• Question

    Pouvez-vous nous donner des conseils concernant l’harmonie et l’importance de la diffusion de vos messages ?


    En voilà un qui pense que c’est important, alors il pense plus que moi. Parce que moi, je ne pense pas que ce soit important, bien que je sache que cela l’est. Je ne veux pas non plus trop jouer avec vos esprits.

    Ce qui est important, c’est que quelque chose se passe en vous et que vous le portiez aux autres. Il n’est pas important que vous veniez m’écouter, que vous m’acceptiez, que vous me suiviez. Il n’est pas important, que vous vous rappeliez de moi, que vous me nommiez. Par contre, que je sois vivant en vous et qu’en sortant vous exerciez la tolérance, vous vous souveniez des lois, des harmonies, alors ça oui c’est important, et, seulement à ce titre, cela devient important.

    Qu’est-ce qu’un guide ?
    Il n’est pas un instructeur, Il est tout simplement un morceau de flamme, un morceau de vie donné aux hommes, posé au milieu des hommes et ce morceau de flamme doit réveiller la flamme des autres hommes.

    À moins qu’il ne fasse cela, il ne sert à rien. Alors les hommes pourront venir et se dire, c’est un beau feu, il brûle bien, puis mesurer la flamme, décomposer son spectre, venir s’y chauffer.

    Ce qui compte, c’est que quelques hommes acceptent de venir se brûler dans cette flamme, de s’y fondre, pour devenir eux-mêmes une flamme, et qu’ils soient, pour les autres, la même flamme que celle dans laquelle ils se sont initiés. C’est la transmission initiatique qui compte, ce n’est pas le transmetteur.

     

    Question

    Pouvez-vous nous donner encore quelques précisions sur le pourquoi et le comment des diverses races humaines, en particulier, pourquoi l’Islam, pourquoi le fanatisme religieux d’aujourd’hui, pourquoi Mahomet ?


    En ce qui concerne l’Islam, comme je l’ai dit tout à l’heure, chaque civilisation est un être composé par des millions d’êtres. Chaque civilisation, chaque peuple a son rythme, son inspir et son expir, sa naissance, son développement et sa chute.

    L’Islam à nos yeux est très beau, comme toutes les autres formes de religion ou de civilisation. Tout est beau dans la mesure où l’homme sait le vivre avec beauté. Dans la sagesse de l’Islam il y a de grandes vérités et surtout un art immense de dire cette vérité.

    À l’époque où beaucoup d’hommes étaient des combattants, presque des animaux, dans l’Islam, il y avait des initiés, des astrologues, des astronomes, des mages, des alchimistes.

     

     

    Que s’est-il passé ?
    À un moment donné, arrivé à un certain moment du cycle, le peuple patine en quelque sorte, et ceci est valable pour tous les peuples, pour toutes les races. Selon ce qu’il arrive à accepter comme autres vibrations, il va pouvoir ou non continuer à se développer, ou dans la négative, il chute. Mais il ne chute pas à la manière de quelqu’un qui tombe dans les ténèbres pour y disparaître, il n’y a pas disparition, il y a disparition de sa flamme initiatique.
    Chaque peuple correspond à un rayon et à une flamme initiatique. De la même manière qu’il y a sept rayons, il y a sept races. C’est parce que le cycle est conçu pour vivre de cette manière avec une naissance, une apothéose et une chute, que les races se succèdent. Il ne faut pas juger, car un jour vous aussi vous passerez par ce même état.

    Qu’est-ce qui favorise le fanatisme dans l’Islam ?

    Ce n’est pas parce que ce peuple est arrivé à un point de décadence tel, que maintenant il se rue et tire sur tout ce qui bouge. Ce sont tout simplement des esprits qui ont encore quelques comptes à régler avec le désir de puissance et d’orgueil, qui profitent de cette philosophie, de cette religion et de ce peuple pour le manœuvrer, afin de continuer à exercer leurs mauvais genres.

    Vous allez me dire : « Mais est-ce que Dieu ne pourrait pas intervenir là-dedans ? » Ce n’est pas à Dieu, ni aux Maîtres d’intervenir dans les affaires humaines. Ils peuvent vous aider, vous conseiller, vous aimer, se sacrifier pour vous faire comprendre la chose, mais ils ne peuvent pas vous obliger à être ou ne pas être.

    Quand des entités se développent uniquement dans une voie occulte, mais d’un occultisme plutôt teinté de noir, il faut bien un jour qu’ils se réincarnent pour expier, ne serait-ce que pour cela. Maintenant, mettez ces hommes dans une position telle qu’ils arrivent à avoir la puissance sur des gens ignorants, c’est l’affaire de ces gens ignorants. Non pas que nous nous détournions de ce peuple, au contraire.

    Chaque fois qu’il se passe quelque chose de capital, toute l’attention des maîtres est attirée et ils agissent, mais ils ne peuvent pas agir à l’encontre de quelqu’un, ils sont obligés d’attendre certains cycles. Il appartient à l’homme de se prendre en charge et de savoir si son guide, qu’il soit religieux ou simplement politicien, est un bon guide, s’il doit lui obéir ou pas, et depuis des milliers d’années c’est toujours le même problème.

    L’homme préfère suivre les lucioles que de faire quelques pas dans le noir pour trouver la flamme, parce qu’il n’ose pas, parce qu’il préfère être programmé
     .
    Même si au fond de lui il n’est pas content, et je peux vous affirmer que des millions de gens là-bas ne sont pas contents, mais ils acceptent, ils plient. Alors, même si les hommes qui les dirigent n’ont de la force que dans le pouce, avec ce peu de force ils arrivent à agir, alors que si le peuple retrouvait sa dignité, si le peuple n’acceptait plus, si en fait ils devenaient des gens libres d’esprit, il pourrait y avoir des milliers de gens ayant l’esprit de ceux qui les dirigent, ils n’auraient aucun pouvoir sur eux.

    Cette chose est-elle prévue, car c’est naturellement la question que les gens vont se poser ?

    Tout est prévu sans l’être, c’est-à-dire qu’avec les effets du karma tout peut être prévisible sans que cela soit absolument irrémédiable. On hurle après l’Islam et je comprends les gens qui hurlent, mais l’Islam n’a-t-il pas hurlé après les Croisades ? l’Islam n’a-t-il pas souffert des Croisades ?

    Alors je ne dis pas que ce qui arrive est, œil pour œil et dent pour dent. Je ne veux pas que vous portiez cette parole au-dehors, sur un plan primaire, dans vos esprits. Je dis simplement qu’il y a le karma, et quand il y a karma, il ne faut pas l’accepter de manière molle et passive, il faut réparer. Mais pour effacer le karma il faut envoyer l’amour, le pardon.

    Ce peuple est fou. Ne pardonnez pas à ce peuple en attendant qu’il vous tue davantage. Ce peuple est fou, envoyez-y de l’amour, des bonnes pensées, des bonnes vibrations. Pensez à sa libération.
    Ne pensez pas que ceux qui adhèrent à l’Islam sont fous, sauvages et barbares. Pensez à neutraliser leurs chefs, et vous verrez que c’est un peuple capable, comme tous les autres, d’amour et de lumière, comme il en a été capable alors que vous n’étiez encore que des animaux par rapport à eux. 

    Chaque fois qu’il y a des conflits, il y a la violence et le racisme ressort immanquablement. Je ne veux pas que vous ayez ce réflexe. Pas plus que vous pliiez le dos parce que je vous ai parlé des Croisades et des colonisations. Pensez, lorsqu’il y a problème, à voir qui fait naître le problème, et collaborer pour neutraliser celui qui en est la source.

    Vous pouvez faire cela si vous le voulez, en groupes réduits, ou en groupes plus importants. Il ne faut pas envoyer des idées de mort aux dirigeants. Simplement des idées de perte de pouvoir. Car plus les gens les suivent, plus ces dirigeants croient en eux, plus leur pouvoir occulte se développe et plus des hiérarchies du bas astral viennent les soutenir.

    Donc, il ne faut pas que vous envoyiez des vibrations basses, car vous attireriez sur vous des problèmes. Envoyez tout simplement la neutralisation des pouvoirs par une énergie d’amour, de foi : l’énergie de Shamballa.
    Si vous voulez servir d’intermédiaire dans ce sens, vous le pouvez, tout seul, en petits ou en grands groupes. Visualisez les têtes de ces chefs, leur peuple derrière eux, et regardez-les fondre comme une bougie. Imaginez l’énergie de Shamballa descendre sur eux.

    Au fur et à mesure que vous le ferez il y aura impact. Cela se fait déjà. Tout est créé pour neutraliser dans ces cas-là. Mais là où les Maîtres ne peuvent pas agir, c’est par rapport aux réactions du peuple. Le peuple, lui, est libre. Ne vous inquiétez pas, agissez. Ne devenez pas racistes, mais intervenez.

    Ne jugez pas le peuple, considérez simplement les chefs, car l’Islam à aussi beaucoup à donner à l’occident. S’il est question de synthèse entre l’orient et l’occident, on pourrait aussi parler de synthèse avec l’Islam. Tout arrivera de toute manière à une synthèse. 
    Tous les frères, un jour, feront la ronde. Toutes les religions, un jour, s’aligneront dans le temple. À quoi cela sert-il donc aujourd’hui de haïr celui qui demain sera dans le temple près de vous et qui aura droit à la même initiation que vous, à la même parole que vous ? Soignez-le.
     
    Question:

    On nous dit que dans l’invisible existe l’union de deux pôles représentant le couple d’âmes sœurs. Peut-on mieux travailler spirituellement sur ce plan si notre âme sœur est dans l’au-delà. Que penser en particulier de la doctrine de l’existence des âmes sœurs.


    J’ai déjà parlé des âmes sœurs et ce n’est pas un sujet important. Quoi que vous fassiez, ne vous embarrassez pas avec des principes. Allez à l’essentiel. Quand quelque chose paraît obscur, ou qu’il n’y a pas moyen de vérifier, ne vous embarrassez pas avec une interrogation. Il y a des choses plus essentielles que de trouver l’âme sœur, ce principe, car toutes les images et ceci n’est qu’une image, en fait, relate un principe, donc ne vous embarrassez pas avec les interprétations. Visez l’essentiel.

    Question

     Que penser des biologistes et de la médecine, de la fécondation artificielle, des greffes d’organes ? La transplantation d’un organe important peut-elle modifier le comportement profond d’un individu ?



    En ce qui concerne ce genre d’intervention il y a du bien, et il y a du mal. Mais il ne faut pas trancher de cette manière. Il faut regarder, comme je vous l’ai toujours dit, ce qui est utile, et ce qui est le moindre mal par rapport aux possibilités d’une humanité. 
     

    S’il n’est pas profitable de faire des transplantations d’organes ou des transfusions sanguines, cela ne veut pas dire qu’il faut arrêter. Parce qu’avez-vous d’autre à proposer pour arriver au même résultat ? Rien. Alors il faut pratiquer ce que votre humanité a su développer.

    Pourquoi cet inconvénient dans les transplantations d’organes ?

    Parce qu’un organe est exactement comme une entité séparée, comme un petit être en fait, qui correspond typiquement à la personne dont il faisait partie. Quelqu’un qui donne son rein ne va pas seulement donner son rein, mais ce qu’il faut regarder, c’est l’utilité du don de ce rein. Il ne faut pas, pour l’instant, imaginer l’inconvénient, parce qu’il n’y a pas d’autres moyens. L’inconvénient de ce genre d’intervention, c’est que l’individu va avoir une désynchronisation.Admettons une transplantation cardiaque, et que tout se passe bien. Il va y avoir dans l’aura de l’individu une altération. Ce qui ne va pas forcément entraîner des problèmes spirituels, ou d’autres maladies. Mais, quelque part, il n’y a pas la même note.

    Il y a moins de désagréments aux transplantations d’organes, qu’aux transfusions sanguines. En fait, ce qui serait à éviter en premier, et là où les chercheurs doivent se concentrer, c’est à propos de la transfusion sanguine, parce que le sang transporte l’âme. C’est pour cela que dans la bible il est écrit : « Tu ne devras pas manger d’êtres qui ont du sang dans le corps. Tu ne devras pas tuer ces êtres, ni les consommer. » Parce que le sang c’est le flux matériel de l’âme.

    Lorsque vous mangez de l’animal, et je ne vous critique pas si vous le faites, vous êtes libres de manger n’importe quoi, mais lorsque vous mangez un animal, vous absorbez les résidus des vibrations de son âme animale par le fait du sang.

    Tout ce qui contient du sang, contient déjà une forme de conscience et c’est là où il y a une forme de meurtre. Tant que vous tuez quelque chose qui ne fait partie que de la conscience universelle, comme un légume, un fruit, il n’y a pas meurtre parce que l’énergie est immédiatement restituée à l’univers. C’est un réservoir qui se renouvelle sans cesse. Il n’y a pas de conscience individuelle véritablement déterminée.

    Chez un animal, quel que soit son degré, il y a déjà une conscience individuelle. C’est à ce moment-là, où il y a une forme de meurtre, car c’est un peu comme si vous mangiez votre voisin, toutes proportions gardées naturellement. Le sang de l’animal contient son âme. S’il a une âme, c’est qu’il est un être qui pense, qui pleure, qui a peur, qui comprend, qui souffre, qui sent sa mort, son sacrifice. Il y a donc holocauste.

    Ce qui ne veut pas dire que je vous accuse de manger de l’animal. Je n’accuse personne, car vous êtes, en fait, plutôt esclave, à l’heure actuelle, d’une tradition. De cette manière-là, vous êtes moins coupables. Mais il y a quand même un karma qui se fait vis-à-vis des animaux, du fait qu’il y a holocauste de l’animal.

    Ce karma, se paie en sens inverse, c’est que l’animal va devenir de plus en plus dépendant de l’homme. Parce qu’il s’y attache, un peu comme quelqu’un qui martyriserait son voisin, plus tard ce voisin peut devenir son enfant et ainsi il doit s’en occuper, le développer, le nourrir, le soigner, le supporter, lui donner de l’argent et toutes sortes de choses. L’homme, se créant un karma vis-à-vis de l’animal, crée une dépendance, une assistance vis-à-vis de l’animal.

    Encore une fois, je ne vous accuse pas, seulement je voudrais que les esprits s’éclairent un peu à propos de la nature de la vie. On ne peut pas accuser quelqu’un de commettre un crime, s’il ne sait pas qu’il commet un crime. Et quand je dis crime, je ne parle pas de péchés, je parle simplement d’un certain mal fait, d’une certaine peur entretenue sur l’animal.

    Il faudrait que vous vous dégagiez de cette ignorance et que vous en reveniez à ce que le Père vous avait dit et qui est écrit dans la bible : « Je te donne les fruits et tout ce qu’il y a dans les champs pour te nourrir. »

    Alors, grosse crise de conscience pour ceux qui mangent de la viande. Ils vont renter ce soir chez eux : « Est-ce que je vais griller mon steak ou pas ? » Et bien je vous libère de tout problème de conscience. Grillez votre steak et avec plus de beurre même que d’habitude si vous voulez, et mangez-le avec plaisir. Car en fait la nature est, là aussi, à disposition de l’homme et il a été dit que l’homme aura la domination, la puissance sur toutes les créatures de la nature.

    Donc, quelque part, l’homme peut asservir et se servir de l’animal. Ce qui ne veut pas dire que connaissant la vérité il a le devoir de continuer à le tuer. C’est quelque chose qui dépend d’un plan de conscience. Pour ceux qui aiment la viande, qui veulent continuer à manger de la viande, ou qui par occasion ne peuvent pas faire autrement, ne vous mettez pas des culpabilités sur le dos. Évitez simplement la chose.

    Maintenant, essayez de développer chez les autres, non pas la culpabilité de tuer l’animal, mais essayez de développer des idées à propos d’une alimentation nouvelle et non carnée. Car la viande, quoi qu’en pensent les hommes, ne donne pas autant de force que cela. Elle donne de la force c’est vrai, mais une force très primaire, très matérielle, elle donne un feu très obscur, puisque toute l’alimentation est transformée en feu. Mais le corps peut en fabriquer. 

    Quelqu’un qui ne mange que des céréales, que des fruits ou que des légumes, de quelque manière que ce soit, par mutation, peut très bien fabriquer un feu primaire. Il ne faut pas penser que tous les végétariens sont anémiés. C’est ce que craignent la plupart des gens, et avant qu’ils abandonnent cette idée, il faudra longtemps, longtemps donner des preuves.



    Conclusion


    Pour moi, il n’y a jamais de conclusion puisque j’attends toujours la prochaine fois. Étant donné que notre discours s’est surtout centralisé sur la liberté d’être, je voudrais finir sur ce propos, pour que vous sortiez d’ici avec cette notion.

    La meilleure nourriture c’est justement d’apprendre à être libre. Si vous essayez d’être libre, par là même, vous vous détacherez des notions d’alimentation dont on vient de parler, et de manger telle ou telle chose n’est plus un conditionnement. Vous vous laissez attirer par ce qu’il vous faut, par ce dont vous avez besoin éthériquement pour votre santé, pour développer la thyroïde, ou la pinéale et par là même développer des chakras.

    Être libre, c’est se défaire du carcan de la programmation, du conditionnement.

    C’est ce qui fait le disciple, ce n’est pas autre chose. Et c’est dans la liberté que l’homme arrive à être véritablement fraternel, à être amour. Parce que le conditionnement est toujours une agression. C’est pour cela que la société actuelle est stressée, parce qu’elle est agressée par tous les conditionnements possibles, par les slogans publicitaires qui conditionnent la consommation, par la morale, vouloir être beau, être belle, avoir de l’argent pour être respecté ou craint. Ainsi cela crée des agressions psychologiques.

    À force d’être agressé, le mental perd pied. Il finit par craquer en quelque sorte, et c’est ainsi qu’un être, agressé de cette manière, renvoie l’agression sur les autres. Pour avoir la paix, il faut la liberté. Regardez, même sur un plan politique, la chose est vérifiable. Dans un pays où la politique est trop contraignante, trop dictatoriale, des cellules se créent pour créer la révolution. Il faut la liberté. Lorsque le monde sera libre, il sera en paix, et pas l’inverse.


    La liberté appelle la paix. Soyez libres dans votre esprit et vous serez heureux et paisibles dans votre cœur. Soyez libres dans votre esprit et vous créerez autour de vous la paix. Sans cela vous créerez la guerre.

    Je vous salue.
     

     

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  • Question

    Il nous a été dit que, dans les constructions nouvelles, des matériaux de synthèse peuvent être créés avec les mêmes propriétés bénéfiques que les matériaux naturels. Dans quel sens faut-il orienter nos recherches et nos créations pour utiliser ces matériaux de synthèse ?
     


    Les matériaux de synthèse doivent être neutres et c’est à ce propos qu’ils peuvent être aussi bénéfiques que des matériaux naturels, qui eux ne sont pas forcément neutres.
     

    Les matériaux de synthèse doivent être fabriqués pour être neutres, comme le sont déjà le plastique et le verre par exemple et toutes sortes de roches forcément. Ce qui compte, c
     ’est d’extraire, des matériaux utilisés pour la construction, tout ce qui peut fixer des vibrations. Il faut que les vibrations circulent et passent. Il ne faut pas qu’il y ait quoi que ce soit pour fixer la vibration, comme justement, tout ce qui est fer à l’origine. S’il y a quelque part du fer dans la construction, il y a une antenne qui n’est pas bénéfique.

     

    Parce qu’une antenne ne doit pas être utilisée de cette manière, il faut qu’elle soit ensuite canalisée pour envoyer l’énergie sur quelque chose. De la manière dont sont utilisés les fers et les différents autres matériaux qui fixent les vibrations, cela devient parasitaire. Parce que toutes les vibrations environnantes se centralisent, s’agrippent sur ces structures, aussi bien les vibrations venant de l’extérieur, que celles résidant à l’intérieur. Il n’y a pas d’aération, il n’y a pas de respiration du point de vue vibratoire.

    C’est pour cela que les bâtiments bâtis de cette façon sont étouffants, dans un sens vibratoire uniquement, parce que rien ne filtre, rien ne peut sortir, rien ne peut entrer, tout est coagulé.L’homme étant, avant tout, un réseau énergétique, un réseau de vibrations, de pulsations qui résonnent avec le cosmos et avec la nature, si on le met quelque part où il ne peut pas recevoir les ondes venant des étoiles, du cosmos, de la nature, il s’appauvrit.

    Ces glandes commencent à s’appauvrir, son système nerveux commence à être exacerbé dans un sens négatif, et ce stress va dépolariser son être. Étant dépolarisé, il va rencontrer la maladie, et la maladie sur tous les plans, selon la faiblesse de l’individu.

    Bien que nous ne soyons pas réellement pour, dès que l’on dit à l’homme retour aux sources, il s’empresse de remettre les vieux sabots de grand-papa et de n’avoir pas plus d’intelligence qu’il n’en avait. Mais il faudrait un certain retour aux sources, avec l’association du positif du moderne.

    Pour faire les matériaux de synthèse, il faut simplement enlever ce qui est parasitaire, et vous avez déjà la capacité de créer des bâtiments de la sorte. Cela existe et a déjà été fait autrefois, et cela n’est pas compliqué. Mais plus tard viendront, plutôt que de nouveaux matériaux, d’autres formes, d’autres équilibres entre les volumes.
    Parce que l’homme s’aperçoit, en fait, que pour faire tenir une construction il faut avant tout juger de l’équilibre de la construction, et d’après l’équilibre à obtenir, les matériaux sont choisis. Ce sont en fait les matériaux qui créent l’équilibre. Jusqu’à présent, c’est ce que l’homme croit, que ce sont les matériaux qui créent la solidité, la cohésion de tous les volumes intérieurs, de toutes les pièces en quelque sorte. Mais c’est une erreur, et tant que l’homme croira cela, il aura recours à des matériaux comme il a recours en ce moment, à des matériaux très lourds, très denses, très fermes, très ferreux, très parasitaires.

    En fait, l’homme ne sait pas encore construire. Il faut qu’il redécouvre ce que déjà dans votre ère d’autres frères savaient, le secret dans la construction des cathédrales. Ils avaient, et ceci non pas par magie, la connaissance de l’équilibre des volumes.

