu’est ce que l’âme ?

    On pourrait croire qu’elle n’est que substance, conscience. Et maintenant je viens de dire qu’elle est forme. (Qu’est ce qui se passe grand frère ? Je ne vous dis pas des bêtises, rassurez-vous). Seulement il faut comprendre que cette étincelle qui était complètement dans le rêve, pour rejoindre sa partie non née, (et j’expliquerai ce que cela veut dire mais plus tard), doit prendre tout un cheminement de reconnaissance, d’éveil de la conscience et du discernement, du « Je ». Il faut pour cela une forme intermédiaire qui ne soit pas tout à fait physique, mais pas tout à fait bouddhique, athmique, ou subtile en fait pour résumer.
    Partout dans la création il y a des intermédiaires, pour vous c’est l’âme qui se compose petit à petit.
    Quand l’individu naît dans ses premiers cycles, il a un corps éthérique très racé, très petit, parce qu’il n’a pas de mémoire. L’individu va vivre quatre, cinq, six, dix, trente, quarante réincarnations, et au fur et à mesure, son corps éthérique va s’épaissir. C’est un peu comme le dépôt de calcaire qui se fait quand vous mettez chaque jour de l’eau dans une casserole.

    Au fur et à mesure après avoir capté les expériences de sa vie, qu’il les ait vécues et transmises au corps éthérique, à la mémoire, cela va petit à petit constituer une âme, c'est-à-dire cet intermédiaire.
    Il faut tout un cycle, rien que pour composer l’intermédiaire. Vous avez déjà travaillé tout un cycle, pour obtenir seulement votre âme, cette chose qui passe d’un univers à l’autre, du physique à l’astral, du physique à l’éthérique. Il a fallu longtemps rien que pour composer cela. Ce qui fait que maintenant, vous vivez en tant qu’âme.

    Dans les religions, et même dans l’ésotérisme, on emploie le mot âme comme nom générique de ce qui voudrait exprimer le moi suprême, l’initié de tous les degrés comme on dit aussi, le Moi éternel.
    Cette âme donc, une fois qu’elle est petit à petit constituée, doit apprendre non plus à mourir, mais à devenir comme son essence. En fait, le physique est là uniquement comme prétexte pour vous bâtir une âme, une âme qui va être initiée, qui va être un jour semblable à la non née.

    S’il existe en vous une partie qui est non née, qui est immortelle, qui est initiée, qui a tous les pouvoirs, comment se fait-il que vous devez être initiés ?

    C’est ce que j’entends souvent dans les esprits. « Si j’ai déjà tout, pourquoi est-ce que je me fatiguerais à obtenir ce que je possède déjà ». Pourtant quelque chose, en vous, doit être initié, et c’est votre âme, c’est ce composé qui se construit à chaque vie, petit à petit.
    À ce niveau-là, donc, les astres jouent une influence purement psychologique et commencent déjà à être initiatiques. Parce qu’étant donné que la psychologie est le premier aspect de l’âme, il y a forcément déjà de l’éducation et de l’enseignement dans l’essence des planètes.
    Ensuite, admettons que l’individu ait acquis un raisonnement très pur, un discernement qui s’appuie sur des connaissances très fortes, une tempérance qui lui permette de contrôler son corps physique, ses désirs, ses défauts, l’astrologie n’est plus ce qui conditionne. Elle devient un instrument de rayonnement et d’action pour l’individu, qui va se servir de la planète comme on se sert d’une épée, et jouer avec les énergies de chaque planète.

    Donc pour ceux qui s’intéressent à l’astrologie, il faut bien comprendre qu’à l’heure actuelle, vous êtes en quelque sorte des pionniers, dans le sens où il y a plus que l’astrologie à faire passer. En fait, il faut secouer l’humanité dans sa propre conscience. Ce qu’il faut comprendre, c’est que l’astrologie est un instrument très fort. Ne vous battez pas pour faire accepter l’astrologie en temps que telle.
    Par contre, utilisez cette science pure, forte et démontrable pour faire changer les gens, pour leur indiquer où est le problème social, où est le problème de l’évolution, où est le problème karmique.

    L’astrologie doit être un doigt et une voie capable de reprocher ou de mettre en garde. Autrefois les astrologues étaient des alchimistes. Ils savaient très bien manipuler les planètes, manipuler dans le sens vibratoire. Ils ne faisaient rien sans le concours de la planète, parce qu’ils savaient bien que tout, étant alchimie et résonance dans les fréquences, ils devaient réunir un maximum d’aide vibratoire autour d’eux. Lorsque l’astrologue avait une opération à faire, qu’elle soit magique, sur le plan de la médecine, ou autre, il allait tout de suite chercher dans le ciel l’ami qu’il lui fallait, et il attendait sa venue.

    Aujourd’hui, l’homme ne se désintéresse pas de l’astrologie, en fait, il en est très curieux. Mais les gens ont avant tout peur, et tous les astrologues se rendent bien compte, qu’ils ont plus à faire à des peureux qu’à des ignorants. Un homme qui veut connaître sa vie, a en même temps peur de la rencontrer. Quand il va voir un astrologue, il a envie qu’on lui dévoile des choses, mais il a peur qu’on voit en lui le diable qui y est caché. L’homme a honte, honte et toujours honte. Mille fois j’ai dit, qui êtes-vous pour avoir honte? Alors que vous êtes ici pour apprendre, pour vous dégrossir, pour vous purifier, pour extérioriser votre folie, pour vous débarrasser de ces vilaines choses.

    Donc pourquoi avoir honte de faire ce que vous êtes venus faire pour le bien de l’humanité et le vôtre? Tous ceux qui vont consulter des voyantes ont peur. En fait, s’ils vont chez des voyants, c’est avant tout parce qu’ils sont animés par la peur. Ils n’ont pas envie de savoir, ils veulent savoir au cas où le ciel leur tomberait sur la tête, au cas où ils risqueraient quelque chose. Ils veulent par exemple connaître la date de leur mariage, mais ce n’est pas pour entendre parler du bonheur, c’est en fait pour qu’on leur dise : ne t’inquiète pas, tu ne resteras pas vieille fille. Ce n’est pas pour entendre : sois contente, tel jour tu rencontreras ton amour. Tous les gens sont motivés par une peur intérieure, tellement forte qu’elle les aveugle dans la démarche qui pourrait les libérer de cette peur.

    Si l’astrologue veut agir efficacement, il doit être fort. Plutôt que d’essayer d’apaiser les choses, il faut au contraire taper fort. Il faut, à la manière d’un père ou d’une mère, savoir avec poids montrer ce qui est néfaste, pendant que l’autre est en train de trembler. Prenez la main de la personne et dites-lui : « Voilà l’endroit où tu peux t’en sortir, voilà l’endroit qui va te permettre d’être fort, vainqueur et victorieux ». Il faut jouer entre la force et l’amour maternel.

    En fait, il faut se comporter comme un initiateur ou comme un maître. Le maître appuie avec force pour montrer, parce que le maître est la réalité, et l’astrologie c’est la réalité. Donc il faut montrer la réalité, et il n’y a pas trente six façons de montrer à quelqu’un qu’il est méchant, ou qu’il est violent, et à quel niveau ça se manifeste chez lui. Il faut lui montrer que par rapport à d’autres planètes, par rapport aux circonstances de sa vie, ce qu’il peut faire de cette violence, ce qu’il peut faire de l’énergie puissante d’un conflit.
    Il faut, en fait, lui apprendre à devenir alchimiste de son propre thème astrologique, pour qu’il ne soit plus le conditionné, mais celui qui manipule ses énergies et construit avec, au lieu d’être construit.

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