    En sachant jouer avec l’équilibre des volumes, vous allez pouvoir changer les structures et avoir, par là même, des structures plus légères, plus transparentes, plus souples, plus fines, en même temps vous aurez une construction qui respire.

    Toute construction doit avoir la capacité de se dilater, de se contracter, de respirer en fait, de battre au rythme du cosmos et des énergies de la nature, car toute construction doit être un élément qui s’intègre à la nature.

    Si l’élément ne s’intègre pas à la nature, et je ne parle pas du style, je parle tout simplement de la vie même de la construction, la vie des parois, des fondations en quelque sorte, si cette construction ne s’intègre pas à la vie de la nature elle présente un blocage au courant de la nature.
    C’est ainsi qu’il y a dislocation des courants telluriques, dislocation des rayons cosmiques qui pénètrent dans ces maisons, dans ces bâtiments. Ainsi ils sont distordus, et en pénétrant dans la maison ils dérangent les habitants plus qu’ils ne les régénèrent.

    Lorsque vous faites quelque chose de dysharmonieux, comme par exemple une plaque de verre où il reste à l’intérieur de gros grains de sable, où il y a de grosses traces, essayez d’y faire passer le soleil ? Automatiquement le soleil va passer cassé, brisé. Il en est de même avec vos constructions, par rapport aux énergies des étoiles et de la nature.

    Vos constructions ne respirent pas assez . Il faut qu’elles soient comme un poumon transparent, léger. Vous avez déjà les matériaux, mais vous n’avez pas la façon de penser à propos des volumes et de l’équilibre. Il faut repenser la combinaison des volumes, et cela ne vous empêchera pas de bâtir, au contraire, regardez les cathédrales.

    Il faut bâtir avec des formes différentes. Naturellement c’est tout de suite moins commercial, parce qu’une forme ne va pas forcément s’adapter à un besoin. La forme est telle et il faut s’adapter à elle. Or l’homme décide d’avoir tant d’étages, tant de mètres carrés, mettre l’ascenseur ici, la cage d’escalier là, le groupe d’incendie ici. Il faut quelque chose de très précis. Il commande, il crée.
    Il a une attitude inverse à ce qu’il faudrait. L’homme doit regarder dans la nature et faire avec les harmonies et les lois de la nature, alors qu’aujourd’hui, les exigences sont opposées. L’homme contraint la nature pour faire ce qu’il veut. Or l’homme ne fera ce qu’il veut que lorsqu’il sera en harmonie avec la nature.

    Question

    Quelle est la part de responsabilité de l’alimentation dans les maladies dites de civilisation, tels que les divers cancers et de quelle manière faut-il changer l’alimentation ?


    L’alimentation, comme tous les autres sujets, est en correspondance avec le développement humain. Selon ce que vous croyez, selon ce qu’est votre plan de conscience, votre développement, votre religion, vous mangerez en conséquence. Comme l’homme ne sait pas être libre, les dogmes édifient une tradition et l’homme l’entretient.

    L’alimentation devrait être vécue comme un problème d’évolution et de développement cosmique, et non pas comme un problème de diététique.

     

    Lorsque l’on prend l’homme à ses balbutiements, pour régir sa vie, l’homme n’était qu’instincts. Il existe encore certaines tribus qui témoignent de ce que je vais dire. La plupart des hommes étaient des cannibales, ils n’avaient pas la notion de ce qu’était l’aspect du corps, la vie du corps. Comme des animaux, ils mangeaient le corps qui était à disposition, que ce soit celui du voisin ou celui d’un buffle qu’il venait de chasser. Ils ne voyaient que l’aspect viande.

    Petit à petit, l’homme évoluant, avec l’apparition du mental, donc par là même du langage, il est arrivé à juger ce qui était bien, ce qui était mal, à juger ce qui était quelque part acceptable et ce qui était quelque part trop animal, alors il a cessé de manger le corps de ses congénères. Pour les tribus qui n’ont pas évolué, cela peut se remarquer encore dans ce siècle, la tradition est perpétuée.

    À la suite de ce premier changement alimentaire, il s’est intéressé à tout ce que la nature offrait de plus goûteux, parce qu’en même temps que l’on change d’alimentation, on change les réflexes alimentaires. Il faut parfois des générations pour impliquer l’humanité dans un changement de réflexe alimentaire, parce qu’à force de programmer un corps à manger ceci, à manger cela, le corps le réclame comme un fondement même de sa santé.

    Donc, avant toute intervention sur le système d’alimentation, il faut créer des compensations, surtout au niveau du goût. Le goût est le premier réflexe. C’est par le goût que l’homme arrive à guider ses besoins.
    Par exemple, s’il a besoin pour une raison quelconque de santé, de faire entrer un peu d’acide dans son corps, c’est l’acidité qui va être évoquée dans sa bouche. C’est en étant guidé par ce goût qu’il va pouvoir choisir l’aliment juste. Mais avant de pouvoir retrouver tous ces réflexes, il faut qu’il quitte les anciens et là est le problème.

    Donc, l’humanité passe à travers des déprogrammations. Il a fallu l’empêcher de manger le corps de son voisin, maintenant il s’agit de l’empêcher de manger le corps des animaux. Depuis de longs siècles des individus arrivent à équilibrer leurs sources de nourriture, animale et végétale.
    Maintenant pour son développement futur, et pour tout simplement être en résonance exacte, pour être cohérent vis-à-vis des développements spirituels et futurs, il faut que l’homme cesse de manger de la chair animale. Je l’ai déjà expliqué quelque part, mais je vais le répéter pour vous.

    Lorsque l’homme était primitif comme je vous l’ai dit, il était cannibale, et cela n’était pas un péché. Tout simplement le principe était tel que l’on ne pouvait pas demander à un homme animal d’avoir un développement d’esprit suffisamment grand pour comprendre qu’il ne devait pas manger le corps de son congénère.
    Un développement lui a été possible avec l’apparition du mental, donc le jugement possible. Puis une certaine forme de morale, une certaine forme aussi des premières religions a été instituée. Il y a eu respect des corps, et l’homme un petit peu plus humain ne s’est plus occupé que de chasser.

    Cet instinct de la chasse, de manger l’animal est resté dans l’humanité jusqu’à nos jours. La plupart des gens, en fait, mangent la chair animale par tradition. Parce qu’ils ont été programmés étant enfant à manger telle ou telle chose. Leur goût a été éduqué, habitué, à avoir besoin de telle nourriture.

    En fait l’homme n’a pas besoin de viande. C’est tout simplement l’éducation de son goût qui a été construit pour avoir besoin de viande. Quand je dis cette chose, je ne veux pas dire qu’il y a péché à manger de la viande.

    Prenez un homme tout à fait normal, du quotidien, profane, qui vit encore sur un plan astral, il ne commet aucun péché à manger de la viande. Parce que son plan de conscience est tel, qu’il continue à faire partie de la masse des hommes qui, quelque part, est à moitié animale. Donc il continue à faire partie du cycle de la nature pour survivre. Cet équilibre alimentaire est d’ailleurs créé par la nature elle-même.

    C’est pour cela que certaines personnes qui commencent à s’éveiller à la spiritualité se disent: Mais puisque c’est dans la nature, pourquoi l’homme ne le ferait-il pas ?
    Puisque l’animal mange l’animal pourquoi l’homme ne peut-il pas en manger ?

    À ceux-ci je réponds : Fais-tu encore partie du plan animal ?
    Si tu es encore sur ce plan, mange de l’animal, il n’y a aucun problème. 
    Tu fais tout simplement partie de cette grande chaîne alimentaire conçue par l’intelligence pour que la terre soit harmonieuse et que tout son jardin ait un développement harmonieux, sans qu’aucune espèce ne vienne en détruire l’équilibre.

    Chacun dépendant pour sa survie, de l’autre, afin d’entretenir le grand jardin de la terre. Si l’homme fait partie de cette grande chaîne alimentaire, si quelque part il est seulement un élément de la nature, je dis bien un élément de la nature, alors il n’y a aucun problème, car la vie étant un sacrifice, elle accepte volontiers de donner un animal à manger.

    Mais à partir du moment où l’homme veut se développer, où l’homme se dit spirituel, où il commence à connaître certaines grandes harmonies cosmiques, où il n’est donc plus un élément de la nature, mais un fils de Dieu qui doit dominer la nature, alors vous ne pouvez plus vivre avec les principes même de ces éléments. 
    À chaque règne, sa vie. À chaque règne, son plan de conscience.


    Si vous voulez être un fils de Dieu, non pas qu’il y ait péché à manger de la viande, je ne parle pas en ces termes, je dis tout simplement, pour un fils de Dieu, il lui est impossible de sacrifier la vie d’un animal pour renouveler et renforcer la sienne. Parce qu’il est dans son principe de se sacrifier lui-même pour renouveler la vie chez les autres.

    Le Christ n’est pas venu pour vous dévorer tous en disant : j’ai besoin d’énergie pour l’ère qui vient. Parce que vous, vis-à-vis de lui, vous n’êtes rien d’autre que des petites grenouilles et des petits moutons, et les petites grenouilles et les petits moutons vous les mangez bien, vous dites : ce ne sont que des animaux.

    Alors si le Christ n’était qu’un quelconque Gargantua il dirait : « Deux milles cinq cents ans ont sonné, c’est l’heure de mon repas. On va voir un peu sur la terre s’il y a de bonnes cuisses à faire rôtir. » Ce n’est pas ce qui se passe. Au contraire, il vient donner sa vie pour la vôtre. La vie est sacrée et ne pas manger de l’animal, cela ne veut pas dire ne pas commettre un péché, mais tout simplement respecter la vie.

    Il y avait un disciple marchant sur un chemin bordé d’arbres et une colombe affolée vint se poser à ses pieds. Ce disciple avait le don de parler avec le règne animal.
    Il lui dit : « Mais qu’as-tu pour être autant affolée, qu’est-ce qui te fait si peur ? »
    La colombe lui dit : « Il y a là-bas dans la forêt un chasseur qui veut me tuer parce que lui et ses enfants ont faim. Il m’a vue voler, il m’a visée. Alors je viens me réfugier auprès de toi. Sauve-moi. »
    Le disciple prend la colombe, il s’assoit sur le chemin et se met à réfléchir.
    C’était un disciple qui pensait beaucoup. Il se disait : « Voyons, si je sauve la vie de la colombe je vais priver de nourriture toute cette famille. Mais en même temps, si je veux nourrir cette famille je sacrifie la vie de la colombe. »
    Alors il attendit le chasseur en gardant la colombe.
    Il dit au chasseur : « Voilà, la colombe m’a raconté cette histoire, il paraît que ta famille et toi avez faim. »
    Alors en compensation, il projeta son esprit et lui dit d’aller dans tel champ pour avoir de la nourriture et à tel arbre pour avoir du fruit.
    La colombe le regarde et lui dit : « Es-tu sûr qu’il en aura assez pour toute sa famille. ? »
    Ce disciple leva les yeux au ciel, regarda Dieu en face et lui dit :
    « Voilà, Seigneur, pour sauver la vie de la colombe, j’ai envoyé le chasseur prendre de la culture et du fruit dans le champ d’un voisin. »
    Alors Dieu lui répondit :
    « C’est bien mon fils car le fruit de la terre se partage, mais tu n’as pas compris une loi. Tu as bien agi, mais il y a une loi que tu n’as pas comprise » et Dieu essaya de l’initier à ce propos.
    — Es-tu prêt à sauver la colombe ?
    — Oui je veux la sauver. Tiens je te donne mon pied.
    — Ce n’est pas assez.
    — Tiens, je te donne toute ma jambe.
    — Ce n’est pas assez.
    — Regarde, je te donne mes bras, Je coupe chacun de mes membres pour sauver la vie de la colombe.
    — Ce n’est pas assez.
    — Alors veux-tu que je m’arrache le cœur.
    — Ce n’est pas assez.
    Alors, Dieu manifesta une grande balance et dit à son disciple :
    — Viens et instruis-toi. 

    Il prit la colombe et la mit sur un plateau, il prit le disciple et le mit sur l’autre plateau et aucun des plateaux ne bougea, il y avait égalité.
    — Regarde, la vie est partout la même.


    C’est en ce sens qu’il ne faut pas manger de l’animal, parce qu’il y a en lui, de la vie consciente autant que chez l’être humain, à un degré différent, mais autant.
    Autrement dit, il ne faut manger de rien, d’aucune chair qui soit alimentée par du sang. Chaque fois qu’il y a sang, il y a conscience sur un certain plan. Donc, éloignez-vous de toute forme de nourriture érigée par le sang et ainsi vous ne commettrez aucun « péché » vis-à-vis des harmonies, de la balance de la vie.

    Maintenant, par rapport à l’alimentation diététique, beaucoup de découvertes doivent être faites à ce sujet. Il faudra aussi beaucoup de temps. Il y a beaucoup de sursis de vie, de longévités qui ont été acquises grâce à l’hygiène. 

    À l’heure actuelle si on laissait l’homme continuer à se nourrir comme il se nourrit il perdrait cette longévité acquise par l’hygiène. Autrefois l’homme étant plus rustre, plus épais dans les vibrations, et faisant partie de ce plan dont je vous ai parlé, il n’y avait pas trop de problèmes à ce qu’il se nourrisse exclusivement de viande, car l’homme vibratoirement est en correspondance avec la vibration même de la nourriture.

    Mais au fur et à mesure, il s’est développé et des exigences sont venues, par exemple l’hygiène. Aujourd’hui l’hygiène existe, mais il reste, entre autres, le problème alimentaire. Ce n’est pas le seul problème qui engendre des maladies et des perturbations, mais ce problème alimentaire dénature la vibration incorporée qui doit régénérer le corps physique.
    Ce qui est ingéré sur un plan physique se transforme en vibrations et va nourrir le plan éthérique, influence donc d’une certaine manière la vitalité éthérique, la capacité de capter le prana et le développement des chakras.

    C’est pour cela que dans certaines religions, certains temples, le Maître demande à son disciple, selon le degré atteint, de faire telle ou telle ascèse, de ne boire que de l’eau pendant tant de jours, de ne manger que tel pain ou tel fruit pendant tant de jours. Parce que la chose ingérée correspond vibratoirement à un changement vibratoire, à une transformation des feux.

    L’alimentation est la bûche qui permet à l’éthérique de se transformer depuis le physique, parce que l’éthérique n’est pas transformé depuis le haut, mais depuis le bas. N’oubliez pas que vous devez remonter. Donc tout est transformé à partir du bas, des efforts du bas. Ce ne sont pas les choses venant d’en haut qui transforment le bas.
    Par rapport à l’évolution typiquement intérieure de l’individu, c’est le contraire.
    C’est par rapport à ce qu’il fait, ce qu’il acquiert, ce qu’il mange, ce qu’il boit en bas, qu’il va pouvoir remonter en haut.

    Sur un plan alimentaire, il faut donc éviter toutes les sources de nourriture animale, comme la viande. Il faut aussi éviter toutes les boissons fortes, donnant des désordres dans le mental, ou échauffant les différents viscères, ce qui perturbe par le système nerveux et les glandes.

    Alors je ne veux pas dire qu’il ne faut pas savoir s’amuser. Je ne veux pas dire que ceux qui pratiquent ces choses ne sont pas des disciples. Mais à un moment donné, si vous le faites trop, sachez, premièrement, que vous portez préjudice à votre développement spirituel, et ensuite, que si vous voulez développer une prise de conscience et une volonté personnelle, il faut tout stopper. Rien ne sert d’acquérir un développement si vous le parasitez par-derrière.

    Il y a encore beaucoup à découvrir à propos de l’alimentation, à propos de ses effets sur le plan éthérique et sur le comportement psychologique, parce que selon ce que vous mangez, vous arrivez à conditionner un comportement psychologique.
    C’est pour cela que certains proverbes existent, tel que : mangez de ceci et vous serez aimable, mangez de cela vous aurez l’air gai. Les anciens ayant été dépositaires de cette connaissance qui appartenait aux initiés en fait, pouvaient dire : selon ce que vous mangez, vous appartenez à tel type psychologique, à tel type vibratoire.

    Les hommes s’embourbant dans une tradition fausse, mensongère, dénaturent leur être intérieur, leur psychologie. De la même manière que l’homéopathie arrive à changer une psychologie, l’alimentation arrive aussi à renverser un vice, à renverser une dépendance que ce soit vis-à-vis du tabac, vis-à-vis de l’alcool, vis-à-vis du sexe, vis-à-vis d’un besoin psychologique.
    Il y a toute une méthode de guérison à adapter par rapport à l’alimentation. Ce qui ne veut pas dire que c’est le remède. C’est tout simplement une complémentarité à d’autres interventions de guérison.

     
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  • S’ouvrir à la Lumière Divine 
    Question :

     Comment s’ouvrir à la lumière divine ? Et pour cela, pouvons-nous utiliser un entraînement pour l’ouverture des chakras, l’éveil des feux de kundalini etc.

    S’ouvrir à la lumière divine. Il n’y a pas de remède ou de solution. C’est pour cela que l’évolution existe. S’il avait suffi de dire à l’homme « fais ceci et tu rencontreras Dieu », depuis très longtemps il serait sanctifié. Quelque part et quelque fois, même si l’homme le veut, il ne peut pas. Non pas qu’il soit condamné à ne pas pouvoir, mais c’est parce qu’il doit travailler sur lui.
    L’homme pense toujours à acquérir, au lieu de penser à travailler pour acquérir. Il se demande comment rencontrer Dieu, mais il ne se demande pas comment créer en lui, plus de paix. Se demander comment créer en soi plus de paix, c’est devoir se mettre au travail, c’est le travail de l’évolution. On ne peut pas d’un seul coup, faire d’un homme un disciple pour qu’il puisse rencontrer son initiateur. C’est impossible. C’est à l’homme à se faire disciple.

    Il n’y a pas de solution miracle pour cela. Il y a des gens qui suivent simplement, qui ne se tirent pas de la masse et qui ne font pas les efforts qu’il faut. Alors ils suivent les cycles dont on parlait tout à l’heure. Ils attentent la venue d’un certain messie, et ceci, de manière inconsciente. Ils attendent tout simplement que les choses changent. Ils vivent dans un état inconscient, ils dorment, ils ne s’intéressent pas aux choses spirituelles, en tout cas pas de façon intérieure et vivante.
    Ces gens-là vont évoluer par le cycle tout simplement. Ce n’est pas l’homme qui s’édifie parce qu’il a fait l’effort. C’est tout simplement à force de passer dans le torrent, que ce caillou angulaire devient un galet tout rond. C’est la force des étoiles, la force des cycles, qui le modifie.

    Et il y a ceux qui peuvent agir, parce qu’ils le décident. Ils décident de se tirer de cette masse, ils décident d’enlever ces programmations qui sont dans leurs esprits, de devenir libres, d’agir librement, parce que l’homme ne peut rencontrer Dieu que lorsqu’il est entièrement libre.


    À sa grande surprise l’homme s’aperçoit, qu’en fait, il ne rencontre rien. Ce qui ne veut pas dire que Dieu n’existe pas. Cela veut dire qu’il est partout et le chercher quelque part ne veut rien dire.

    Donc, pour ceux qui choisissent de se tirer de cette masse, de ne plus être vécus par la vie, mais de vivre la vie, de ne plus être régis par des conditionnements, mais de se créer une liberté, à ceux-là oui je peux donner, d’une certaine manière, un conseil.

    Aux autres, je ne peux rien donner. Si je donne, ils ne feront pas, ils n’auront pas le réflexe. Il en est ainsi depuis des milliers d’années. Donc, il y a des gens pour qui on peut agir, et des gens pour qui on ne peut pas. Ce qui ne veut pas dire qu’ils ne sont pas dignes. Il faut attendre que l’évolution du cycle se passe. 

    Pour ceux qui veulent agir, comment faire et réagir ?

    Il faut mettre en pratique tout ce qui vous a déjà été donné. Tout a déjà été donné à l’homme. Rien de nouveau ne va pouvoir être apporté, mais il faut que l’homme sache lire, sache regarder.
    Alors rendez votre spiritualité plus pratique en quelque sorte. Essayez de vous développer en tant qu’âme humaine, mais dans le terme humain, véritablement humain. Développez tout ce que le Christ vous a demandé de développer ; l’amour, la fraternité, le pardon, la tolérance, le discernement.

    Quelque part aussi une forme d’abstinence par rapport au monde désordonné où vous vivez, et surtout, une méditation quotidienne, ou une prière quotidienne, ou un branchement conscient quotidien, de façon à appeler sur vous l’énergie de la hiérarchie, et ainsi vous mettre dans le rayon de votre Maître.


    Si vous faites ces choses régulièrement, votre vie va se transformer. Non pas qu’elle sera meilleure, au contraire, elle va devenir plus dure, parce que tout le karma que vous avez accumulé dans d’autres vies va venir vers vous, porteur d’épreuves, pour acquérir une initiation. Il faudra à ce moment-là le prendre et le brûler.

    C’est pour cela qu’il est dit qu’il y aura beaucoup d’appelés et peu d’élus. 
    Ceci se vérifie constamment et à tout moment. Face à l’épreuve, l’homme ne comprend pas que l’épreuve est pour son discernement, pour son détachement, pour son évolution, pour la grandeur de son âme.

    Il se dit : « La vie m’accable, mon ami est méchant, le monde est vil, le monde est violent. Où est passé ce monde idéal ? » Et ainsi il fuit dans les recettes miracles, il suit tel gourou qui lui promet telles choses, ou il se renferme dans des images, dans de l’idolâtrie, par peur, peur de se confronter à une réalité.

    Il faut être très réel quand vous marchez sur le chemin.
     Quelqu’un qui n’est pas réel sur le chemin s’écroule immanquablement, il va dans des voies de garage. En fait, il continue sa vie dans l’illusion, et telle qu’il la vivait dans le monde, il la transporte dans le spirituel, et à un moment donné, tout s’écroule.

    Lorsque la réalité flagrante et lumineuse de la spiritualité appelée par lui, commence à rentrer dans son aura, dans les événements de sa vie quotidienne, il se passe ce qui s’est passé avec la tour de Babel, autour de lui, tout s’écroule. La pénétration de la lumière détruit l’illusion.

    Alors l’homme croit qu’il est détruit. C’est un fait qu’il est détruit, mais il n’est pas détruit lui-même, c’est tout simplement son sac de bêtises, d’illusions, d’attachements, qui est détruit, brûlé. Naturellement quelque part cela fait souffrir, mais c’est tout simplement le fonctionnement de la lumière entrant dans l’individu pour le libérer de toutes ses petitesses, ses noirceurs, ses ignorances et toutes ses bêtises.

    L’homme ainsi nettoyé souffre, parce qu’il doit lâcher. Mais peu d’hommes veulent lâcher, acceptent de lâcher, lâcher une bonne fois pour toutes. Un tel, qui est votre ami au féminin ou au masculin, prend plaisir à faire des faveurs à un ou une autre.

    Naturellement, le conjoint qui observe se sent trahi, humilié, la jalousie s’installe, le stress s’installe, et tout le comportement de l’individu est dénaturé par cette tromperie constante. Il faut lâcher. Je ne dis pas qu’il faut accepter que le conjoint mène ce genre de vie.Là-dessus nous aurions beaucoup à dire, je ne veux pas trancher sur ces choses-là parce que je ne veux pas être moraliste, mais je dis tout simplement qu’il faut savoir trancher. Si la chose ne vous convient pas, (je cite cela comme un exemple des multiples problèmes de l’humanité), eh bien ! changez de vie, changez de conjoint. Un point c’est tout. Vous n’allez pas vous entraîner dans une destruction et une autodestruction à cause d’un fait comme cela. Il faut choisir, donc quelque part il faut lâcher, et lâcher quoi ?

    Lâcher le fait de vouloir prendre une revanche, vouloir reprendre le conjoint, vouloir retrouver l’exclusivité, par exemple. Lâcher aussi la peur d’être sans l’autre, pour des raisons de facilité de la vie, de sécurité pécuniaire etc.

    L’homme doit absolument se prendre en main. Il y a une multitude de cancers de la vie que l’homme porte sur un plan moral, affectif, psychologique, parce qu’il ne veut pas lâcher, parce qu’il ne veut pas trancher, parce qu’il ne veut pas choisir. Alors automatiquement toute sa vie il porte, il porte une croix. Mais qui lui a dit de porter cette croix ? Personne, et il se demande pourquoi le bon Dieu lui envoie ces choses, pourquoi la vie n’est pas plus belle.

    Choisis-toi une belle vie. Qui t’a dit de choisir une vie laide, rude. Choisis ta vie. Si tu choisis ta vie, tu peux rencontrer une belle vie, quel que soit ton karma, quelles que soient tes circonstances astrologiques. Si tu fais le choix, tu seras au-dessus de ces choses. Mais tant que tu subis, tout va te tomber sur la tête, et comme par hasard toutes les misères tombent sur le misérable, parce qu’il accepte.

    L’homme ne doit pas être un rebelle, un révolté. Je ne dis pas non plus cela. Je dis : choisissez votre vie, consciemment, sciemment, avec force, avec logique, choisissez votre destin, et édifiez-le. Il y a beaucoup de gens qui n’osent pas.

    D’abord ils commencent à avoir un sentiment d’insécurité. Ils se demandent de quoi ils vont pouvoir vivre, avec quel argent, quelle situation. Mais qu’importe en fait que vous ayez une situation inférieure, du moment que vous êtes un être libre, un être intègre, un être véritable.Vous vous créez des tas de besoins, et à cause de ces besoins l’homme et la femme sont en esclavage pour continuer à honorer tous ces besoins qui, en fait, vous sont imposés par la société de consommation. Voyez à quel point la chose est stupide.

    Autrefois, ce n’était pas la consommation qui programmait l’être humain, c’était la morale. À chaque cycle, à chaque siècle, il y a un joug sur la tête de l’humain. C’est l’église, la morale, l’argent, la consommation. Mais qu’est-ce que vous allez inventer d’autre. Lorsque vous en aurez assez de porter des jougs, peut-être réagirez-vous.
    Qu’importe d’être pauvre si c’est d’être vous véritablement. Non pas que vous aurez la véritable richesse, je ne veux pas conclure en disant cela, mais parce qu’en étant vrai, en étant des êtres authentiques qui choisissent, qui accomplissent, automatiquement vous allez vers une destinée spirituelle, vers le vrai, vers les harmonies. En étant en accord avec les harmonies, tout arrive, et votre intuition est pure.

    Par exemple si vous vous séparez de quelqu’un qui vous gâche la vie, ou à qui vous gâchiez la vie, parce qu’il y a les deux, et que vous décidez de choisir, de prendre en main votre destinée, de vous édifier parce que vous voulez être un fils et une fille de la liberté et de Dieu, alors pendant quelque temps peut être y aura-t-il des passages à vide, un manque d’argent, de la tristesse, de la solitude.

    Mais profitez de ces moments pour redécouvrir l’essentiel de la vie, avec les bonnes bases. Profitez-en pour vous aligner, pour méditer, pour vous mettre en harmonie, et au jour voulu, si vous faites ce travail, votre guide, les guides vous orienteront. Ils peuvent vous orienter vers le poste professionnel qu’il vous faut, ils peuvent vous orienter vers la personne qui vous prendra en charge, ou vers d’autres facultés qui dorment en vous et que vous ne connaissiez pas avant de faire cette introversion, et ainsi une nouvelle vie commencera.

    Vous ne pouvez renaître, si vous n’acceptez pas de mourir. Vous ne pouvez changer de vie que si vous acceptez d’en enterrer une plus ancienne.

    C’est justement de cela que l’homme a peur, enterrer une vieille vie. Il se cramponne. Il se dit : « Un tien vaut mieux que deux tu l’auras. » C’est ce que se disent les hommes. Je le tiens, celui-là. Je le tiens mon mari, je la tiens ma femme, je le tiens mon poste professionnel même s’il m’en coûte, même s’il m’embête, même s’il me stresse, s’il me fait des ulcères, même si je vais mourir à cinquante ans.

    La peur c’est le cancer du monde, il engendre tous les attachements. La peur d’être seul engendre l’attachement vis-à-vis des autres. L’homme a du mal à s’imaginer vivant seul. C’est qu’il n’est pas assez riche intérieurement, il n’a pas suffisamment de choses à faire rien qu’avec lui-même ou avec les Dieux. Alors il s’attache à telle personne et cette personne devient vitale, ou il s’attache à plusieurs personnes qui sans cesse envahissent le salon, la maison et il n’a jamais un moment de silence pour vivre avec lui-même, se retrouver lui-même. Il ne fait que vivre avec des fuites, à travers des fuites.

    Considérés de notre ciel, ces gens-là sont malades et il faut les soigner, les rééduquer à penser, les rééduquer à vivre, à être eux-mêmes. Si je n’avais que cela à vous dire aujourd’hui ce serait tant mieux. En sortant d’ici, ayez le front dégagé de toutes les vieilles notions qui sont en vous. Finie la vieille morale, finis les vieux principes, finies les humiliations à faire ceci pour obtenir cela. Soyez conscient du fait que si vous faites cela, vous acceptez quelque part de mourir.

    Donc, vous acceptez une épreuve, vous acceptez de passer dans un tunnel, qui réclamera un certain temps avant d’arriver au bout. C’est pour cela qu’il faut la force et faire le choix en toute conscience, et pas simplement sur un coup de joie ou d’exaltation où tout le feu retombe, où très vite l’humain, tout penaud, retourne dans son carcan. Il y a plein de gens qui essaient de se libérer, puis ayant peur, à cause de la solitude et de quelques problèmes qui ne sont que passagers, retournent dans la structure.
    La purification des locaux 

     

    Question

    Quelles seraient les meilleures techniques pour exécuter la purification des locaux ou maisons d’habitations, pour éliminer toutes présences indésirables telles que parties astrales, personnes décédées qui hantent ces lieux ?


    Chaque temple a sa technique. Mais, en fait, il est très facile, puisque nous sommes en occident, de suivre tout simplement la méthode de l’église. Comme je l’ai déjà dit, chaque élément comme l’eau, le feu, le sel, l’huile et tant d’autres, chaque élément a été, par convention, consacré à agir sur tel ou tel plan par rapport à telle créature, dans tel ou tel cas. Tout est très spécifique. Donc il faut utiliser exactement ce qui est utilisé par l’église, ce qui ne veut pas dire que vous devez devenir des prêtres. Mais pourtant, il faut pouvoir faire à la manière du prêtre.

    Est-ce que l’église détient l’exclusivité de la formule ?

    Non, mais parce qu’il n’y a pas trente-six façons de faire la chose. Chaque élément a un pouvoir, un pouvoir intrinsèque, un pouvoir que la nature lui a donné et qui agit. N’importe quel temple, n’importe quelle église connaissant le pouvoir intérieur de l’élément, peut l’utiliser pour agir.

    À l’encontre de mauvais esprits, il faut utiliser le sel.
     Si par exemple vous aviez à exorciser une maison où se sont passées des choses très tristes, alors je vous conseille de faire venir un prêtre. Si c’est tout simplement lorsque vous occupez une maison après quelqu’un ou une famille, vous pouvez utiliser la formule existante avec les mêmes outils.

    Si c’est pour enlever des vibrations latentes dans une maison qui n’est plus habitée depuis très longtemps, alors vous pouvez laver avec le sel et brûler une bougie en priant pour que la lumière descende dans l’habitation. C’est très simple, ce sont des formules qui existent déjà et qui sont, suivant les temples et les églises, plus ou moins identiques. Peu importe, elles sont efficaces.
     
     
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  • Le respir

    Question

    Quel est le sens et le rôle du respir chez l’homme en relation avec les plans psychiques et spirituels ?

    La respiration est un ancrage de l’âme dans son plan physique. Ce n’est pas simplement le symbole de la vie, ou un moyen d’amener de l’oxygène au corps. C’est avant tout le moyen de faire pénétrer l’âme jusque dans son système nerveux.
    Comme je l’ai déjà expliqué, la forme la plus matérielle de l’âme que l’homme peut voir, toucher et véritablement sentir, c’est son système nerveux. Ce qui ne veut pas dire que l’âme réside dans le système nerveux, mais c’est la terminaison de sa vie, c’est sa forme la plus dense que l’homme peut rencontrer.

    Par le système nerveux, donc aussi par les sens, l’âme descend dans la matière, prend conscience, regarde, expérimente, et tire expérience. Sans les sens, sans le système nerveux, l’âme ne pourrait pas venir chercher des expériences. C’est pour cela que j’ai cité le système nerveux comme étant la forme matérielle de l’âme.

    Mais attention, il ne faut pas confondre la vie du système nerveux avec la vie de l’âme. C’est différent. Un individu déséquilibré ne peut pas être aligné avec son âme, parce que tout le système prévu pour la recevoir est dénaturé, déconnecté. C’est pour cela qu’il y a des gens qui sont complètement en dehors de leur corps, en manque d’alignement, le corps astral est d’un côté, le corps éthérique de l’autre. Ce sont des gens de nature dépressive, qui ont été dépressifs ou stressés pendant trop longtemps.

    Quel est le rôle du respir ?

    Au jour de la naissance l’enfant respire et ainsi l’âme entre en lui, et jusqu’à la mort, l’âme et le souffle sont liés parce qu’ils sont de la même nature.

    Tout est respir dans l’univers. Depuis l’entité la plus grande jusqu’à l’entité la plus petite il y a ce phénomène énergétique du respir, et tous les respirs correspondent à des rythmes et à des cycles. C’est-à-dire, que lorsque l’entité créatrice respire, le monde est fait ou défait, maintenu ou changé. Lorsque l’homme respire, il recrée en lui la vie ou la détruit. Lorsqu’il respire pour la première fois il vit, lorsqu’il expire pour la dernière fois il meurt.

    Suivant le rythme respiratoire d’un homme ou d’une l’humanité on peut tout de suite déterminer le type de réincarnation qui est vécue. Donc, selon le respir sur lequel vous êtes fixés, vous êtes en même temps fixés sur une certaine roue, sur un certain taux vibratoire, sur un certain plan, donc sur un certain type de manifestation dans la forme, soit d’incarnation. Ce qui fait que les humains qui respirent souvent au cours d’une heure, ont des vies rapides. Ils naissent vite, ils meurent vite, ils se réincarnent vite etc.

    Lorsque l’on parle du respir on ne nomme pas seulement la respiration. La respiration en elle-même n’est rien du tout. Le respir n’est pas un phénomène humain, et si le phénomène existe sur un plan humain c’est parce qu’il existe sur un plan athmique, dans son âme même, et parmi les plus hautes entités du cosmos. Sur un plan plus physique, la respiration permet comme je vous l’ai dit de faire pénétrer l’âme dans la matière.

    Pour ceux qui méditent, observez ce qui se passe quand vous retenez votre souffle, quand vous vous mettez dans un état où le souffle n’existe plus, remarquez que seule votre conscience existe. Le souffle est ce qui permet à l’âme d’être en connexion avec le monde physique. Retirez le souffle, il n’y a plus cette connexion, il n’y a que pensée, conscience d’être par rapport à votre existence pure et une.

    Le but aussi de la respiration est de rapporter du prana dans votre corps. Parce que si le corps physique a un certain cycle de vie admis par la nature et conçu par la nature, il faut que l’énergie entre en lui, pour perpétuer les divers cycles qui le constituent, et perpétuer la vie de certains organes. Tout est mené par l’énergie. Cette énergie s’appelle le prana.

    Ce prana est une partie du feu de l’univers, du feu sacré. Il entre partout dans chaque aspect de la création et pénètre tous les plans. C’est donc en descendant dans le physique que le prana, feu sacré, feu universel, prend des aspects différents jusqu’à n’être qu’une source énergétique pour la survie de la nature et du corps. Ce prana peut être utilisé efficacement pendant les méditations pour apporter un feu supplémentaire à l’édification de la méditation.

    Vous appartenez à un certain cycle de vie. Si vous vous réincarnez, c’est parce que vos énergies vous donnent une tonalité constituée par les différentes expériences passées, par ce que vous avez acquis ou refusé d’acquérir, par ce que vous avez accompli ou refusé d’accomplir. Vous êtes comme un piano.

    Sur un piano il y a plusieurs touches, chacune ayant un son. Telle touche correspond à la compréhension, telle autre correspond au détachement, telle autre à l’amour, à la fraternité, à la sexualité, et chaque touche correspond à un type de comportement, à un état psychologique. Selon que vous ayez acquis la maîtrise de telle ou telle chose, telle touche va sonner. Si vous l’avez expérimentée et pas acquise, alors, comme avec un débutant, la touche va sonner faux.

    Ainsi l’homme est une gamme de sons, certains sont justes parce que la chose est acquise, et certains sont faux parce que la chose ne l’est pas ou n’est pas encore expérimentée.

    Et comme tout est correspondance, lorsque l’homme se dégage de son enveloppe et qu’il émet tous ses sons, automatiquement cela vous dirige vers le ciel qui correspond, qui est prévu pour tel ou tel rythme de réincarnations.

    Si vous allez dans un ciel assez bas, parce que vous avez encore beaucoup de choses à acquérir et que vous ayez eu de très mauvaises incarnations, troublantes et troublées, vous êtes dans une zone où les gens sont comme dans des ventres, et sont expulsés hors de ce ventre le jour du coup de gong qui correspond au rythme d’accouchement de ce ventre.

    Par ceci, je voudrais vous faire comprendre que dans l’humanité il y a toujours des vagues. À un moment donné il y a des vagues d’artistes, des vagues de meurtriers, des vagues de politiciens, des vagues de psychologues, des vagues d’écrivains. Il y a toujours des vagues.

    Avez-vous observé le phénomène ? C’est à cause de cela, qu’à un certain moment, le plan, qui correspond à un certain rythme d’expulsion, à un certain rythme d’incarnation, expulse, envoie ces âmes en manifestation pour édifier peu à peu l’humanité.

    Ce qui fait que chacun, à participation égale, arrive à édifier l’humanité. Ce qu’apporte une certaine vague, va bénéficier à la suivante, même si elle est plus troublée. Tout le monde, en fait, est porteur de tous les aspects de la manifestation. Quelqu’un peut être artiste à un moment où règne la plus grande violence. Ce qui ne veut pas dire que celui-ci a été accouché avant terme. Il y a aussi certains sacrifices. Encore une fois il ne faut pas tirer des généralités.
     
     
    Les couleurs

    Question :

    Quel est le rôle des couleurs correspondant aux diverses vibrations dans le développement de l’être humain ? 


    De la même manière que l’homme émet des sons, il émet aussi des couleurs. Un son engendre immédiatement une couleur, et sur un plan physique une substance. C’est pour cela, en correspondance avec sa gamme de sons, sa gamme de couleurs, donc les couleurs de son aura, il choisit son enveloppe en conséquence, et manifeste sa destinée.

    Par les couleurs, comment peut-on intervenir dans la vie de chacun ?

    On ne peut pas, par la couleur, développer des choses psychiques, mais on peut en alimenter la vie, et cela se passe par correspondance.

    Nous parlions de l’intuition tout à l’heure. Prenons une intuition très pure, imaginons-la bleue dans l’aura. Elle va correspondre à une note. Quand l’individu va exercer son intuition, la note va jouer dans son aura, la note va résonner tout alentour de lui. C’est ce qui permet aussi aux formes pensées ou à la télépathie d’agir. La couleur va être réveillée, mise en activité. Et si l’individu s’entoure de la couleur qui correspond, par correspondance, l’intuition est favorisée.

    C’est pour cela que l’être humain lorsqu’il se regarde et qu’il croit être ce corps de chair, qu’il croit être les émotions qu’il ressent, la psychologie qui le constitue et qu’il constitue lui-même en acceptant, il se trompe.

    Car en fait il n’est qu’une gamme de sons et de couleurs. Gamme de sons et de couleurs qu’il doit apprendre à clarifier, à rendre belle et à jouer juste. Il faut qu’il apprenne à se peindre et à se jouer en diapason avec les harmonies célestes. Ensuite il n’est plus qu’un seul son et une seule couleur. Il n’est plus que le verbe et le blanc, parce qu’il est l’originel.

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  • L’intuition

    Question :

    Quelles sont les caractéristiques essentielles et du point de vue de l’intuition, comment peut-on percevoir ce qui correspond vraiment à l’ère du verseau, afin d’utiliser nos intuitions dans nos activités quotidiennes ?

    L’intuition est une partie très importante du psychisme de l’être humain, mais elle n’est pas la pierre la plus importante. Si l’humain ne devait avoir recours qu’à ses intuitions pour édifier sa vie, pour constituer sa destinée, faire ses choix, il y aurait de fortes chances pour qu’il se trompe s’il n’y avait pas la participation de son mental, de son jugement.
    Ce qui ne veut pas dire que l’intuition en elle-même n’est pas bonne et que l’on ne doit pas la suivre. Absolument pas. Mais il faut, suivant le type d’individu que vous êtes, vous méfier de l’intuition ou au contraire vous y référer constamment. Tout dépend des énergies qui vous constituent.

    Il y a des individus qui ont la faculté de percevoir les choses de l’au-delà, de l’invisible, mais dont les perceptions sont légèrement brouillées par des émissions non pas parasitaires, comme pourraient l’être des formes pensées venant d’autres humains, mais par certaines puissances de leur thème astrologique qui viennent taper sur leurs perceptions et vont, soit les affaiblir, soit leur donner une nature instable.

    Ce qui ne veut pas dire que tout le monde doit se méfier de l’intuition. Je dis tout simplement, connaissez-vous avant de savoir si votre intuition est à utiliser ou pas. Si vous êtes dépositaire de certaines énergies donnant des doutes par rapport à votre intuition, il faut acquérir ce qui vous manque, le développer par plus de discernement, d’esprit critique, de jugement, ou plus de connaissance.

    Les deux plateaux de la balance étant en équilibre, l’âme, en son milieu, sait choisir dans quel plateau elle doit prendre l’indication. Cela fait partie du développement de l’être humain, de son plan d’évolution.

    La plupart des êtres humains viennent du monde astral, ce qui fait que l’intuition, dans ses manifestations, va être troublée par toutes les manifestations de leur propre astral, de leurs émotions, de l’envergure de leurs pensées, de leur petitesse, de leur étroitesse. Tout cela va se combiner pour créer les filtres par lesquels l’intuition va passer.
    Et que se passe-t-il ?
    Il reste peu de chose de l’intuition. Alors, il faut que l’individu développe un autre état d’être avant de suivre son intuition, pour qu’elle ne soit plus qu’une petite voix intérieure qui résonne.

    Je ne veux pas en disant ces choses, dérouter l’homme et le détourner de son intuition. Je dis attention. Il y a beaucoup d’êtres humains qui font beaucoup trop de choses par intuition et font, ainsi, beaucoup de catastrophes et se méprennent sur beaucoup de sujets. Ainsi avec leur intuition, ils jugent les gens.

    Cette intuition est fondée sur quoi finalement ?

    Sur ce qu’ils vont ressentir de l’autre à cause d’un geste, d’un regard, du timbre de la voix, de la réputation déjà construite, mais rien que l’individu n’ait expérimenté par lui-même vis-à-vis de l’autre.

    Donc l’intuition est complètement conditionnée par ce qu’il sait déjà de la personne, par ce qu’il en a entendu dire. Pour avoir une approche libre dans la vie à propos de toute chose, il faut se défaire de tous les conditionnements.

    Quelqu’un qui ne voudrait vivre que par l’intuition ou comme certains, que par un gourou ou autre chose, ne peut pas avoir une approche libre de la vie. Au lieu de lui permettre de faire chaque fois quelque chose de plus grand, son intuition l’astreint, en quelque sorte, à agir dans une routine tout au long de sa vie, parce qu’il confond subconscient et intuition.

    Une intuition est toujours pure et claire lorsqu’elle se manifeste. Elle vit dans la tête et se manifeste dans la tête, comme un cri, mais un cri sourd qui n’a pas de voix. Simplement l’idée jaillit, et c’est une idée impérieuse qui commande. Plus besoin de réfléchir. Il s’agit presque d’un flash en vérité.

    Alors comment utiliser l’intuition ?

    Il ne faut pas vous appuyer là-dessus, même si quelque part vous avez vu que votre intuition était efficace. C’est un approximatif trop évasif. Au stade où en est l’humanité, vous ne pouvez pas vous permettre de l’utiliser pour pouvoir juger ou même conditionner votre vie.
    Donc, essayez de juger ce qu’est votre intuition et sachez où elle vous mène.

    Pendant toute une période, chaque fois que vous ressentez votre intuition se manifester, que vous entendez une petite voix intérieure, prenez des notes à propos de celle-ci. Faites un véritable répertoire. Puis agissez en conséquence. Ensuite, vous notez si ce que vous avez fait est positif ou au contraire négatif.

    Pour tout, l’homme doit réagir de cette manière, se connaître d’abord, et lorsque vous aurez un répertoire suffisamment positif, alors vous pouvez vous permettre d’utiliser votre intuition. Sinon, je vous le déconseille.
    Utilisez plutôt le discernement. Le discernement peut paraître plus mental et laisser moins de place à tout ce qui est invisible en l’homme. C’est un fait. Mais n’oublions pas qu’un discernement bien élaboré n’empêche pas l’intuition de se manifester.

    Au contraire, plus un discernement s’élabore, plus il permet de purifier la réception de l’intuition. En purifiant, en vous, tout ce qui est mental par l’apport du discernement, de la connaissance, de l’expérience, vous dégagez tous ces filtres qui teintent l’intuition, la dénaturent, ou qui la créent alors qu’elle n’y est pas.

    Donc plutôt que d’utiliser l’intuition, utilisez le discernement. Le discernement n’est pas quelque chose qui maintient l’esprit au niveau mental, donc au niveau de la terre, empêchant l’homme de s’élever dans des régions plus subtiles. Le discernement est tout simplement une édification de l’esprit en l’homme.

    Depuis la connaissance et la réflexion, à force de tirer des synthèses que vous appliquez tout de suite, que vous transformez donc en expérience, vous acquérez une forme d’essence à propos du mental et de la connaissance. C’est cela le discernement. Quand vous voyez des personnes de grandes connaissances, vous vous apercevez en les voyant vivre, en les entendant parler, qu’en fait, elles manquent de discernement. La connaissance n’apporte pas forcément le discernement.

    Ce n’est pas le fait d’appliquer une règle entendue, un enseignement entendu, connu, reçu ou appris. L’enseignement appliqué de cette manière n’apporte pas le discernement, il devient un dogme. C’est pour cela que dans la plupart des temples, les dévots et les disciples non pas forcément le discernement et l’envergure d’esprit. Ils ne se demandent pas en fait ce que cela veut dire, ils appliquent.

    Par les hommes qui ont véhiculé la religion ou la philosophie à travers les siècles, la chose appliquée est devenue la morale, est devenue un dogme. Ce qui fait qu’au lieu d’apporter à l’homme, richesse et grandeur d’esprit, le dogme introduit dans l’homme petitesse, petits jugements, état critique, et maintient l’homme dans le plan qui le qualifie, qui le constitue : le plan astral.
    Plan, dont il doit se dégager absolument pour être un homme libre, libre de tous conditionnements. Le discernement va être sa sagesse, et sa sagesse va pouvoir juger les événements.

    Pourquoi la plupart des gens ne sont pas des sages ?

    Parce qu’ils ont peur par manque de discernement. Ils n’osent pas s’aventurer dans tel ou tel secteur de la recherche, paranormal ou philosophique. Ils n’osent pas essayer telle technique, ils n’osent pas aller voir tel ou tel être, aller visiter tel ou tel autre groupe, parce qu’ils ne savent pas. Dans leur ignorance ils se disent: je m’abstiens. Mais le fait de s’abstenir est motivé par la peur. Or, pour être dégagé de cette peur, il faut que l’homme puisse juger la situation qu’il rencontre, et c’est par le discernement qu’il pourra le faire.

    Donc, comment acquérir le discernement ?

    Ce n’est pas facile, je vous l’accorde, et en parler ne veut pas dire grand-chose, puisqu’un être a le discernement ou ne l’a pas. Le discernement s’acquiert au fur et à mesure des circonstances et des expériences. C’est le cours de la vie qui donne le discernement.

    D’après son comportement et ses réactions, face aux événements, tout un tas de codes se constituent en l’homme. Ce qui fait qu’un individu qui se trouve en train de vivre tout simplement, lorsqu’il rencontre une circonstance, il n’est plus lui-même, il est une ancienne codification, un ancien problème qui ressort. Le cerveau, comme le conscient et l’inconscient, est un immense ordinateur qui vous ressort ce que vous y mettez, ce que vous y laissez entrer. C’est pour cela qu’il est dit : « Qui sème le vent récolte la tempête. »

    Tout dépend ce qui est entré dans votre esprit comme information. À partir de ce moment-là, vous êtes guidés, conditionnés par ces données. C’est ainsi que le discernement est étouffé.
    Alors, au fur et à mesure, il faut que l’homme apprenne à se libérer de ses différentes limites, de ses différents codes pour pouvoir raisonner juste, avec clarté et pour pouvoir réagir en toute liberté. Autrement dit, qui pense libre, agit libre.

    Examinez votre pensée et vous saurez exactement à quel plan de liberté vous êtes. Si en vous il y a certains complexes, si vous rougissez à l’idée de devoir faire telle ou telle action publique, si vous êtes d’une certaine manière troublés à aller voir par exemple un supérieur, ou à l’idée de rencontrer quelqu’un qui fait partie de toutes les castes dirigeantes comme avocats, grands directeurs, etc., si ces démarches créent en vous un trouble, cela veut dire qu’en vous, il y a eu des données qui ont conditionné ce trouble à exister.

    Celui qui occupe un haut poste de la société, n’est pas plus grand, n’est pas plus impressionnant que vous ne l’êtes dans votre garage, ou pour les dames face à votre machine à laver. Un être humain est un être humain qu’il soit président ou charbonnier.
    Pourquoi, entre êtres humains, créer des codes de comportement ?

    Ces codes existent parce que l’homme suffisamment influençable, ignorant de sa liberté et de sa force, s’est laissé programmer. Toute société est fondée sur le fait, qu’un homme peut imposer une image et la faire respecter par les autres. Tout est un jeu d’images dans le monde, et chaque fois il faut une révolution, qu’elle soit vécue sur un plan politique, culturel, sur le plan de l’art ou même de la science.
     
    La science amenant les plus grandes révolutions culturelles et morales, puisque la science est toujours un libérateur des normes d’une société. On ne peut pas acquérir de la connaissance en continuant à véhiculer socialement des idées restreintes. C’est impossible.
    Celui qui découvre un grand principe est toujours un être très libre, en tant que pensée, et très positif. Il ne peut pas en être autrement. Ensuite, ceux qui cherchent tel ou tel détail, ou comment faire arriver telle ou telle découverte, comment produire tel ou tel effet, qui s’occupent des petits détails, ce sont eux qui dogmatisent.
    Je reprends donc l’idée d’images et de projection.

    Dans le monde tout est donc projection d’images et les hommes ne vivent que par ce moyen, ce qui engendre des stress, des dépressions, des complexes, et même des folies, si cela est poussé à l’extrême. Et ainsi les gens se regroupent par ressemblance, et non pas par ressemblance d’esprit, ils se regroupent entre ceux qui ont su accepter de jouer le jeu des projections et des reflets.

    Il faut cesser ce jeu. Le monde, en fait, est pris dans un grand piège narcissique. Tout le monde se projette l’un sur l’autre et espère que l’autre va jouer ce rôle, sinon il devient un ennemi.
    Tous les cabinets des grands psychologues, des grands psychiatres sont alimentés par ce problème. Projection, projection. Cessez de projeter une part de vous sur les autres.
    Si quelqu’un ne vous aime pas tel que vous êtes, allez voir ailleurs. Savoir être soi-même est quelque chose de très difficile, parce que la plupart des gens vivent avec des complexes, des insatisfactions, des stress, alors ils ont besoin de se construire, de jouer un certain personnage.
    C’est là le début de la folie, même s’ils paraissent sains d’esprit. Il faut être intègre, osez ce que vous voulez être, parce que c’est vous, et non pas un personnage construit pour avoir accès à tel rang de la société, ou pour être aimé de telle ou telle personne. Soyez authentiques.
     
     
    Le rôle du Christ

    Question :

    Quel est le sens occulte du rôle du Christ pour réaliser le plan divin et quelle est la signification ésotérique de la crucifixion et de la résurrection ?

    Tout repose sur le Christ, pas tellement besoin de se demander quelle est sa participation, elle est totale. Rappelez-vous ce qui a été dit dans le livre sacré. Nul n’ira au Père sans passer par moi. Alors il faut définir qui est le Père, et lui qui est-il ? Et ainsi vous connaîtrez tout le programme de la hiérarchie en fait.

    Le Père, comme je l’ai déjà dit si souvent, est le logos planétaire, c’est-à-dire cette entité cosmique qui contient la planète. Il lui donne toutes les formes de vie, il contient l’humanité, et il est la source de l’âme de chaque individu.  
    Cette grande entité, même si elle est capable de créer toute chose comme par exemple un minéral, une cellule dans votre corps, ne peut se manifester dans son entier. Son approche trop intense brûlerait les différents plans éthériques de la planète et de l’humanité.
    Alors à chaque ère, étant donné que tout est cycle dans l’univers, à chaque coup de gong cosmique qui détermine la fin et l’entrée dans un nouveau cycle, une entité spirituelle apparaît, porteuse du plan pour l’ère qui vient, et donne ainsi un rituel, une philosophie, une religion et un système initiatique.

    Vient donc cette entité, le Christ, appelé différemment suivant les religions, mais qui est toujours le même être. Le Christ est l’intermédiaire entre l’unique initiateur, soit le logos planétaire, ou votre père, et l’humanité à initier. Parce que l’humanité, au travers des cycles, essaie d’acquérir les différentes initiations pour arriver à l’initiation solaire.

    Mais avant d’arriver au point où l’humanité va rencontrer l’initiation solaire, où donc elle va rencontrer son père, elle doit passer par des tas de petites initiations, planétaires ou terrestres, données par les différents guides, les différents Maîtres et données par le Christ.
    Lorsque le Christ initie un homme, cet homme peut être, dans un prochain cycle, présenté au père pour recevoir sa première initiation solaire, et change ainsi de hiérarchie. Cette âme n’est plus surveillée par la hiérarchie planétaire, elle est sous la surveillance de la hiérarchie solaire. Il n’y a plus de manifestation dans la forme, sa vie se situe à l’état de la conscience, cela reste possible, mais n’est plus exigé pour évoluer.

    Donc, qui est le Christ ?

    Il est l’intermédiaire entre ce logos initiateur et l’humanité. Il est le relais, le transformateur en quelque sorte.
    C’est pourquoi il a dit, nul n’ira au Père sans passer par moi. Parce que si vous pouvez rencontrer et supporter le Christ, vous pourrez rencontrer et supporter le Père. Mais qui ne peut supporter et rencontrer le Christ, ne peut aller au père, parce qu’il serait brûlé, son âme elle-même serait atteinte.

    Le Christ est aussi le chef de toutes les hiérarchies qui entourent la planète. Lorsqu’on parle de la hiérarchie planétaire, en fait, cela ne veut rien dire, car il y en a plusieurs, qui sont toutes chapeautées par un seul et même être qui est le Christ.

    Pourquoi plusieurs hiérarchies ?

    C’est d’abord parce qu’il y a plusieurs civilisations, plusieurs niveaux de civilisation, plusieurs races. Chaque race, chaque niveau de civilisation a son groupe de Maîtres, chapeauté par le Maître de la véritable hiérarchie. Ensuite, venues d’autres planètes, différentes petites hiérarchies s’occupent des affaires terrestres, puisque tout est échange, tout est relation et correspondance.

    Et puis il y a d’autres hiérarchies, d’autres créatures que l’homme connaît moins, qui sont les Dévas et tous les esprits de la nature. Cela aussi représente une hiérarchie, qui évolue en elle-même, pour elle-même, et en essayant aussi d’accomplir un changement sur l’humanité.

    Il y a une hiérarchie pour chaque type, depuis l’élément terre, l’eau, l’air, le feu, et toutes ces hiérarchies sont surveillées par des Maîtres ayant atteint un état de Bouddha éveillé.

    C’est à ce moment-là que commence la véritable hiérarchie, celle qui est véritablement efficace, qui dirige, alors que les autres exécutent et servent de relais pour l’exécution.
    Au-dessus de cela il y a le Christ. Mais il n’y a pas que lui, il est une sorte de chef suprême. Entre autre il y a lui, disons le plus actif, parce qu’il est celui qui est extériorisé. Il est celui qui est devenu exotérique alors que les autres sont restés ésotériques. Les autres naturellement je n’en parlerai pas puisqu’ils veulent rester dans l’ombre.

    Pourquoi ce secret ?

    C’est parce que l’efficacité même de leur action réside dans le silence. Vous pouvez concevoir qu’il y ait des gens préférant le silence, ne serait-ce que pour la production d’une belle œuvre, ils ont besoin de se concentrer. Le type de travail de ces êtres-là, réclame un silence total. Autrement dit, ils sont inconscients de ce qui se passe véritablement à l’extérieur, mais ils émettent constamment une certaine vibration qui permet de maintenir le plan, d’effectuer le plan. Ils sont la source même de la vie, la source même de l’évolution.
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  • Le karma 

    Question :

    Qu’elle est la signification du karma ?

    Comme je l’ai déjà dit, le karma est un moyen d’enseignement. Ce n’est pas une épée de Damoclès placée sur la tête de l’homme. La nature est le plus grand Maître. La nature, et toutes les lois de la nature sont la manifestation physique de votre Père. Vous voyez donc à quel point il est important de respecter sa chair, ses arbres, ses rivières. Toute la terre est sa manifestation, comme votre corps physique est la manifestation de votre âme.

    Donc, les lois de la nature sont tout autant porteuses de la vibration du logos planétaire que s’il était présent devant vous, mais à un degré vibratoire différent, puisqu’il s'agit de manifestation sur un plan physique.

    Ce logos réside d’ailleurs dans des endroits de la nature bien spécifiques. L'homme suffisamment évolué, suffisamment bon et grand, peut entrer en contact avec lui. Et lorsqu’il se montre,  il ressemble à un de ces esprits que l’on pourrait confondre avec un esprit de la nature, parce que justement il est enfant, joueur. C’est normal, parce que le fonctionnement même de la nature est un jeu d’enfant. Tout est jeu, en fait, dans l’univers. Il n’y a que les hommes qui ne rient pas.
    La nature étant le Maître le plus direct vis-à-vis de l’homme, selon ce que fait l’homme, cela va être enregistré dans la mémoire de la nature, et à un moment donné, la mémoire va ressortir face aux actes de l’homme, à la pensée de l’homme, là où est tout le débit.

    La zone où tout ceci va être engrangé n’est pas dans une quelconque couche du ciel, mais dans chaque cellule de l’homme. Étant donné que son corps physique est un élément de la nature, lorsqu’il crée une pensée bonne ou mauvaise, lorsqu’il crée un acte bon ou mauvais, il soumet toutes ses cellules à effectuer ou à penser la chose et il codifie dans chacune des cellules ce qu’il a fait ou ce qu’il a pensé. Ainsi l’homme porte sa vie, porte son karma tout autant dans les cellules, que dans les chakras et dans sa mémoire.

    Certaines personnes qui ont mal vécu cette vie-ci ou des vies passées, regardez comme elles sont arasées, tout leur corps accuse le poids du problème, qu’il soit psychologique, qu’il soit un vice, qu’il soit une maladie.
    Il faut donc, jusque dans la cellule physique, purifier le taux vibratoire. Tant que vous n’avez pas un corps sain, vous ne pouvez pas espérer que votre âme fasse une véritable émergence.
    C’est impossible, parce qu’il y a confrontation. Le code est enregistré en premier dans la cellule physique, envoyé ensuite dans le chakra, généralement le plexus solaire, puisque dans le plexus solaire est la mémoire présente et passée de l’individu. Ensuite, cela est réparti selon la nature du problème dans le chakra qui correspond à la zone du problème.

    C’est pour cela que, selon la maladie que vous avez, on peut tout de suite déterminer quel type de problème vous avez. Tout trouve ensuite sa place. Si la chose peut être expérimentée, d’une certaine manière purgée et en bénéficier tout de suite, alors, le karma est immédiat.

    Si l’individu ne peut pas comprendre la leçon, en obtenir le bénéfice tout de suite, parce que plus tard il y aura un meilleur usage, alors la chose est comme stockée dans sa mémoire, et lorsqu’il meurt cette mémoire persiste. Lorsque l’individu se réincarne, la mémoire retrouve son activité, redistribue l’activité des chakras, le code vibratoire de la cellule qui était dans l’autre vie.

    Et ainsi, de vie en vie, des gens perpétuent leurs problèmes, retrouvent la même maladie, retrouvent le même bonheur, les mêmes chances.

    Le karma est donc une affaire d’enseignement et de mémoire qui agit à court ou à long terme selon l’utilité. Parce qu’étant donné qu’il est un enseignement, il ne veut pas faire payer à l’individu quelque chose de mal sur l’instant, comme le voudrait la justice humaine.
    La nature considère avant tout l’avancement de l’individu, et en cela il y a justice, et non pas punition. Alors le Maître sait en combien de vies il doit diffuser le karma.
    Si par exemple, une personne qui mérite une infirmité, devait purger cette infirmité immédiatement, mais qu’elle ne soit pas assez grande et solide pour comprendre et grandir par cette infirmité, le Maître suspend pendant un certain temps le karma, laisse la personne s’incarner afin qu’elle développe quelques points de compréhension, et le jour où cette personne est suffisamment développée, où elle a une chance de comprendre, le karma revient sur elle.

    Mais il y a plus de karmas immédiats, que de karmas à long terme. Parce que les karmas qui sont différés, doivent correspondre aux karmas d’autres individus, et aux karmas de la nation.

    Les hommes se font beaucoup de petits karmas qui n’ont rien à voir avec un karma plus collectif : karma avec d’autres personnes, que ce soit les membres de la famille, les camarades de la profession, ou karma avec la nation ou la terre. Donc les petits karmas qui ne regardent que l’homme lui-même, sont expérimentés tout de suite, pratiquement le jour même. À l’homme de comprendre ou pas. Les autres peuvent être différés.

    Mais quand on parle de karma, l’homme imagine des fatalités, bonnes ou mauvaises. Lorsque l’on pense au karma et que la chose est inébranlable, il y a forcément une notion de fatalité. Mais je ne veux pas que l’homme plie sous cette notion, parce que l’homme est libre. Non pas que vous alliez trouver un moyen de vous libérer ou d’escamoter un karma, Non.

    L’homme étant libre, il doit affronter son karma pour se libérer. Ce dont j’ai horreur et je me bats contre cela, c’est la paresse humaine, liée de fatalité, qu’entretiennent les paresseux, les ignorants, ou les profiteurs.

    L’homme doit être libre dans le sens où il se prend en charge, il fait face à son bon comme à son mauvais karma. Il n’attend pas en prière, que le bon Dieu veuille lui enlever ceci, lui donner cela. Un disciple, un Maître, n’agit pas de la sorte. Un disciple est face à Dieu, face à son Maître. Il le regarde droit dans les yeux, face à face, le dos bien droit, pas fier, mais il est ce qu’il est. Il dialogue, il demande les conseils, il s’en va et il effectue.

    Les Maîtres n’ont pas de considération pour les disciples qui s’humilient, s’humilient, s’humilient, et qui en fait sont plus orgueilleux que les autres.
    L’humiliation face à Dieu, c’est autre chose que de faire acte d’humilité.
    Être humble, c’est être très digne de soi, ne pas confondre avec la fierté. Les gens qui sont humbles ont toujours énormément de respect pour eux-mêmes et pour les autres.


    Un homme qui mime l’humilité et qui n’a pas de respect pour lui-même et pour les autres, n’est pas humble, car il ne sait pas ce que c’est d’être humain, d’être une âme et de se développer. L’humilité n’a rien à voir avec ce que vous imaginez. L’humilité au contraire, c’est savoir ce que l’on est, savoir que l’on est une âme et travailler en conséquence.

    C’est quand l’homme ne sait pas ce qu’il est, qu’il invente des tas de choses et qu’il devient orgueilleux. Comme je l’ai déjà dit, l’orgueil c’est de l’ignorance. C’est un grand humble qui s’ignore et qui est ignorant de son humilité. Humilité, dont il pourra avoir conscience le jour où il devient un disciple véritable.

    Pourquoi les disciples n’ont-ils pas d’orgueil ?

    Non pas parce qu’ils sont de meilleurs hommes. Ils n’ont pas d’orgueil parce qu’ils sont trop lucides. Ils connaissent leur place exacte, leur capacité exacte, la nature exacte des événements et des hommes, et en correspondance à ceci, ils se posent et ils agissent.

    Ils ne peuvent pas imaginer d’être au-dessous ou au-dessus, d’être ceci ou cela, ils sont, un point c’est tout. Et en sachant ce qu’ils sont, ils n’éprouvent pas de fierté.

    Le fait même de sentir leur âme vibrer à l’intérieur d’eux est une nourriture suffisamment grande pour qu’ils n’aient pas besoin de créer de fantasmes. Leur esprit est largement satisfait de sentir la nature de l’âme. L’homme orgueilleux ou fier se crée des fantasmes. Ne sentant pas la nature de son âme, sa nature véritable, il s’en crée une seconde.

    L'homme est orgueilleux, parce qu’il croit à une image qu’il se bâtit, et à laquelle il fait participer les autres, et si les autres n’y participent pas, alors il est blessé, il réagit, et pour se défendre, il attaque.
     
    Conseils pour le groupe.

    Question :

    Nous sommes ici un petit groupe devant vous, quels conseils nous donnez-vous pour essayer de trouver un peu d’équilibre. Quels conseils pour le groupe pour ces quatre jours ?


    Il n’y a pas trente-six façons de créer une union, il faut que vous vous positionniez en cercle, et que vous méditiez.


    Lorsque vous méditez en cercle, il y a un mélange de vos auras qui fusionnent en une seule aura. Il y a provisoirement constitution d’un égrégore qui n’aura pas de longévité dans la mesure où, ensuite, vous êtes tous préoccupés par des sujets différents.


    Lorsqu’un groupe veut constituer une unité, il faut rallier toutes les parties en une synthèse, et ça, c’est la méditation.
    Si vous voulez que ce séjour se  passe de manière bénéfique, avec des intuitions formidables, avec des petits moments d’esprit, avec des perceptions différentes, une attitude de l’âme supérieure, concentrez-vous en cercle, tenez-vous par les mains, (pour ceux qui n’ont jamais médité, peu importe, laissez-vous aller) et vous répétez soit une prière qui convient à tout le monde, soit le Om, au moins trois fois.

    Ensuite, vous visualisez le soleil qui se pose exactement au sommet de la pyramide que vous constituez.
    Et vous méditez, en demandant que chacun soit uni l’un à l’autre, que tout se passe bien, que la lumière vous soit donnée, qu’une compréhension nouvelle vous soit donnée, que la fraternité s’établisse entre vous.

    Puis vous brisez la chaîne. Vous pouvez faire ceci tous les matins, le temps de votre séjour. Une fois suffira dans la mesure où vraiment vous le faites avec conviction et amour.

    Maintenant, la communion qu’il peut y avoir entre vous ne dépend que de votre capacité à aimer et à écouter l’autre. Je ne peux rien créer sur vous pour que ce séminaire se passe bien. Chacun est responsable. Chacun doit savoir écouter et donner un peu d’amour à l’autre. Chacun doit savoir aussi quitter ses grosses chaussures de principes qui font tant de bruit quand on arrive dans une pièce, et qui font tant de mal.

    L’homme traîne des tas d’idées reçues et de principes qui l’emprisonnent et finalement à force d’être emprisonné, il finit non pas par se rejeter lui-même, mais par rejeter les autres. Au lieu d’être libre, il devient esclave et solitaire et il vient demander à Dieu : « Pourquoi est-ce que je ne trouve pas de mari, pourquoi est-ce que je ne trouve pas de femme et pourquoi ceci et pourquoi cela?» Arrêtez de penser de la sorte. La vie se prend à pleine main. Personne n’est là à distiller un peu de bonheur par ci, un petit peu de joie par là.

    Tu veux être heureux, prends le bonheur.
    Tu veux être riche, prends la richesse. Agis.


    Tu es dans le monde de l’action, puisque tu l’as voulu, alors prends l’action, ne subis plus l’action des autres. Les principes doivent partir de vos esprits. N’ayez aucune honte les uns vis-à-vis des autres.

    Parlez même de vos problèmes, que cela ne soit pas seulement un séminaire où vous apprenez, mais un séminaire où vous vous découvrez vous-même. Livrez-vous les uns aux autres, sans honte, sans peur d’être jugés.
    Vous qui allez recevoir la confession de l’autre, ne jugez pas, ne catégorisez pas, essayez de soutenir, de faire aller la personne plus loin dans la compréhension pour qu’elle se détache, se libère d’un stress, d’un problème finalement inutile.

    Échangez-vous, en tant qu’humain, l’humanité qui est en vous. Ne soyez pas des cerveaux remplis, que ce soit de connaissances, de principes, ou de complexes, en train de se confronter.

    Comment voulez-vous que les échanges se passent? Chacun arrive avec son code, ses principes. « Voyons s’il y a quelqu’un qui me ressemble, si quelqu’un pense comme moi. Parce que j’ai raison. » L’homme cherche tout de suite son semblable, et ainsi il constitue très vite un clan.


    Dans les familles humaines il y a très vite constitution de clans par goûts et idées qui peuvent représenter ainsi une force, et quand un individu arrive, il se trouve submergé par la force des autres.

    Ce qui crée les problèmes relationnels, c’est cette force de clan que les hommes forment entre eux. Alors, il n’y a plus de liberté de vivre, il n’y a plus de liberté d’échanger avec l’autre, il n’y a plus moyen d’être soi-même. Parce qu’il faut être comme le clan est, si l’on veut être, si l’on veut vivre, si l’on veut échanger, entendre et être entendu, avoir un rapport.

    Tant que l’homme participera à cette idée de clan, le monde lui-même sera divisé. Le jour où tous les hommes seront capables de faire la paix entre eux, avec le communiste, le socialiste du coin, le capitaliste, le marginal, le drogué, n’importe qui, le jour où l’homme fera cette synthèse, la guerre ne pourra plus exister.

    Donc, entre vous, pour ce séminaire, jetez les armes. Que sont les armes ?

    Vos idées reçues, vos principes, vos fantasmes, exercer une personnalité et montrer que l’on sait ceci, que l’on sait cela. Qu’est ce que ça peut faire ce que vous savez? Vous êtes venus pour échanger, donc échangez, si vous voulez parler, que ce soit dans une idée de donner et non pas d’asseoir votre personne.

    Soyez un peu comme des enfants dans un jardin, pendant ces quelques jours. Sans honte, dévoilez-vous, mais sachez à qui vous dévoiler aussi. Le jeu ne devient bon et permet à la personne de véritablement se développer,  que si elle a en face d’elle, quelqu’un qui, comme elle, a l’intention d’en faire autant.

    Donc, entre vous tous, pour qu’il y ait la communion et la joie, il faut qu’il y ait de l’authenticité, de la sincérité, de l’ouverture. Faites ce que vous voulez, fumez, buvez, peu importe, embrassez-vous, mais que cela soit fait avec responsabilité. Responsabilité. Assumez votre acte. Ne soyez pas vécus par l’acte. Vivez-le.

    C’est à partir du moment où chacun est authentique vis-à-vis de lui-même, qu’il arrive à se maîtriser, à se diriger. C’est quand il n’est pas authentique, qu’il se voile la face, qu’il se dit : « J’ai envie, je ne devrais pas, mais je le fais quand même », qu’il se cache, qu’il a honte, qu’il culpabilise. Alors, à ce moment-là, il devient esclave.


    Lorsque vous assumer la chose, vous pouvez en même temps la maîtriser.

    Mais qu’est-ce qu’assumer la chose?


    Cela veut dire se regarder en face, sans penser avoir honte ou avoir de fierté. Après, c’est à vous de choisir si vous voulez vous arranger ou rester tel quel. S’assumer, ne veut pas dire que vous allez devenir bons, mais au moins vous serez équilibrés.

    Même si vous faites quelque chose de mal, au moins vous le ferez avec équilibre et pas comme des faux jetons, qui ensuite se créent des tas de complexes et de culpabilités qui encrassent votre subconscient et votre inconscient, et qui créent par là même des problèmes aux autres.

    Si vous voulez être méchants, soyez méchants, mais soyez conscients que vous êtes véritablement méchants. Mais, si le fait de prendre conscience que vous êtes méchants cela vous permet de dire: « mais si je changeais ?» Alors le fait d’assumer, va être un tremplin d’élévation. Mais que vous choisissiez de changer ou pas, faites ce que vous faites sans vous cacher vis-à-vis de vous-même. Soyez authentiques.

    Je vous souhaite d’effectuer en vous toutes les transformations qui vous permettront d’être véritablement disciples, d’avoir conscience de votre esprit comme on me le demandait tout à l’heure.


    Je vous salue
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  • La signification du feu 

    Question :

    Quelle est la signification du feu, globalement et en relation avec l’homme ?

    Cela dépend de quel feu on veut analyser. Car si l’on prend le feu dans le cosmos, le feu sur la terre, ou d’un rituel, sa nature n’est pas la même. Et pourtant c’est le même feu, mais son degré vibratoire est tellement différent, que sa nature est complètement changée.

    Dans le cosmos, il y a le feu, que l’on dit sacré, qui a trois aspects. L’aspect qui concerne plus principalement la terre dans sa vie et sa vitalité, c’est la chaleur du feu. C’est la chaleur du feu qui est créatrice de vie.

    La chaleur du feu cosmique est une sorte de substance, qui arrive à se développer, qui arrive à gonfler, à prendre du volume, et dans cette substance, étant donné qu’il y a mouvement, il y a création d’un feu inférieur à lui-même.
    C’est-à-dire que, dans ce feu, se créent les premiers atomes de la vie. C’est dans la chaleur du feu qu’est la réserve des atomes, base même de toute la vie manifestée, parce que la chaleur est comme une matrice.

    C’est une substance, et c’est aussi une matrice. Un jour, ce feu avec son total d’atomes créés et en même temps non créés, (parce qu’ils sont créés à l’état de principe et non pas créés dans l’état qu’ils auront lorsqu’ils seront jetés dans la forme), s’approche de l’intelligence qui va diriger la forme, et va être absorbé, inspiré par le mental d’une entité supérieure, que vous appelez le logos planétaire, ou solaire, cela dépend si l’on parle de la création d’un système ou d’une planète.

    Lorsque cette entité va extérioriser le feu sacré, ce qui va sortir, ce n’est plus une substance chaleur, ce sont au contraire des millions, des millions d’atomes devenus solides, devenus institués, structurés, et, étant passés par l’intelligence de cette entité, connaissent ce qu’ils doivent exécuter comme forme. Ainsi se créent des formes.

    Lorsque l’on prend le feu dans le sens initiatique, ce feu-là est révélateur, il doit être la lumière. Il est la puissance de l’ordre. Puissance, en tant qu’intelligence, en tant que mental, capable de conception cosmique.


    C’est le même feu qui réside en vous, au niveau de tous les chakras, c’est ce feu qui rayonne par le chakra de la tête lorsque l’individu devient illuminé. C’est ce même feu qui dirige les éléments lorsque l’homme domine par son avancement. C’est ce feu-là qui guérit, qui va créer toute chose. C’est ce feu que vous avez mission de développer et de maîtriser en vous.

    Le feu que l’on peut trouver pratiquement sur tous les autels, pour les rituels, que ce soit pour les rituels de magie blanche ou de magie noire, ce feu physique a un rayonnement dans les plans subtils. Il purifie, mais il ne va purifier, que si l’intention de celui qui l’allume est de purifier.

    C’est-à-dire que le feu en lui-même ne comporte rien de spécial, il ne comporte pas de programme, il n’est pas structuré, mais il va prendre la couleur de l’intention de celui qui allume la flamme. Il sert de support à l’incantation.

    Lorsque  vous allumez une bougie, vous allumez un feu pour transporter votre message, votre incantation, jusque dans vos plans subtils, là, où le feu, justement, par son rayonnement, a accès.
    Attaché à ce feu, il y a une multitude d’esprits. C’est pourquoi selon l’intention de faire le bien ou le mal, vous allez obtenir la collaboration de bas ou de hauts esprits, qui eux-mêmes vont faire soit le bien, soit le mal.

    Donc tout dépend de votre couleur intérieure. Si vous allez utiliser ce feu pour appeler un archange ou si vous allez l’utiliser pour appeler un autre esprit et l’envoyer faire le mal.

    Le feu est avant tout support comme n’importe quel élément, que vous preniez du sel, l’huile, le charbon, l’encens. Chaque élément est un support qui correspond à une hiérarchie d’esprits qui a été attachée, soit depuis la création du monde comme c’est le cas pour le feu, pour l’eau, soit ensuite par convention, comme c’est le cas pour le sel, pour l’huile.

    Le sel et l’huile en eux-mêmes ne sont pas les terminus d’une hiérarchie d’êtres spécialisés. Mais à cause de leur type vibratoire dans le monde subtil et par convention d’un initiateur et d’un initié, c’est toute une hiérarchie d’esprits qui travaille grâce et à travers le sel et l’huile.

    Pourquoi dire qu’un élément est comme le terminus d’une hiérarchie d’esprits?

    Il faut imaginer le plan physique comme étant une sorte de cul-de-sac en quelque sorte, un terminus de toutes les énergies cosmiques, galactiques, aboutissant finalement à quelque chose de physique, comme cela se passe sur la planète terre.
    De la même manière que vous avez les innommables, les archanges, les Maîtres, les guides, les désincarnés et l’homme physique, vous avez toute une hiérarchie d’esprits, qui, chaque fois subdivisée, arrive à être un élément, se présentant à vous sous une forme physique. Ce qui ne veut pas dire que ces formes-là existent telles qu’elles sont apparues.

     


    Ces formes existent avant tout en tant que vibrations qui se révèlent au contact de l’esprit humain sous la forme déjà décrite de gnomes ou de lutins, de petites fées ou autres. C’est l’esprit de la chose, l’esprit de l’arbre, c’est l’esprit de la terre ou du grain de terre. C’est l’esprit de la fleur, qui selon la nature aussi bien biologique, chimique, vibratoire, extériorise en suite une forme qui  y correspond.

    Pourquoi les gnomes sont-ils comme ils sont, décrits de cette manière?


    Parce que justement la terre est lourde, pesante, endormie.
    Pourquoi les petites fées vivant dans les fleurs sont-elles décrites comme elles le sont?
    C’est parce que la fleur est supérieure. C’est une création supérieure à la terre, à une carotte ou à un poireau. La vibration qui y règne, l’âme qui y règne a un taux vibratoire supérieur, et sa manifestation est en correspondance.
     
    Qu’est-ce que l’Esprit -
     
    Question :
    Qu’est ce que l’esprit, ou comment l’homme peut-il concevoir l’esprit ?

    Qu’est ce que l’esprit, qu’est ce que l’âme, qu’est ce que la psychologie même ?

    Ce n’est pas que la question soit ardue, ce qui est compliqué c’est de faire comprendre.


    Intéressez-vous d’abord à votre psychologie. Vous pouvez penser « je »., vous pouvez ressentir de la peur, du froid, du chaud, de la joie, de l’amour, de la haine. Cette zone-là de votre personne, vous en avez conscience et vous la percevez parce que cela émet en vous des zones émotionnelles. Ces zones émotionnelles vous les avez pleinement développées par le passé, en étant dans d’autres humanités, d’autres civilisations. Donc vous en avez conscience. Vous avez développé une conscience qui vous permet de pouvoir ressentir la peur, l’amour, ou la haine.
    Qu’elle différence avec l’animal? Bien que je ne veuille pas analyser le monde animal en général, car il y a différentes espèces, avec différents plans.
    L’animal, que connaît-il ?

    Il ne connaît même pas la peur, à part si un danger imminent surgit. Il ne connaît que la peur de la mort, mais il ne connaît pas la peur psychologique. Votre peur à vous, il ne la connaît pas. L’amour, il ne connaît pas non plus. Certains animaux domestiques peuvent éprouver un attachement pour le maître, mais ce n’est pas de l’amour.
    C’est tout simplement une dépendance qui fait que l’animal sait que sa protection se trouve auprès du maître. Pour le maître, cela détermine l’amour, mais pour l’animal, l’amour il ne connaît pas. Il n’y a pas de lieu, de place dans le cœur de l’animal, parce que l’animal n’a pas développé les plans qui lui permettraient d’appréhender ces émotions-là. L’homme s’est développé plus loin, alors il a conscience de sa panoplie d’émotions.

    Maintenant, l’homme doit développer un sixième sens, en quelque sorte, qui lui permette d’avoir conscience de sa conscience. Vous avez conscience de vos émotions, de vos états psychologiques, vous pouvez savoir et ressentir que vous êtes complexés ou pas, que vous êtes orgueilleux ou pas, que vous vous sentez très beau ou pas. Tout ceci vous le sentez, vous le vivez, vous en souffrez ou vous en jouissez.

    Mais cela n’est pas de la conscience, c’est de l’astral. C’est une conscience adaptée à l’astral. La conscience c’est cette partie dont j’ai parlé, qui est subdivisée en trois : Intelligence, béatitude, néant,  non-être, ou, si vous préférez, être totalement.

    L’homme a été fourni avec un appareil de sensibilité. Alors, lorsqu’il met la main dans le feu, il a mal, il sait que ça brûle, il peut se rendre compte de cette réalité, connaître la nature du feu. Il dit « cela chauffe, cela brûle, cela est un danger pour moi. Mais cela peut être aussi un réconfort, parce que je peux me chauffer, je peux éclairer ».
    S’il n’y avait pas ce moyen de perception il ne connaîtrait pas la nature du feu. Donc développez en vous la nature de conscience qui vous permet d’être conscients de votre conscience, et vous ne me poserez plus cette question.

    Pour la développer, faites ce que depuis des milliers d’années on vous dit de faire. Développez en vous des choses positives, donnez, aimez, soyez à l’écoute les uns des autres, sachez vous soulager, priez ou méditez.
    Allez dans des lieux Saints et pas des lieux sales. N’allez pas vous vautrer dans des lieux maudits, où, au contraire, tous vos sens, tous vos plans de conscience sont assourdis par des vibrations trop basses.
    Vous aimez le bal, je ne veux pas vous empêcher de vous amuser. Si vous allez au bal, dans des boîtes de nuit, très bien, mais alors assumez que le mois suivant votre amusement, vous n’ayez plus d’intuition, plus de pensée positive, plus d’amour, plus d’écoute.
    Je ne dis pas que s’amuser est mal, mais unissez-vous plutôt entre vous. Louez une salle et joignez-vous avec ceux qui sont de votre même nature. N’allez pas rejoindre ceux qui se saoulent, qui se droguent, qui se prostituent, ceux qui ne pensent qu’à des choses basses.
    Une heure passée avec ces gens-là, c’est comme si pendant dix ans vous n’aviez été qu’un animal, parce que tout ce que vous avez accumulé d’efforts se trouve parasité, et il faut vous nettoyer, vous nettoyer.
    Faites-vous un blindage de lumière quand vous allez dans ces lieux-là. Protégez-vous. Si vous voulez y aller, allez-y un peu comme un missionnaire. Vous vous protégez et vous vous dites : « S’il y a parmi ces gens quelqu’un qui doit être sauvé, envoie-le moi, présente-le moi, que je le sorte de cet état d’esprit. » Si vous y allez de cette manière, alors je vous y envoie, sinon, n’y allez pas.

    Pour développer l’esprit ou la conscience de l’esprit, il faut marcher sur le chemin du disciple. C’est tout le défi et le but de toutes vos incarnations, prendre conscience de votre conscience, de votre esprit. C’est ce qui vous est accordé le jour de votre initiation, l’éveil sur le plan où vit votre véritable conscience.

    À ce moment-là, vous êtes comme raccordés, et  vous n’avez plus conscience de vos mémoires passées, de vos traumatismes, ou de toutes les autres choses, même de ce monde-ci, vous êtes déconnectés et vous êtes reliés aux valeurs et au monde de l’âme, et, ainsi dans ce monde, vous êtes comme un manchot qui se dandine et qui ne marche pas forcément droit.

    Ce qui ne veut pas dire que vous ne comprendrez pas le monde, vous ne deviendrez pas naïfs, mais vous n’agirez pas comme les gens de ce monde. C’est le chemin du disciple, d’acquérir la conscience de l’esprit. C'est tout le chemin que doivent accomplir tous les disciples du monde.

    Comment réaliser ce chemin du disciple?


    C’est simple. Jésus en a parlé, bouddha en a parlé, les écoles ésotériques, les religions en parlent, alors faites ces choses, passez à l’action. Développez, en vous, toute la bonté, la fraternité, le partage dont il est question , et vous aurez conscience de la nature de votre esprit.

    En agissant à l’inverse, vous n’en aurez jamais conscience, et même, vous aurez l’impression d’avoir complètement perdu votre âme. Et justement, c’est tous les drogués, les toxicomanes, tous les perdus, tous les prostitués, qui ont l’impression d’avoir perdu leur âme.

    Plus vous agissez selon les harmonies célestes, selon les lois de la nature et les lois célestes, plus vous prenez conscience de votre propre esprit et de votre âme.

    Tant que vous n’agissez pas en harmonie avec ces choses célestes, avec tous les guides, avec tous les frères et tous les Maîtres, vous n’aurez jamais conscience de votre esprit.
    Même si un Maître venait par pitié, et qu’il vous donne pendant quelques minutes de l’énergie, vous n’arriveriez pas à avoir conscience de votre esprit, parce qu’en vous il n’y aurait pas la grandeur nécessaire pour pouvoir contempler l’immensité de votre esprit.

    Vous seriez comme un myope à qui on aurait retiré ses lunettes, il ne verrait pas plus s’il était devant Versailles ou  devant un taudis. Le Maître n’ajoute pas une vision supplémentaire, une vision plus grande. Le Maître donne la vision dont vous êtes capables, parce qu’il y a des choses qui sont en vous, en tant que potentialité, que vous travaillez encore, vous n’en avez pas acquis véritablement toute l’envergure.

    Mais le potentiel est là, et bientôt il arrive à être plein. À ce moment-là apparaît le Maître, apparaît une forme d’initiation, et cela est généralement plus invisible que visible. On pourrait croire que l’homme a bénéficié de l’acte d’amour du Maître. Mais il n’en est rien.
    Le Maître ne donne rien que l’homme n’ait déjà mérité, non pas que le Maître soit sévère, mais ce serait donner à quelqu’un qui n’est pas prêt pour recevoir.
    Si vous parlez à un sourd, vous ne risquez pas d’être entendu. Il en est de même pour la lumière, pour l’initiation. Certains veulent l’initiation à tout prix. Ils se disent : Je veux être initié, je veux faire ceci, je veux faire cela dans cette vie, il faut absolument que je décroche mon initiation.

    L’intention est bonne, mais le comportement est enfantin. Ne cherchez pas l’initiation. Vivez comme un disciple et vous les aurez toutes. Si vous cherchez quelque chose, vous ne la trouverez pas, mais si vous vivez comme un disciple, vous trouverez toutes choses, mêmes celles insoupçonnées, celles que vous ne connaissez pas et que vous n’aurez pas eu l’idée de réclamer. Du moment que vous agissez, que vous vivez comme un disciple tout est donné.
    Donc, ne cherchez rien, soyez. Ne demandez rien, agissez.
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  • Les énergies reçues actuellement-
    L’intuition -

    Question : 

    Depuis 1983, nous avons reçu du cosmos des énergies très dures, extrêmement intenses, qui semblent être en relation avec l’Ère du verseau à venir. Considérez-vous que cette période est terminée ou au contraire qu’elle va s’accélérer encore dans le futur ?

    Vous parlez d’énergies reçues depuis peu, comme une sorte de fondation creuset à l’état vibratoire, afin de faire naître un nouveau monde, en tout cas un nouvel homme. Depuis toujours des énergies se déversent, et pas seulement celles des planètes, mais aussi celles des constellations et des centres cardiaques, c’est-à-dire des soleils d’autres systèmes.

    Ce qui fait qu’à une époque, un de ces rayons devient agissant, qu’il soit apparenté à une planète, à une constellation, à un centre cardiaque, ou à une autre galaxie,  c’est à cause du filtre que les Maîtres, enlèvent pour laisser passer le rayon. C’est un peu comme une maman qui, pour protéger son enfant dans le berceau, mettrait un filtre différent aux différentes heures du soleil dans la journée.

    À la naissance elle le recouvre des filtres qui correspondent à chaque heure du jour. Puis grandissant, au fur et à mesure elle enlève les filtres, jusqu’à ce que l’enfant puisse recevoir, de pleine face, le soleil dans son entier.
    Il en est de même pour l’humanité vis-à-vis des énergies, que ce soit celles des planètes ou des constellations.

    Est-il vrai qu’une énergie plus forte, du style épuration se déverse aujourd’hui ?


    Je dirais oui, et elle est même tripartite, puisque la partie à éveiller chez l’homme est justement une notion tripartite. Il faut faire joindre l’esprit à son physique, relier l’âme à son esprit, afin de faire un homme différent, inspiré à tout instant.


    Il ne s’agit pas de créer une nouvelle religion, cela, je l’ai dit, il n’y aura pas de nouvelles religions, un nouvel état d’être simplement. L’Ère des religions est passée, le cycle qui était composé par les religions est achevé, il n’y en aura plus sur la terre.

    Maintenant, il y aura la recherche des réalités du monde et du cosmos. Chercher la réalité, la trouver et l’intégrer, sera la seule quête de l’homme nouveau.
    L’homme ne cherchera pas à appartenir à une école, qu’elle soit initiatique ou religieuse. Il ne cherchera pas, son Maître, son gourou, son Dieu. La philosophie sera elle-même dépassée, et à la place, il y aura la connaissance alchimique du monde.


    Connaître l’alchimie, c’est quelque part philosopher, mais c’est philosopher sur des bases de réalités cosmiques, et non pas dialectiquement. Créer en l’homme une nouvelle synthèse, c’est créer un nouvel homme.

    Est-ce que cela se fait par l’apport des énergies ?

    Oui et non. Attention, jusqu’où faut-il interpréter cela?
    S’il est vrai que tout peut être dirigé par les astres, il n’est pas vrai que les astres dirigent tout. S’il est vrai que leurs énergies peuvent tout créer sur la terre, les cycles, les révolutions, les maladies, il n’est pas vrai qu’elles créent directement cela. C’est dans la confrontation de deux états vibratoires, que la chose réalisable par le rayon, l’énergie de la planète, de la constellation, se manifeste dans le physique.

    Ainsi, si une humanité a un taux vibratoire très bas, et que vous faites émerger le rayon d’une planète, qui, dans son degré vibratoire, est spécialement épurateur, alors cette humanité-là sera secouée. Faites émerger le même rayon dans une humanité qui a dépassé le taux vibratoire critique, il ne se passera rien.

    L’astre, la constellation, Dieu, le Maître lui-même n’est qu’un miroir et l’homme, le disciple, lorsqu’il se tourne enfin vers la réalité, se voit tel qu’il est, son image lui est renvoyée et il doit travailler dessus. C’est ce que font les planètes, les Maîtres, les guides, toutes les créatures qui, de près ou de loin, aident l’homme à se réaliser.

    S’il est vrai que cette énergie se déverse à l’heure actuelle et de manière puissante, il ne faut pas imaginer que c’est le spectre de Dieu venu frapper la terre. Non.


    Au contraire il faut imaginer la puissance de cette énergie comme quelque chose de bien fondé qui arrive enfin, et naturellement, cela va perturber la terre et l’homme  dans toutes ses structures, sinon, elle ne serait pas utile.

    En fait, tout dépend de l’homme, tout dépend des racines de l’homme, jusqu’à quelle profondeur astrale les racines sont plantées.


    Plus la racine de l’homme sera enfoncée dans l’astral et plus l’impact de cette énergie va être violent et puissant. Parce que, justement, cette énergie a pour but de dégager l’astral de la planète. Il n’y a pas d’énergie initiatrice sans purification de l’astral de l’individu, de la race, et de la planète.

    Sans cette purification il n’y a pas d’avancement. C’est pour cela que la religion a créé le confessionnal. Naturellement cela a été dénaturé avec le temps. Mais à l’origine, la confession était pour les prêtres, une façon de dégager le plexus de l’homme, de le dégager de son astral. Ainsi ayant donné son lot de péchés, mais en tant que vibrations, l’ayant donné au prêtre, le prêtre par sa prière arrivait à brûler le karma de l’individu. Et c’est pour cela qu’en compensation, l’individu devait dire un certain nombre d’Ave ou de Pater. Parce qu’étant donné que lorsque l’on touche au karma et que c’est une loi de compensation, il faut toujours donner quelque chose en rapport. Et dans ce cas-là, dans cette religion c’était la prière.

    Donc, certaines planètes sont là, parce que telle est la puissance de leur sceptre, pour déraciner de l’astral celui qui, depuis trop longtemps, s’y est assis. Une fois que l’homme est déraciné de l’astral, alors il peut grandir vers les hautes sphères. C’est pour cela que Jésus a dit : « Soyez aussi parfaits que votre père qui est aux cieux. »


    Si les hommes essaient quelque part d’avoir un comportement digne, dénué de basses passions, de bas sentiments, ils ne se créent pas de racines dans l’astral. Ils ont un astral, certes, mais un astral supérieur, qui fonctionne en connexion avec l’inspiration de l’esprit.
    L’astral est un instrument subtil et très utile, il ne faut absolument pas imaginer qu’il doit être crucifié, qu’il doit être éliminé. Il faut l’utiliser dans sa partie supérieure, dans le bon côté qu’il offre à l’homme.


    De toute manière, l’astral est un passage pour l’humanité. Un guide, un Maître, n’a plus de plan astral, plus de corps astral, plus de sensibilité astrale. Tout s’est transposé dans le monde de l’esprit.

    Tous ces corps qui sont des intermédiaires entre l’esprit attaché à la matière et l’esprit uni dans son soi supérieur, sont des enveloppes qui disparaissent complètement une fois le chemin accompli. Toutes ces enveloppes sont transitoires autant que votre corps physique peut l’être, c’est pour cela qu’il doit subir des purifications.

    Tout ce qui n’est pas transitoire est donc éternel et n’a pas à subir une purification, leur nature est pure lumière. Ce qui est fait avec des substances non réelles, non pures, ce sont justement les différents corps développés à partir de la matière, comme le corps astral, le corps éthérique. Ils sont tous périssables et doivent subir la purification. Quand je parle de purification, je veux dire que cela doit être mis sur le même taux vibratoire que la réalité suprême qui réside en vous.

    Pour en revenir à cette énergie, vous ne devez ni y penser, ni philosopher sur elle, ni la craindre, parce qu’il y a des énergies plus puissantes que celle-ci. Vous ignorez le total d’énergies qui peut exister dans le soleil.

    Vous aimez le soleil, et vous ignorez à quel point cela peut-être un instrument dangereux, et pas seulement pour la peau lorsque vous vous exposez trop longtemps pour bronzer. Je parle au sens spirituel. Vous craignez certaines planètes à cause de leur aspect, comme vous dites, maléfique, brutal, ou initiateur. Le soleil est à craindre au-delà de toutes les planètes, parce qu’il est l’énergie suprême.


    Je vous le dis, si vous voulez être logiques, ayez peur avant tout du soleil. Et que dire alors des autres constellations? Si vous devez craindre aussi les autres constellations, vous ne cesserez de trembler, car leur action est constante, patiente.

     


    Il faut dégager l’homme de toutes les craintes. Il faut qu’il connaisse ce qui est dangereux, il faut qu’il connaisse ce qui est risqué, il faut qu’il connaisse ce qui comporte un certain défi justement. Mais il ne doit pas avoir peur.

    S’il craint, c’est parce qu’il est déficient par rapport à la chose, c’est parce qu’il est inférieur à la chose. Quelqu’un qui maîtrise parfaitement une matière n’a pas peur de rencontrer l’examinateur, il a confiance en lui. Mais quelqu’un qui a des lacunes, tous ses os vont trembler, toute sa foi va s’ébranler. C’est pour cela que, plutôt que  craindre quelque chose, il faut l’affronter, mais pas dans un esprit de défi ou de combat. Il faut l’affronter dans le sens où vous prenez sur vous, vous effectuez ce que cette chose ordonne que vous fassiez.

    Si c’est un bouleversement de vos habitudes, et bien bouleversez vos habitudes. Mais les gens, au lieu de comprendre et d’agir, ont peur que cette énergie leur fasse bouleverser leurs habitudes.

    Question :
    Que peut-on faire pour favoriser l’intuition ?

    Favoriser l’intuition est un acte que vous pouvez et que vous ne pouvez pas développer, parce que cela n’a aucune racine sur le plan physique. Donc il y a peu de chose que vous pouvez effectuer pour développer ce pouvoir, une forme de pouvoir en fait.

    Qu’est-ce que l’intuition ?

    L’intuition est une relation constante que l’homme arrive à établir au fur et à mesure de son développement, de sa souplesse, de sa réceptivité, avec une forme de son moi supérieur.
    Je dis bien une forme, c’est-à-dire celle qui est la plus intelligente. Admettons que dans l’âme vous ayez trois plans ou trois formes.

    La première est toute éternité, toute réalité, c’est elle que vous devez réintégrer à la fin de la course solaire.
    La seconde qui est une sorte de pont. Là où sont justement les béatitudes, les illuminations, les états de Bouddha.
    Et en dessous il n’y a qu’intelligence.


    Donc, la première est d’une certaine manière, néant, puisqu’il n’y a que lumière, sans pensée, ni forme, ni état. Sa première manifestation, donc son deuxième aspect, c’est l’état d’illumination, l’état de béatitude, donnant lieu à un troisième  l’intelligence.

    Cette intelligence peut parfois envoyer des sortes de messages, ou par son omniprésence, arriver à dialoguer avec la réceptivité de l’homme incarné. Cela est possible parce que cette troisième partie de La Trinité est omniprésente dans la vie de l’individu.
    La partie intelligente est celle que vous pouvez arriver à contacter à l’état actuel de votre développement humain, parce que c’est elle qui dirige, qui est omniprésente.

    C’est elle qui récupère la synthèse de vos expériences dans les vies qui se déroulent. C’est elle qui en fait ensuite une forme de nectar, qui sert à s’établir de manière plus consciente dans la vie divine.

    Donc, cette intelligence par son omniprésence dans les différentes couches qui constituent occultement l’homme, arrive à être active jusque sur le plan du subconscient de l’inconscient.

    L’intuition étant un lien entre la partie inconsciente ou subjective de l’homme et sa partie objective. Le tout est de savoir être à l’écoute, de manière à attraper ce qui à un moment donné est envoyé dans l’inconscient afin qu’il devienne quelque chose d’objectif.

    J’ai longuement parlé de l’aspect subjectif et objectif de l’homme pour déterminer ce qu’était par exemple le sommeil et l’état d’activité. Le sommeil étant sa part subjective et son état d’activité étant sa part objective.
    L’intuition se développe uniquement dans la part subjective, la part cachée, occultée à la conscience objective de l’homme, à cause de la constitution du type d’éveil que l’homme a réussi à atteindre jusqu’à présent.

    Pour aujourd’hui tout ce qui vient du monde de l’esprit fait partie du monde occulte, tout ce qui fait partie du monde de l’esprit est caché à l’homme, parce que l’homme ne sait pas retourner vers ce monde-là. Pour l’instant il vit ces polarités comme deux pôles qui s’éloignent, au lieu de les faire fusionner, au lieu de faire fusionner ces deux types d’énergie qui sont en lui.

    L’homme vit sa subjectivité le soir lorsqu’il dort, fait ses rêves, ses déplacements dans l’astral, ses cauchemars, et vit sa partie objective dans la journée, en calculant, en imaginant, en projetant, en désirant. Lorsqu’un individu arrive à un certain développement, il peut faire une sorte de synthèse, et le monde de l’esprit devient pour lui une réalité objective et non plus subjective. Alors l’intuition commence à naître.

    Comment la développer ?

    Tout le monde a un potentiel intuitif d’un degré assez puissant, puisque cette troisième partie de l’âme, l’intelligence, est omniprésente jusque dans la matière.
    Donc, tout le monde est capable d’être à l’écoute du mental de sa propre âme, de l’intelligence de sa propre âme. Ce qui fait que la chose est difficile, c’est que l’homme n’est pas assez à l’écoute, et que lorsqu’il reçoit le message, il ne l’exécute pas forcément, il ne le croit pas, parce que tout ceci se passe dans un laps de temps très court, à la vitesse d’un éclair.

    Une grande ouverture est nécessaire, mais les hommes sont toujours préoccupés par leurs soucis, leurs désirs. L’âme a beau parler, la conscience objective n’entend pas, parce que dans son pays, celui du physique, elle crée un brouhaha terrible. C’est le chantier.
    Imaginez un joueur de lyre dans un chantier. Elle aura beau être sculpturale, elle aura beau être poétique, sa musique ne passera pas. Il en est de même pour le langage de l’âme vis-à-vis de votre conscience objective.

    Si vous faites trop de bruits par vos soucis, vos négativités, vos préoccupations trop matérielles et trop obsessionnelles, par vos désirs, vos manques, vos traumatismes, et tout ce que vous imaginez, alors le langage de votre âme ne peut pas passer, le brouhaha est trop intense, et l’homme se sent d’autant plus isolé qu’il n’arrive pas à entendre.

    Pour capter toute intuition, ou pour effectuer toute méditation, il faut faire le calme, il faut créer en soi le calme, liquider en soi tout ce qui est obsessionnel, faire au moins cela. Si votre esprit est dégagé de tout ce qui est obsession, et traumatisme, alors il y a de fortes chances pour qu’à un certain moment de la journée, où votre réceptivité est plus ouverte, plus silencieuse, l’intuition arrive à passer.

    Ce qui rend aussi l’homme intuitif, c’est lorsqu’il est dans un grand désarroi, lorsqu’il est aux abois et terriblement aux abois.
    Dépassé par son manque de compétence, puisqu’il n’arrive plus à trouver de solution, il crée en lui une grande ouverture. Puisqu’il n’arrive plus à imaginer quoi que ce soit comme solution, donc n’émettre aucun bruit, alors, à force d’avoir été saturé par l’activité d’une pensée qui essaie de trouver une solution et ne l’ayant pas trouvée, la pensée sombre, alors une intuition peut venir.

    Au lieu de passer dans cet état de grande inquiétude, pourquoi ne pas faire simplement le calme, attendre et avoir confiance. Mais il est difficile de conseiller cela, parce que, selon la nature de l’individu, l’intuition perçue va pouvoir être plus ou moins claire, nette et pure. Certaines personnes, malgré un certain développement, ne peuvent pas se fier à leur intuition, parce que l’intuition est voilée par leurs planètes, leur ciel astrologique.

    Certaines personnes ont, soit l’entendement, soit la réceptivité voilée par quelque chose de plus fort, de maléfique ou de néfaste. Alors l’intuition de la personne ne va être fiable à tout instant. C’est pour cela qu’il ne faut pas éditer de nouvelles formules. Il n’y a aucun slogan qui soit universel.

    Nous sourions beaucoup, lorsque, d’une façon universelle, nous vous voyons créer de nouvelles façons de penser, des pensées positives, des pensées ceci, des pensées cela, des comportements ceci, des comportements cela, en disant : « ça a marché pour dix, ça va marcher pour mille ».
    Lorsque ces comportements ne sont pas dirigés spécifiquement, ils créent toujours beaucoup de problèmes chez les gens, parce qu’il y a des personnes qui ont le terrain pour les effectuer et d’autres qui ne l’ont pas.

    Tout est spécifique. Il faut avant tout connaître l’individu. Il ne faut pas imposer quelque chose à un homme. S’il peut écouter lui-même, très bien, sinon, passons à l’analyse de ce qu’il est, de ce qui le compose, et ensuite conseillons, mais pas avant.

    Alors les intuitions, oui, c’est bien beau, je vous dis  écoutez-les, mais n’écoutez pas tout. Essayez d’analyser ce que vous rapporte votre intuition. Essayez d’abord de la canaliser. Espionnez-la et regardez si elle vous apporte chaque fois de bons messages.
    Parce que beaucoup de personnes, vivant plus sur l’astral que sur la voie de l’esprit, même si elles sont orientées de manières religieuses, vont plutôt écouter leur exaltation, leur fanatisme, ou des créatures astrales, et elles vont penser que cela est de l’intuition, mais en fait, ce sont des parasitages.

    Beaucoup de gens se disent envahis d’intuitions, alors qu’ils sont inondés par les fantasmes de leur subconscient, de leur inconscient. Une intuition doit toujours être écoutée, mais, dès que l’homme a nettoyé en lui le chaos, la fièvre, et le bruit.
    À moins de cela, l’intuition ne sera pas fiable. Une fois ou deux elle pourra l’être, heureusement pour lui, mais attention, pas toujours. Plus vous vous nettoyez, plus vous vous épurez, et plus tout ce que vous recevrez, que ce soit par l’intuition ou par autre chose, sera une indication de votre âme ou de Dieu.

    À moins que vous n’atteigniez ce taux vibratoire, il est dangereux d’écouter les petits messages venus de l’au-delà. Parce que les créatures de l’astral, qui adorent parler, envoient sans arrêt des informations pour s’amuser avec les hommes, pour les troubler, pour rire d’eux. Donc, écoutez votre intuition, oui, mais d’abord élevez-vous, nettoyez en vous tout le subconscient qui s’est chargé de tout ce qui est néfaste, traumatisant.

    Comment la développer d’une manière technique, maintenant que nous avons mis au clair la partie purification et élévation ?

    Comme tous les pouvoirs, il faut d’abord développer le feu dans le ventre.
    Tous les pouvoirs n’ont pas leur source dans les étoiles ou ailleurs. Leur source n’est que flamme, et la seule source du feu dans l’homme c’est son centre à la base de la colonne vertébrale.
    Dans ce centre sacré sont tous les feux, tous les feux y dorment, les feux des sept rayons, les feux des sept chakras.


    Donc, lorsque vous voulez développer véritablement un pouvoir, il vous faut d’abord purifier tout ce qui concerne la mémoire de l’homme, et ensuite réveiller ce feu en correspondance avec ce que vous voulez acquérir.

    Pour tout ce qui est de la nature du pouvoir de l’esprit, pourquoi faut-il passer par des respirations, par une technique respiratoire ?

    Dans un premier temps, il faut purifier la matière en élevant son taux vibratoire. Les exercices respiratoires développent dans la cellule même un taux vibratoire supérieur, car pour exercer un pouvoir quel qu’il soit, que ce soit celui de la guérison ou un autre, il faut que la cellule vibre un petit peu au-dessus de celle des humains. Sinon, il n’y a pas d’extériorisation de pouvoir, c’est impossible.

    Mettez une ampoule trop faible sur une douille branchée sur un haut voltage, l’ampoule va éclater. L’ampoule est votre cellule. La lampe votre potentiel de pouvoir. Pour que l’énergie de la lampe puisse rayonner en tant que lumière, il faut que l’ampoule ait la capacité adéquate. Donc, la cellule elle-même doit s’élever.

    Par les respirations, une certaine façon de manger, de boire, ou de vivre, cela dépend de l’individu, de son passé, de ce qu’il a acquis, il va pouvoir développer en lui un certain taux vibratoire. Par ce taux vibratoire, il va permettre au corps subtil, qui correspond au pouvoir à développer, d’avoir l’énergie suffisante pour s’extérioriser.
    Ainsi, le physique sert de dynamo pour ce corps subtil qui aura besoin  d’énergie afin d’exercer son rayonnement, afin de s’exprimer sur un plan physique.

    Par les respirations vous pouvez obtenir tous les pouvoirs du monde, mais de manière illusoire,  de toute façon, si vous n’êtes pas prêts.

    Quand je dis illusoire, cela veut dire que, si vous ne travaillez pas en même temps le plan de conscience qui correspond, si votre âme ne grandit pas en même temps que le pouvoir grandit, vous pourrez exercer le pouvoir quelque temps, mais le pouvoir s’introvertira en vous et vous détruira, parce qu’il n’aura pas assez d’énergie pour pouvoir rayonner.

    Alors, comme une balle retombe lorsqu’on la lance, le pouvoir, exprimé un temps, va rentrer en détruisant la matière. Parce qu’il va lui falloir de l’énergie pour vivre, et de la manière qu’un cancer ronge la cellule physique, (parce qu’il lui faut une cellule pour vivre, il lui faut détruire la cellule pour vivre),  le pouvoir, une fois introverti, va détruire le chakra, qui, lui, va détruire l’organe, et l’organe se verra détruit jusque dans sa cellule, quand cela s’arrête au plan physique. Si cela déborde jusque sur le plan psychologique, alors l’individu peut devenir fou, et pour plusieurs incarnations.

    Donc cela ne me dérange pas que vous développiez un pouvoir, prenez les risques, agissez en conséquence. L’homme a le droit de développer le pouvoir, aucun Maître, même pas Dieu ne peut l’empêcher. C’est pour cela qu’il existe sur la terre des magiciens noirs. Le taux vibratoire se charge lui-même de l’individu en question.
    Mais si vous voulez développer un pouvoir, je vous en prie, en même temps développez un plan de conscience. C’est pour cela qu’en occident, les gens qui pratiquent certains yogas, yogas qui doivent justement développer le taux vibratoire, se trouvent détruits, certains deviennent fous ou malades, parce qu’ils ont oublié toute la partie philosophique de la chose.

    Chaque fois qu’un homme va en Orient et qu’il ramène une discipline, il ne prend que le côté physique et il laisse généralement le côté spirituel. Il en a été de même pour les arts martiaux.
    Il ne faut pas dissocier l’ascèse corporelle, de l’ascèse spirituelle, qui ne vise que l’âme et l’esprit. Parce que lorsque l’homme arrive à développer un certain taux vibratoire par des postures et une certaine façon de manger, il vibre à un certain taux qui correspond à un plan de conscience.
    C’est pour cela que l’homme ne peut pas obtenir un pouvoir sans en avoir l’esprit, parce que cela correspond à un plan de conscience, cela ne correspond pas seulement à un degré du pouvoir. C’est avant tout une conscience, une intelligence. S’il ne fait pas d’abord les abnégations qu’il faut, les changements qu’il faut dans ses vices, dans ses habitudes, dans ses attachements, alors le taux vibratoire qu’il développe, va entrer en conflit avec la nature de son âme acquise à ce moment-là, et va tout détruire. Il y aura une guerre en lui, une friction.

    En même temps que l’homme développe son taux vibratoire par des moyens physiques, il doit en même temps développer la nature, la grandeur de son âme, et ainsi il y a duo et pas duel, il s’élève et se présente devant l’initiateur.

    Tant qu’il y a un décalage, il y a la guerre chez l’homme. Comprenez que le pouvoir n’est pas une énergie, un réservoir dans lequel vous vous servez, quand vous voulez, comme vous voulez, pour faire ce que vous voulez.
    Lorsque vous développez et que vous exercez un pouvoir, en fait, vous exercez une intelligence. L’énergie est de l’intelligence et l’intelligence est de l’énergie. C’est pour cela que chaque fois que l’homme n’arrive pas à développer autant d’intelligence que le pouvoir acquis, il est brûlé. Il retombe à zéro.

    Donc, développez votre esprit, ayez des idées larges. Développez tout ce que les messies et prophètes ont dit que vous deviez développer dans votre âme : l’amour, la charité, la bonté, le sourire, la fraternité, l’entraide, l’intelligence, le discernement, le talent, la compétence, l’équilibre, et en même temps faites vos exercices respiratoires, vos ascèses, et vous verrez que vous vous développerez très vite. Mais tant que vous faites les uns et pas les autres, vous êtes des enfants ignorants.

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  • Question :
    Vous dites que le Maître Sérapis est l’inspirateur de l’art et des artistes en particulier. Les artistes se plaignent aujourd’hui. Ils disent que le Maître Sérapis ne s’occupe plus autant d’eux que par le passé. Qu’en est-il ?


    Y aurait-il du laisser-aller dans la hiérarchie ? Impossible.

    À propos de l’art, j’en ai déjà quelque peu parlé, le problème ne vient pas d’une muse ou du Maître de cet aspect de la psyché, le problème vient de l’intérieur des artistes. La précipitation des énergies provoque des marginaux et provoque des conflits chez les artistes.
     
     

    Il faut bien comprendre que vous vivez une période spéciale à cause de ces précipitations. La particularité de l’artiste qui crée, avec son talent, son inspiration, son thème natal typique, des choses qui sont un peu angoissées, parce qu’à l’heure actuelle la quête le veut, la vie le veut, quel que soit le don qu’il exerce, que ce soit de la peinture, de la littérature ou même de la philosophie, ce don est branché sur la psyché totale du monde.

    En fait, puisqu’ils font partie du monde, ils vont décrire leurs malheurs et aussi les problèmes du monde, et n’oublions pas, à l’heure actuelle, l’intervention hurlante, de la planète Pluton. Cette planète, avec une force titanesque, rentre dans le ventre des hommes pour en faire sortir tout ce qui est dans la bile et le foie.

    Qu’est-ce que la bile et le foie ?

    Le foie est un filtre puissant et la bile est le lieu de toutes les transformations alchimiques des différentes hormones et glandes du corps. Quand on dit enlever la bile et le foie des hommes, cela veut dire faire sortir de ces deux organes filtres et générateurs des vibrations physiques de l’individu, tout ce qui est mal, tout ce qui est en putréfaction, tout ce qui est noir, chaotique, problématique, recherches douteuses.

    Ce qui ne veut pas dire que tous les artistes sont plutoniens, mais cette influence, à l’heure actuelle, est si forte sur la terre, que même l’artiste le plus vénusien sera influencé quand même par pluton et son art en sera perturbé, parce qu’étant donné qu’il n’est pas simplement lui-même, mais qu’il fait aussi partie de la psyché du monde, de la nation, il va sentir cette énergie plutonienne, cette inspiration.

    Alors que font les Maîtres, les muses, et surtout ceux qui s’occupent de ce rayon de la création ? Ils observent.

    Il y a un temps où l’art est un instrument de dialogue entre la terre et le ciel, où il est un révélateur des présences invisibles, des présences de l’au-delà.

     


    Puis vient un autre cycle où l’art est révélateur, non plus du ciel, mais de l’homme lui-même.

    C’est ce cycle que l’art connaît à l’heure actuelle. C’est pour cela que l’art maintenant est si personnel, où l’homme est au centre, alors qu’autrefois au centre de l’art était Dieu ou les anges, où une philosophie avait tendance à aller vers Dieu ou les plans supérieurs.

    Maintenant c’est l’homme qui est au centre de tout, remarquez-le. Dans n’importe quelle littérature, dans n’importe quel art, l’homme, la condition humaine sont au centre, parce que c’est Pluton qui vous force à réfléchir sur vous-même, qui vous force à regarder, en vous, le tas de boue, qui vous force aussi à regarder, en vous, ce qu’il y a de bon, et à faire avec cela la justice et à aller plus loin.

    C’est le grand miroir. Comme la culture, l’art est le moyen d’expression le plus flagrant d’une condition humaine, il est donc normal qu’en s’approchant de ces deux choses, l’influence de pluton provoque des interrogations, des jugements à propos de vous.

    De nos jours, si un artiste se mettait à peindre des petits moutons et des petites bergères, cela serait complètement déplacé. Par contre, peindre Guernica cela est considéré avec beaucoup de valeurs. Peindre le tremblement de terre de Mexico, est de grande valeur. Mais peindre un coucher de soleil cela ne veut plus dire grand-chose, même si, de temps en temps, le peintre s’y amuse. Ce ne sera pas son œuvre maîtresse avec le jugement actuel du monde et des gens.

    Alors artistes, que faire de votre art ?

    Comme je l’ai déjà dit, il faut savoir vous situer. Étant influencés par Pluton, si en vous, suffisamment de travail a été fait pour ne pas vous juger, et parce qu’une partie de vous est suffisamment propre pour être canal, alors c’est l’art d’autrefois, en fait, qui s’exprime, ce que les hommes ne jugent plus comme étant de l’art.
    L’homme d’aujourd’hui considère, comme étant de l’art, cet exercice de révélation, de témoignage, de cri d’alerte, de cri d’alarme.

    Aujourd’hui, la beauté n’est plus de l’art, et ceci n’est pas une critique contre l’art, absolument pas. C’est un état de fait et qui est nécessaire, qui est consécutif aux énergies qui se précipitent à l’heure actuelle. La beauté on n’en veut plus dans l’art. Ce n’est pas étonnant, Pluton n’est pas la beauté, la beauté c’est Vénus. Lorsque l’homme aura fini son cycle plutonien, son cycle de remise en cause et de grand nettoyage, viendra un nouveau cycle de beauté et d’harmonie

     

    Esprit du mal 
     


    Question :
    Parlez-nous du Diable ou de l’Esprit du mal.

    Si je pouvais j’éclaterais de rire. Non pas parce que le diable n’existe pas, mais parce qu’il me fait rire. Quelquefois on entend des nouvelles venues de son pays. Il en a des problèmes ce pauvre homme. Il faut dire que de son côté, Dieu a la vie plus facile. Parce qu’il s’est débrouillé pour faire les choses en harmonie avec lui-même, tandis que l’autre dans son pays, se débrouille toujours pour se contredire, et faire des choses inverses. Alors, il est submergé par le cahot.

    Qui est cet énergumène ?
    Est-il réel ?
    Est-il un personnage ?
    Est-il une entité ?


    Autant qu’il est possible d’exister, il existe et de différentes manières. Il existe parce qu’autrefois, lors de la condensation des énergies afin d’effectuer la matière, le fait même de créer une condensation crée des forces contraires.

    Dans d’autres philosophies vous avez le symbole de l’énergie positive et de l’énergie négative. Les deux formants un tout. Mais la cohabitation de cette énergie positive et de cette énergie négative tant qu’elle n’est pas dirigée par la conscience, que ce soit la conscience de l’homme illuminé ou d’un ange, ces deux zones vibratoires sont en conflit. C’est pour cela que le monde de la matière est aussi appelé le monde de la dualité.

    De quoi donc est né le diable ?
    Il est né de la matière, il n’est pas né de Dieu. En fait, le diable est partout. C’est le côté obscur de la matière, et du fait de la manifestation, comme chaque chose, il développe une hiérarchie d’êtres, une hiérarchie de créatures, de plans.

    Le côté obscur de la matière a sa hiérarchie. Donc le diable n’est pas celui de la rébellion que l’on connaît bien et que l’on nomme et que l’on confond trop souvent. Celui que vous appelez le diable, c’est tout simplement la zone vibratoire de la matière trop endormie.
    Il faut comprendre qu’au fur et à mesure que la matière se densifie, il y a obscurcissement de l’intelligence de la conscience. Ce qui fait, qu’un arbre a moins conscience de lui-même qu’un nuage, qu’un être humain, sur le plan physique, a moins conscience de lui-même qu’un homme dégagé du plan physique.

    Ainsi, toutes les vibrations qui maintiennent la forme sur le plan physique sont endormies, sont obscurcies dans leur conscience, dans leur propre lumière, dans leur propre divinité, comme vous l’êtes.

    Le problème est qu’il faut maintenir cet obscurcissement pour entretenir la matière. Étant donné qu’il faut maintenir cet obscurcissement, toute cette hiérarchie d’individus est plongée dans les ténèbres. Mais ce ne sont pas eux qui font le mal, ils tirent un peu vers le bas, c’est vrai. Donc, faites attention aux zones astrales où vous allez.

    Il ne faut pas être négatifs trop longtemps, sinon, vous tombez dans la matière où justement ils résident, et où vous risquez d'être vampirisés. Non pas possédé, il faut un acte de magie pour cela, mais vous êtes vampirisé et complètement dépossédés de votre vitalité, de votre moyen de penser puisque l’énergie donne vie à l’intelligence.

    Il y a beaucoup d’individus qui sont vampirisés par ces créatures. L’église les dit possédés, mais ils ne le sont pas, parce que la possession ne peut-être effectuée que par un acte de magie. C’est-à-dire qu’une créature est projetée jusque dans le double astral de la personne et peut même s’enraciner dans un de ses chakras. La vampirisation est un acte qui est fait plus ou moins à distance et la créature tire toute la vitalité possible, jusqu’à la vitalité des cellules. Et l’homme n’est plus qu’un légume.

    Cette horde de créatures, il ne faut pas la craindre mais il ne faut pas aller vers elle, il ne faut pas négocier avec elle, parce que leur entendement est trop limité, obscur, parce que trop dense.

    Vous comprenez très bien la différence, lorsque vous parlez avec quelqu’un qui a un esprit très matérialiste puis à quelqu’un d’autre qui est très spirituel. L’esprit de ces créatures est encore plus matérialiste que le matérialiste des humains. C’est pourquoi on les voit souvent dans les lieux les plus malfamés parce qu’ils se nourrissent de ces énergies basses.

    En fait, ils ont pour ordre de maintenir la création, de maintenir l’ordre de la matière. Mais ils ont besoin pour cela d’énergie, et normalement la nature leur fournit la vibration suffisante. Mais, lorsqu’ils voient des hommes en fournir davantage, alors ils se précipitent, car comme toute créature, ils sont gourmands d’énergie. Donc, il ne faut pas les craindre, mais il faut savoir vivre au-dessus d’eux.

    Et un jour, eux aussi auront droit à une forme d’évolution. Ils seront libérés. Mais ce sera à la prochaine ronde. Leur prison et leur esclavage cesseront. D’autres seront condamnés à cette tâche nécessaire. On ne peut pas créer la matière autrement.

    Maintenant qu’en est-il de celui, dont on parle dans la bible, qui se serait rebellé ?

    Ce n’est plus du tout, ni le même être, ni la même hiérarchie d’individus, et cela n’était pas une rébellion. C’était un acte d’amour, un acte volontaire, peut-être même inutile, mais en tout cas un acte d’amour qui n’a pas porté ses fruits et qui a été complètement à la charge de l’individu qui en a eu l’initiative.
    Si bien que lui-même est enchaîné parmi les humains jusqu’à ce que l’humanité dans son entier soit arrivée à un certain plan de conscience. Alors, avec l’humanité il pourra repartir parce qu’il s’est enchaîné volontairement aux hommes. Naturellement, il n’est pas incarné quelque part sur la terre. Il est dans la même zone où sont les maîtres et les guides, dans cette zone subtile.
    Le problème c’est qu’il n’y fait rien d’utile, il a tout simplement subi la chute. Mais il donne de sa vie, il donne de sa vibration, de son cœur, de sa prière, de sa visualisation.

    Pourquoi me suis-je moqué de lui tout à l’heure ?
    C’est parce que dans cette hiérarchie de ces êtres qui sont condamnés dans la matière, il y a tout de même certains chefs. Ces chefs ont des noms multiples. Leurs noms n’ont rien à voir avec ceux inventés par les hommes pour les actes de magie noire. L’homme pourrait inventer n’importe quel nom pour agir dans le sens du mal, du moment, qu’avec certains de ses amis, il le répète suffisamment. Le nom deviendrait vivant.

    Le nom appellerait ces mauvaises créatures tout autant que s’il était leur nom véritable. Je vous le dis, il n’y a pas véritablement un diable. Il y a tout simplement une zone de créatures et de vibrations que vous ne devez pas aller voir, que vous ne devez pas toucher, parce que c’est la zone où la matière est conçue, maintenue, et cela aux dépens de ces esprits dont c’est la mission. Le fait qu’ils aient cette mission, les obscurcis.

    Alors qu’en est-il de toutes ces peurs à propos du diable et de toutes ces possessions ?

    S’il y a des questions de vampirisation, de possession, cela ne regarde que la responsabilité humaine, et non les hiérarchies de la création.
    Les hommes ont inventé n’importe quoi pour faire du mal. Il est plus facile de faire du mal que du bien, parce que l’homme est plus près de son animalité que de sa divinité, et c’est pour cela que le mal semble plus accessible que le bien.


    Mais lorsque l’homme devient plus élevé, il lui est impossible de faire le mal comme il lui était impossible de faire le bien lorsqu’il était un animal. De la même manière qu’un homme animal a du mal à monter, un homme divin a du mal à descendre et concevoir des choses néfastes. Cela n’est plus dans sa nature, cela n’est plus dans sa capacité.

    Lorsque vous vous demandez, comment se fait-il que les gens font tant de mal, c’est parce que vous avez à faire à des gens qui sont plus des animaux que des humains. Étant donné qu’ils vibrent bassement, ils arrivent à attirer à eux toutes ces créatures néfastes, et si en plus, ils détiennent deux ou trois formules ou deux ou trois rituels, alors ils arrivent à faire des choses néfastes.

    Mais je voudrais que nous revenions dans nos sphères habituelles, car s’il est vrai que nos petits frères et sœurs de la sphère de la matière sont néfastes à l’homme qui les approche, ils sont pourtant utiles.

    Nous, nous ne croyons ni au bien ni au mal et j’ai déjà parlé dans ce sens en disant que le mal n’existait pas, et un jour, j’ai dit que j’expliquerais qui est le diable. Mais je ne veux pas en dire plus aujourd’hui parce que les hommes ne sont pas prêts. Je veux attendre encore quelque temps.

    Pour nous le bien et le mal n’existent pas. Ce qui existe, c’est la réalité et l’illusion. Tout dépend si vous vivez dans la réalité ou dans l’illusion, dans la matière ou dans l’esprit.

    Il n’y a aucune horde mauvaise qui empêche les lumières d’arriver sur la terre. Mais par contre, il y a des hommes trop animaux qui se mettent en correspondance avec toutes les basses créatures de l’astral et des autres sphères, et qui constituent une véritable armée des ténèbres.

    S’il n’y avait pas l’homme comme chef de cette armée, cette armée n’existerait pas. Ces créatures-là sont confinées dans leur zone de travail et n’ont rien à faire dans le développement humain. C’est parce que l’homme s’amuse à collaborer avec elles, va les chercher, vibre avec ces créatures, que ces créatures arrivent et s’immiscent dans le plan humain.
    C’est parce que l’homme devient le général de cette armée, que cette armée existe. C’est lui qui les infiltre et qui crée ce problème.

    L’homme serait-il capable de se détruire lui-même ?

    Tu sais, cela s’est déjà passé souvent, mais la plus grande destruction qu’il fait vis-à-vis de lui-même, c’est vis-à-vis de sa conscience. Qu’il fasse sauter des continents, qu’il fasse de nouvelles guerres, peu importe en fait, par rapport aux lois de la réalité. Ce qui ne veut pas dire que tout va être permis à l’homme, mais qu’il se détruise sur un plan physique est la moindre des destructions. Ce qui est grave, c’est l’autodestruction qu’il commet chaque jour vis-à-vis de sa conscience, de sa lumière, en étant sourd, néfaste, négatif, en faisant plus d’actes mauvais que de bons. Lorsqu’il va donc à l’encontre des harmonies.

    Nous ne voulons pas émettre l’idée que le cosmos a des lois auxquelles l’homme doit obéir. L’homme est libre. Par contre, il y a des harmonies, celles qui maintiennent l’univers en formation et en développement et si l’homme vit en accord avec ces harmonies, il devient immortel. C’est lorsqu’il vit en désaccord avec ces harmonies, appelées aussi lois dans certaines religions, qu’il devient malheureux, malade et mortel.

    Donc qu’est-ce que je pense de l’humanité ?

    Tout est possible. L’homme détient tout en lui, surtout à l’heure actuelle. Je ne t’aurais pas dit la même chose il y a quelques siècles, au début de l’ère. Mais, à l’heure actuelle, étant donné ce qui est proposé à l’homme comme avancement, il ne tient qu’à lui d’effectuer l’avancement ou pas. C’est pour cela que nous essayons tous les moyens et que sont répandues toutes les paroles possibles, par tous les canaux possibles pour que l’homme se prenne en charge de manière spirituelle.

    Que va-t-il se passer dans l’avenir ?

    Beaucoup de confrontations entre les pouvoirs. Beaucoup, énormément, encore plus. L’homme a toujours un endroit malade, l’humanité a toujours un peuple malade, et s’il y a un seul fruit pourri dans le panier, tu sais ce que ça fait. Donc il est temps maintenant que tout soit nettoyé, que ce soit les maladies, les débauches de plus en plus grandes, les confrontations de pouvoirs, confrontations qui seront plus insidieuses que de vis-à-vis, bien qu’il y ait encore plus de vis-à-vis. Tu verras.

    Est-ce que la nature va s’en mêler ?

    Pas vraiment. La nature restera d’une manière assez calme, pas plus tourmentée qu’autrefois, pas plus qu’elle ne l’est en fait maintenant, parce que tant que cela se passe dans l’humanité, la nature n’a pas besoin de dégorger tout cet astral néfaste. C’est dans la mesure où l’humanité n’assume plus l’expiation que la nature est obligée de cracher le furoncle, la mauvaise chose, la mauvaise vibration.

    Alors tu vas me dire : « Je ne vois pas comment une guerre, des débauches plus grandes pourraient régler les problèmes de l’humanité ». Je te l’accorde dans un premier temps, cela ne peut qu’enfoncer l’humanité, mais dans un second temps ça l’arrange.

    Les corps ne sont que des expressions des âmes et le but est de faire exprimer l’âme. Toutes ces âmes dans les sphères, qui n’ont pas encore d’incarnation possible, qui les attrapent comme si comme ça, toutes ces âmes qui ont des noirceurs à exprimer, à faire sortir de leur ventre, si elles ne peuvent pas l’exprimer par des corps physiques, elles continuent à encrasser les cieux, elles n’avancent pas, elles n’y arrivent pas et elles sont torturées. Alors il faut, à un moment donné, décider de nettoyer les âmes.

    Aux humanités sont permis alors toutes les débauches, ce qui ne veut pas dire que vous avez l’absolution des cieux. Mais à un moment donné, l’homme doit expérimenter toutes ses saletés intérieures, doit tirer hors de lui tout ce qui est puanteur.
    Forcément il le recrache sur la terre puisque c’est dans le manifesté que tout ceci doit avoir lieu. Alors, dans un premier temps, il semble que la terre ait un destin qui ne présage rien de bon : chaos, débauche, maladies, épidémies. Et pourtant, c’est comme un furoncle que l’on perce, et cela n’est qu’une étape. Une fois que l’homme a atteint le maximum de sa fièvre, elle tombe et l’homme recouvre sa santé.

    C’est un système qui est bien connu dans les ascèses hindoues, où certains Maîtres ont le pouvoir de faire sortir de l’homme, de sa mémoire, le total de ses traumatismes, de ses karmas, de ses horreurs. L’homme commence à entrer dans des comportements étranges. Il peut rugir comme un lion, baver comme un crapaud, sauter comme une grenouille, exécuter des postures de Hatha-Yoga alors qu’il est complètement raide dans toutes ses jointures. Il peut crier, pleurer. L’énergie nettoie en lui.
    Nettoyer cela ne veut pas dire qu’il y a une grosse lessive à l’intérieur. Nettoyer veut dire faire sortir à l’extérieur.

    Le phénomène de la vie est un phénomène de projection. Donc tout ce qui est néfaste, comme tout ce qui est bon, doit nécessairement se trouver manifesté. Une âme qui est obscurcie, parce que telle est sa nature lorsqu’elle grandit, doit cracher sur la terre, par son physique, dans le manifesté, toute la noirceur de son obscurcissement.
    Si quelqu’un l’en empêchait, en quittant son corps physique au passage de la mort, l’âme ne serait pas plus avancée. Elle se retrouverait dans le royaume des morts avec autant de problèmes.

    C’est pour cela que Jésus a dit : « Ne vous jugez pas les uns les autres ». Chacun a le devoir de sortir de lui sa noirceur, son problème. Ce qu’il n’a pas le droit, c’est d’en faire pâtir les autres. C’est là aussi où il faut écouter la parole du messie, du prophète, de la religion, du maître, pour comprendre que votre problème est quelque chose qui ne regarde que vous.

    Si vous êtes coléreux cela ne regarde que vous, pas besoin de faire souffrir l’autre par votre colère. Réglez ce qui fait que vous êtes coléreux. Si vous êtes vicieux sexuellement, cela ne regarde que vous, pas besoin d’aller violer les petits enfants, les femmes. Ne faites pas subir aux autres ce qui n’est que votre problème. Donc réglez votre problème. Essayez d’acquérir la lumière et l’entendement.


    Et pour cela il y a une multitude de méthodes : la religion, la psychiatrie, la psychologie, trouvez votre problème, trouvez votre méthode, mais ne faites subir la chose à personne. Et ainsi, si vous arrivez à diriger, développer et faire évoluer votre vie, personne ne vous jugera et vous comprendrez qu’il ne faut juger personne.

    Lorsque l’on naît, chacun arrive avec son lot de problèmes, déballe le baluchon, trie et doit faire avec. On prend la destinée à accomplir, le problème que l’on a à régler, le plan de conscience que l’on doit acquérir. Et on se bouge un peu, on travaille. Mais que font les hommes dès qu’ils ouvrent le balluchon ? Ils commencent à pâlir, ils commencent à avoir peur, ils ne veulent pas se voir.

    On sort leur destinée, c’est tout juste s’ils arrivent et acceptent de l’assumer. On sort leurs problèmes, c’est la fuite. Beaucoup reculent. Alors ils projettent, ils accusent, ils assomment, ils empoisonnent les autres. Quant au plan de conscience à atteindre, n’en parlons pas. S’ils ne peuvent pas faire les deux premières choses qui sont les bases de la troisième, la troisième n’arrive pas. Si vous n’accomplissez pas votre destinée en nettoyant ce que vous êtes venu nettoyer, vous n’arrivez pas à développer un plan de conscience supérieure. Le triangle ne trouve pas de base pour effectuer sa pointe. Alors, assumez, développez-vous et vous l’atteindrez.

    Conclusion

    Puisqu'il faut toujours envisager une fin et que, décidément, le temps est sectionné sur votre monde, je voudrais quand même vous dire quelques mots encore.
    Vous composez une unité qui est assez forte aujourd’hui. Il faudrait que, lorsque vous avez des problèmes, que vous repensiez à tout ce groupe ici présent.

    Imaginez un énorme disque sur lequel est représentée chacune des personnes présentes, et inspirez l’énergie de ce groupe, car il y a quelque chose qui se passe partout où je passe. Ce n’est pas moi qui le veux, qui le crée, c’est tout simplement la loi de l’énergie. Lorsqu’un groupe se réunit pour un contact avec quelque chose d’invisible, le groupe est pour l’éternité, ou du moins pour tout le trajet de la vie physique de chacun des membres du groupe, scellé par l’énergie qu’il a reçue au moment du contact.

    C’est-à-dire que l’énergie descend sur chacun de vous et que vous pouvez l’utiliser plus tard. Mais selon qui vous avez appelé, cette énergie va œuvrer d’après son plan et ses lois. Ce qui fait que, lorsque vous serez malade, triste, lorsque vous aurez simplement envie d’ajouter quelque chose à votre vie quotidienne, repensez à ce groupe et aspirez-en toute la force et vous verrez qu’en retour vous en recevrez. Il y a de la magie dans la constitution des groupes. C’est pour cela aussi qu’il a dit : « Dès que vous serez trois à parler de moi, réunis en mon nom, je serais là. »

    Parce que dès qu’il y a coalition des âmes, il y a tunnel de lumière et ce tunnel monte depuis le plan physique jusqu’au plan qui correspond vibratoirement aux personnes en présence ou au plan invoqué par les personnes en présence. C’est ce qui permet aux rituels de fonctionner. Car c’est par ce même canal d’appel, ce même tunnel de lumière que la communication est possible avec les entités que nomment certains rituels de la Maçonnerie et d’autres groupes, car ils sont multiples.

    Donc, quoi que vous fassiez, quand vous savez que vous devez le faire avec le secours de l’énergie, réunissez-vous. Vous pouvez représenter un potentiel pour créer un canal, d’accord, c’est certain, mais parfois vous pouvez être en manque, ou cela puise trop dans votre énergie vitale, et vous vous usez dans cet appel.

    Comme l’homme a sans cesse besoin d’énergie, que ce soit pour ses projets matériels, pour que sa pensée ait de la puissance, que sa projection devienne une manifestation, alors créez toujours des groupes.

    C’est chaque fois que l’homme a eu peur d’un danger, qu’il a créé le groupe. C’est ce qui a commencé la société. Quand l’homme était individuel, qu’il ne vivait que pour lui-même, il n’y avait que chaos. Mais le danger apparaissant, il a commencé avec d’autres à créer un groupe. Au début c’était pour parer aux dangers de la nature et ensuite malheureusement c’était pour se parer des dangers que pouvait représenter un autre groupe. Les confrontations commencèrent.

    Regardez dans la vie sociale, chaque fois que les individus sentent un danger, et cela se voit de façon tellement évidente, surtout dans le comportement des nations, même si en temps normal des nations se critiquent, ne s’aiment pas, ne collaborent pas, automatiquement il y a coalition contre un ennemi commun. C’est toujours un ennemi commun qui détermine l’union. C’est aussi l’intérêt commun qui peut déterminer une union, il fait alors oublier toutes les différences.

    Si les gens matérialistes ont trouvé cette force, ont compris cette force, utilisez-la vous aussi pour l’avènement de ce nouveau monde.
    Tant que vous agissez séparément, vous êtes faibles, fragiles, vous pouvez être détruit. Si vous créez un groupe, si mentalement vous vous assimilez à un égrégore de pensées, à des groupes d’amis ayant la même démarche vibratoire et spirituelle, à ce moment-là vous vous renforcez et ce renforcement a une évidence et une action jusque dans le plan professionnel et le plan de la santé.

    La séparativité, c’est ce qui fragilise et c’est ce qui conduit l’homme à la mort. C’est parce que l’homme se croit séparé de son éternité, qu’il croit à la mortalité. C’est parce qu’il est séparé de sa lumière, qu’il vit dans les ténèbres. C’est parce qu’il est séparé de tout ceci et surtout qu’il se croit séparé, qu’il connaît le pire.

    Donc, unissez-vous. De l’union naît la force dites-vous. Pensez à cette coalition, construisez cette coalition. Il ne faut pas laisser le nombre appartenir aux ténèbres. Le nombre doit être parmi les gens de lumière, sinon le nombre des ténébreux débordera toujours le nombre des lumineux, surtout s’ils sont éparpillés.


    J’avais commencé avec l’unité, je finis donc avec l’unité.
    Unissez-vous.


    Je vous salue.

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    Les drogues.
    Comment aider les personnes qui vont quitter la terre ?
     
     

     

    Question
    Depuis plus de vingt ans, la consommation et l’abus de toutes sortes de drogues se sont répandus dans une grande partie de la population, notamment dans la jeunesse. Quel est, s’il existe, le karma collectif qui agit à travers tous les consommateurs de drogue, et de quelle manière ce karma peut-il être purifié et mené vers la lumière ?


    Le motif de ces grandes débauches, et mon terme n’est pas péjoratif, c’est toujours le même mot, la détresse. Que vous preniez un alcoolique, un drogué, ou quelqu’un qui travaille sans s’arrêter dans son bureau, sans toucher une cigarette ou un verre de whisky, mais qui est drogué par son travail, qui ne peut pas vivre hors de son travail, qui n’est rien hors de son travail, (et ça, c’est aussi une drogue, je ne veux pas citer toutes les drogues subtiles), le même fond est la détresse.

    Il y a dans l’individu une telle puissance d’aspiration vers le haut, que si la personnalité trop épaisse ne satisfait pas ce désir, cette envolée, cette spirale ascensionnelle,  toutes les forces rentrent à l’intérieur de la personne, et après la stagnation, il y a l’autodestruction.

    Cette stagnation n’est pas forcément une stagnation de quelques années, elle a pu régner pendant plusieurs vies avant d’aboutir un jour à un drogué, à un alcoolique, ou à un suicide.

    Donc, ce qu’il faut pour éviter cette détresse, c’est de ne plus retomber dans le rêve, parce que l’âme ne pourrait plus revenir de cet état larvaire en quelque sorte. Cela, elle ne peut pas le tolérer. C’est comme une formule chimique qui serait en train de s’effectuer, il n’y a pas de marche arrière possible. Au fur et à mesure que vous ajoutez les éléments, vous êtes obligés d'aller au bout, sinon il y a destruction de toute la chaîne que vous avez créée. Il n’y a pas d’arrêt simple, jamais.

    Donc, que sont à l’heure actuelle tous ces drogués ?

    Ce sont des gens qui n’ont pas réussi à faire ce qu’eux-mêmes attendaient de leurs incarnations précédentes. Parce qu’en ce moment, comme cela a déjà été dit, il y a une accélération de toutes les énergies de la planète, de tous les karmas des hommes, de tous les karmas des nations. Il faut balayer, l’Ère nouvelle arrive.
    On classe les derniers dossiers en quelque sorte, et il n’y a pas d’âme qui se châtie plus durement qu’elle-même, plus durement que le châtiment de Dieu, si Dieu châtiait.

    Vous-même, lorsque vous prenez conscience que vous avez mal fait, vous avez un remords immense. Ce qui ne veut pas dire que tous les drogués soient des gens qui ont raté plusieurs incarnations, mais quelque part il y a un trou immense en eux. Ils n’arrivent pas à retrouver un lien, un raccord qui leur permette d’aller plus loin.

    Si vous arrivez à leur faire quitter leurs problèmes en les entourant, en les équilibrant psychologiquement, affectivement, ils arrivent à s’en sortir. Parce qu’ils retrouvent un cordon ombilical avec la lumière qu’ils avaient complètement perdu.

    Alors est-ce un problème de société ?
    Non, ce n’est pas la faute d’un système inhumain, mais c’est la société où ceci pouvait avoir lieu. Cela ne pouvait pas avoir lieu avant. Le cycle n’était pas en précipitation. Maintenant oui, c’est donc maintenant ce que tous ces gens viennent expier.

    Est-ce une façon d’expier que de se droguer puisqu’on se fait encore plus de mal que si, enfin, on prenait ses responsabilités ?

    Pour voir les choses en face, je suis d’accord avec vous. Mais ils ne comprennent pas, et justement s’ils sont dans cet état, c’est qu’ils n’ont pas compris. Lorsque quelqu’un à la puissance de s’autodétruire, laissez la personne s’autodétruire, si vous avez fait tout ce que vous avez pu pour la raccorder à un équilibre. Parce qu’elle est en train d’expier, elle n’expie plus sur un plan physique, mais sur un plan astral.

    C’est dommage parce que c’est sur le plan physique qu’elle aurait tiré le plus de bénéfice, alors que sur un plan astral elle expie sur le plan de l’émotion.

    Connaissez-vous la détresse et l’angoisse d’un drogué et de tous ces gens qui boivent ou qui font mille autres choses? Leur détresse est immense. Ils souffrent affreusement. Et c’est dans cette souffrance, qui est purement astrale, qu’il y a en quelque sorte un purgatoire.

    Je sais qu’il est dur de se dire laissons-le, en regardant un drogué qui va mourir. Je sais que cela pourrait paraître révoltant, spirituellement, parce qu’on se dit que Dieu vient au secours des plus faibles. Mais n’oubliez pas qu’il y a avant tout, la volonté humaine, et il faut faire avec les limites des capacités humaines.

    Si en trouvant un refuge dans la drogue, l’individu arrive à expier, et bien laissez-lui ce droit. Ce qui ne veut pas dire que j’encourage la drogue, ou que je tolère la drogue ou toutes les drogues. Absolument pas. Je dis simplement que ce n’est pas le mal le plus noir du monde. Ce n’est pas le mal qui fait le plus de ténèbres sur la terre. C’est un cri de détresse parmi tant d’autres.

    Mais un jour, si vous voulez, je vous parlerai davantage des drogués, et quoi faire pour eux. Mais prenez-les, avant tout, comme des âmes en détresse, de même que toutes les formations marginales issues, par exemple, de la musique.

    Toutes ces formations marginales qui par leur extravagance veulent provoquer, ne sont que des cris de détresse. Mais en fait, elles ne veulent pas provoquer, elles veulent hurler au monde quelque chose qui ne va pas, mais qui ne va pas dans les personnes elles-mêmes, pas dans le monde.

     

    Question

    Comment aider efficacement une personne qui va quitter la terre ? Il y a très souvent lutte entre les cellules physiques qui désirent continuer une vie autonome et l’âme qui aspire à la libération. Pouvez-vous nous donner des indications claires sur ce processus qui nous paraît souvent entravé par les méthodes de la médecine actuelle ?


    Il est vrai que mourir à l’heure actuelle, si on est entre les mains de la médecine, cela devient une véritable épreuve d’adresse pour l’âme qui doit se dégager. Et ceci n’est pas une critique contre la médecine. Elle aussi a une connaissance à acquérir. Culpabiliser quelqu’un ne sert à rien. Il faut lui donner les moyens d’avancer et de comprendre.


    Donc, comment aider quelqu’un qui doit mourir ?

    Le passage sera en correspondance exacte avec la nature spirituelle de l’individu, selon les attachements ou les détachements.

    Que pourriez-vous faire pour aider quelqu’un à réussir une bonne sortie ?

    Si dans sa nature il est avidement attaché à tout ce qu’il possède, attaché à la vie sur un plan physique, donc au plaisir, vous auriez beau amener des files de curés, de pasteurs, l’âme ne s’en sortira pas mieux.

    Par contre, là où vous pourrez aider l’âme, c’est quand elle sera définitivement passée de l’autre côté. Pour le passage lui-même, vous ne pouvez rien. Tant qu’il y a une seconde de conscience objective il y aura une peur immense. Et cette peur va se retrouver au niveau de l’astral chez la personne décédée. C’est là, où vous pouvez intervenir. C’est là, où vous devez la rassurer.
    Comment faire ?

    En la débarrassant de sa dépouille de manière radicale, par le feu.

    Ensuite, en travaillant sur une photo, un portrait, ou quelque chose qui a appartenu au défunt. Pensez à amener des fleurs, une flamme, et de la musique pendant un cycle de sept jours. C’est ce qui est déjà fait, sans savoir pourquoi lorsqu’on observe rigoureusement la règle.

    Les émanations qui vont partir de la fleur, de la flamme et du son, vont servir de nourriture au défunt. La fleur, sur un plan occulte, dégage une vibration de plénitude.

    C’est pour cela que lorsque l’on veut appeler les anges, par exemple, il est bon de se trouver soit dans un endroit fleuri, ou en tout cas où la nature est reine, soit de créer un mini-conditionnement naturel, avec le plus de fleurs possible.

    L’émanation de la fleur est une émanation de plénitude. La flamme est purificatrice. Elle brûle la mémoire astrale. La musique, le son, est une fréquence qui perce plusieurs couches, à partir du physique en passant par l’éthérique, l’astral, et même va au delà, puisque cela attire même les anges dit-on.
    Le son, la musique n’a pas de limite dans son voyage. C’est comme la lumière en fait. La lumière voyage partout dans l’univers. Le son fait de même. Parce que le son est la seule énergie qui n’a pas besoin d’une autre énergie pour se perpétuer.
    Le son est une énergie pure.


    Dès que cette énergie est déclenchée, elle a une immortalité. Il en est de même pour la pensée. La pensée est un son. C’est pour cela qu’il y a toute une magie autour de la pensée. Donc le son, tout en calmant, nourrit l’âme de hautes vibrations. Je ne parle pas du dernier tub du groupe X pour essayer de nourrir l’âme d’un mort, même si c’était sa chanson préférée.

    Il y a des auteurs qui ont été des compositeurs spécialement inspirés par ceux qui justement manipulent le son, parce que c’est la base de leur énergie. Ce sont les Dévas, autrement dit, les anges. Comme je l’ai expliqué, les anges sont, sur le règne du Saint-Esprit, l’intelligence active.
    L’intelligence active c’est le verbe. Le verbe c’est le son. Et sur un plan terrestre, c’est la musique et la parole.


    Donc la musique va attirer des vibrations sur cette âme, qui vont commencer à l’élever petit à petit vers des sphères de plus en plus subtiles. Si l’individu bénéficie d’un guide personnel, cela va lui faciliter son travail. S’il fait partie d’une âme groupe, encore très volumineuse, il sera dirigé, comme on dirige des wagons électroniquement. Il va être dirigé tout simplement par la loi, la vibration donc.

    Puisqu’il va être dirigé par la loi, il est donc absolument nécessaire qu’un service au défunt soit donné, parce que vous ne savez pas qu’elle est l’envergure spirituelle de la personne qui meurt. Pour ceux qui ont un guide personnel vous n’avez pas de souci à vous faire. Pour ceux qui font partie de la masse, faites ce que l’Église perpétue. Et là, elle a raison.

    Que dire encore sur la mort, ou ce passage, sinon que vous devriez un petit peu plus penser aux défunts, sans tomber dans l’exagération qui veut que l’homme porte un culte aux morts. Mais vous pourriez à certains passages astrologiques qui donnent une ouverture sur l’au-delà, leur faire offrande de fleurs, de feux, et de musiques, pour qu’ils s’en nourrissent et pour qu’ils comprennent ce qu’ils sont en train de faire là-haut, en train d’apprendre.
    Ou, s’ils sont encore dans un état de rêve, pour que leur rêve leur soit plus doux, étant donné que le mort rêve sans arrêt de ce qu’il a vécu sur la terre, dans toutes ses incarnations. De cette manière, le rêve peut être plus doux.




    Le groupe:

    Nous arrivons à la conclusion parce que les questions suivantes sont vastes. Elles concernent les races humaines. Nous les réservons pour un prochain contact.


    Avant de vous quitter je voudrais vous préciser, aujourd’hui, astrologiquement, est un jour spécial, (puisque nous parlons d’astrologie.) Aujourd’hui, vous faites une entrée dans la porte du soleil pour quelques mois. Aujourd’hui devrait être un jour de purification.

    Vous auriez dû passer la journée à vous laver l’esprit dans une auto-analyse : demander pardon à vous-même et à votre conjoint, vous doucher abondamment pour entrer dans un cycle solaire de manière propre, de manière à recevoir pleinement tous les bienfaits que le soleil va déverser pendant ces mois de l’été. Cela favorise l’activité de la pinéale.

    Les purifications sont très importantes parce qu’elles correspondent à un cycle des glandes. Et si la purification n’est pas faite, certes, vous ne manquez pas de quelque chose de primordial, mais c’est comme si vous étiez en décalage avec les cycles de vos glandes. Et l’on sait très bien que la spiritualité, comme la vie physique, suit les cycles des glandes.

    Alors la pinéale entre dans un cycle majeur d’activité en ce moment de l’année. C'est-à-dire, que pendant tout le temps de l’été, l’homme se situe essentiellement dans la tête. C’est le moment où il pense, où il réfléchit et conçoit, parce que le soleil de la galaxie, le soleil du système, arrive sur la planète de manière explosive.
    L’endroit chez l’homme où se situe le soleil est la pinéale. Et comme tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, la pinéale en été, chez vous, entre en grande activité. Donc, il faut nettoyer un peu vos atours sur un plan physique et aussi sur un plan intérieur, pour permettre à cette pinéale de faire pendant tout l’été un travail d’avancement plus fort, plus vite.
    C’est aussi un jour où la lune est pleine, comme une belle femme féconde.

    Que faire donc à cette occasion ?

    Essayez d’être confortablement assis.
    Fermez les yeux.

    Posez vos pieds bien droits par terre.

    Mettez vos mains sur les cuisses de manière décontractée.

    Décontractez-vous.

    Imaginez un souffle venant de la terre.

    Voyez le venir comme une fumée blanche, fraîche.

    Ce souffle entre par vos pieds et vous les détend.

    Il monte dans vos jambes, vous détend tous les muscles des jambes.

    Il tourne autour de votre bassin et détend tous vos muscles fessiers, vos abdominaux.

    Il s’enroule autour du thorax et détend les côtes, soulage la respiration.

    Il entoure votre poitrine et vos épaules descendent, s’assouplissent, tombent. Vos bras aussi sont détendus et lourds.
    Le souffle monte encore et s’enroule autour de la gorge, votre nuque s’assouplit.

    Toutes les tensions s’en vont. Votre tête est tout entourée par le souffle maintenant. Votre mâchoire est libérée des tensions.

    Vos muscles des joues s’assouplissent aussi. Vos paupières sont souples, légères et ne bougent pas.
    Maintenant que vous avez fait passer le souffle partout afin de détendre les tensions, faites le sortir par le haut de la tête et relâchez-le autour de vous.

    Nous allons capter de l’énergie maintenant.

    Imaginez-vous chacun à l’intérieur d’une pyramide qui est à votre grandeur.

    Visualisez cette pyramide.

    Maintenant respirez par le haut de la tête et la pointe de la pyramide.

    Aspirez l’air et remplissez doucement vos poumons.

    Sentez une énergie étincelante vous pénétrer.

    Relâchez l’air doucement à l’intérieur de la pyramide.

    Et à chaque respiration aspirez une énergie brillante, et expirez une énergie tout aussi brillante qui reste autour de vous dans la pyramide.

    Ainsi vous construirez autour de vous un corps d’énergie brillant, rayonnant.

    Respirez par le haut de la tête et la pointe de la pyramide.


    C’est bien. Ceci est pour capter de l’énergie.

    Ce n’est en rien une méditation pour se mettre en communion avec des êtres cosmiques. Ceci est pour capter de l’énergie à des moments comme celui-ci et chaque fois que vous en aurez besoin.


    Je vous salue.

     


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